🎲 Poème Des Milliers D Étoiles Dans Le Ciel

Venezpartager vos poèmes, vos tableaux. Tout sur la poésie d'hier et d'aujourd'hui, des poèmes sur tous les thèmes, des poètes célébres, poésie et peinture, écriture sur toile, poèmes libre, poèmes interprétés, poèmes lus. Accueil. VOS CREATIONS Poésie libre Thème du mois Galerie d'art magique Podcast audio/vidéo Livre/CD des membres. CITATIONS Quelques mots qui en disent plus que des longs discours mardi 4 août 2015 1502 vues Facebook Twitter LinkedIn Mots-clés Lumière Poésie Oublier Cultive tes douleurs comme tu savoures tes joies, ... Celui qui réussit n'avance pas sur le même chemin ... Articles similaires C'est quand même un sacré paradoxe de faire de l'ombre au cinéma, lui qui n'était rien d'autre qu'une mise en lumière de la vie... Citations Quand il sut qu'il était poète, il réalisa qu'il intellectualisait même l'amour. Citations Il y a des gens plein de lumière qui vous éclaire le chemin rien qu'avec un sourire. Citations Le négatif de ma lumière Réflexions Le combat pour le monde du vivant Réflexions Ainsi j'ai brillé Réflexions Mots-clés Conscience Rêves Idée Bonheur Avancer Lumière Force Vivre Humanité Passion Réaliser Meilleur Nature Amour Changement Raison Obstacle Société Coeur Musique Projet Rêve Personne Peur Avenir Valeur Vérité Mal Vie Malheur Réalité Monde Poésie Argent Equilibre Savoir Chemin Liberté Attendre Changer Autres Croire Être Mots Jeux vidéo Temps Devenir Donner Sens Espoir Aller en haut Citations populaires Avec une bonne chanson, les paroles s'envolent et les mots restent. Poésies A votre santé ! Mon osmose Tous ces mots Face à la tyrannie Fictions Contes yvaltiens - Le pendentif yvaltien Les histoires du Centre Visum - Les représentants des Sages Réflexions Des espoirs pour un autre monde Être ou ne pas être un leader La Voie du cœur Critiques Slay the Spire, une bonne pioche Rimworld, un autre monde Pleurer avec 7. Koğuştaki Mucize Yannick Palomino 2012 - 2022 © Tous droits réservés Avecla découverte d'astres qui ne sont pas des étoiles en dehors de notre système solaire, l’astronomie accomplit un grand pas dans la connaissance des exoplanètes : le 12 décembre 1984, Mc Carthy fut le premier à annoncer la découverte d'un tel astre par infrarouges : il l'identifia comme une « naine brune » proche de l’étoile Van Briesbroeck 8
Il est pour la pensée une heure… une heure sainte, Alors que, s’enfuyant de la céleste enceinte, De l’absence du jour pour consoler les cieux, Le crépuscule aux monts prolonge ses adieux. On voit à l’horizon sa lueur incertaine, Comme les bords flottants d’une robe qui traîne, Balayer lentement le firmament obscur, Où les astres ternis revivent dans l’azur. Alors ces globes d’or, ces îles de lumière, Que cherche par instinct la rêveuse paupière, Jaillissent par milliers de l’ombre qui s’enfuit, Comme une poudre d’or sur les pas de la nuit ; Et le souffle du soir qui vole sur sa trace Les sème en tourbillons dans le brillant espace. L’œil ébloui les cherche et les perd à la fois Les uns semblent planer sur les cimes des bois, Tels qu’un céleste oiseau dont les rapides ailes Font jaillir, en s’ouvrant, des gerbes d’étincelles. D’autres en flots brillants s’étendent dans les airs, Comme un rocher blanchi de l’écume des mers ; Ceux-là, comme un coursier volant dans la carrière, Déroulent à longs plis leur flottante crinière ; Ceux-ci, sur l’horizon se penchant à demi, Semblent des yeux ouverts sur le monde endormi ; Tandis qu’aux bords du ciel de légères étoiles Voguent dans cet azur comme de blanches voiles Qui, revenant au port d’un rivage lointain, Brillent sur l’Océan aux rayons du matin. De ces astres de feu, son plus sublime ouvrage, Dieu seul connaît le nombre, et la distance, et l’âge Les uns, déjà vieillis, pâlissent à nos yeux ; D’autres se sont perdus dans les routes des cieux ; D’autres, comme des fleurs que son souffle caresse, Lèvent un front riant de grâce et de jeunesse, Et, charmant l’orient de leurs fraîches clartés, Étonnent tout à coup l’œil qui les a comptés. Dans l’espace aussitôt ils s’élancent… et l’homme, Ainsi qu’un nouveau-né, les salue et les nomme. Quel mortel enivré de leur chaste regard, Laissant ses yeux errants les fixer au hasard, Et cherchant le plus pur parmi ce chœur suprême, Ne l’a pas consacré du nom de ce qu’il aime ? Moi-même… il en est un, solitaire, isolé, Qui dans mes longues nuits m’a souvent consolé, Et dont l’éclat, voilé des ombres du mystère, Me rappelle un regard qui brillait sur la terre. Peut-être… ah ! puisse-t-il au céleste séjour Porter au moins ce nom que lui donna l’amour ! Cependant la nuit marche, et sur l’abîme immense Tous ces mondes flottants gravitent en silence, Et nous-même avec eux emportés dans leur cours, Vers un port inconnu nous avançons toujours. Souvent pendant la nuit, au souffle du zéphyre, On sent la terre aussi flotter comme un navire ; D’une écume brillante on voit les monts couverts Fendre d’un cours égal le flot grondant des airs ; Sur ces vagues d’azur où le globe se joue, On entend l’aquilon se briser sous la proue, Et du vent dans les mâts les tristes sifflements, Et de ses flancs battus les sourds gémissements ; Et l’homme, sur l’abîme où sa demeure flotte, Vogue avec volupté sur la foi du pilote ! Soleils, mondes errants qui voguez avec nous, Dites, s’il vous l’a dit, où donc allons-nous tous ? Quel est le port céleste où son souffle nous guide ? Quel terme assigna-t-il à notre vol rapide ? Allons-nous sur des bords de silence et de deuil, Échouant dans la nuit sur quelque vaste écueil, Semer l’immensité des débris du naufrage ? Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur l’ancre éternelle à jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder endormis ? Vous qui nagez plus près de la céleste voûte, Mondes étincelants, vous le savez sans doute ! Cet océan plus pur, ce ciel où vous flottez, Laisse arriver à vous de plus vives clartés ; Plus brillantes que nous, vous savez davantage ; Car de la vérité la lumière est l’image. Oui, si j’en crois l’éclat dont vos orbes errants Argentent des forêts les dômes transparents, Ou qui, glissant soudain sur des mers irritées, Calme en les éclairant les vagues agitées ; Si j’en crois ces rayons qui, plus doux que le jour, Inspirent la vertu, la prière, l’amour, Et, quand l’œil attendri s’entr’ouvre à leur lumière, Attirent une larme aux bords de la paupière ; Si j’en crois ces instincts, ces doux pressentiments Qui dirigent vers vous les soupirs des amants, Les yeux de la beauté, les rêves qu’on regrette, Et le vol enflammé de l’aigle et du poëte, Tentes du ciel, Édens, temples, brillants palais, Vous êtes un séjour d’innocence et de paix ! Dans le calme des nuits, à travers la distance, Vous en versez sur nous la lointaine influence. Tout ce que nous cherchons, l’amour, la vérité, Ces fruits tombés du ciel, dont la terre a goûté, Dans vos brillants climats que le regard envie Nourrissent à jamais les enfants de la vie ; Et l’homme un jour peut-être, à ses destins rendu, Retrouvera chez vous tout ce qu’il a perdu. Hélas ! combien de fois seul, veillant sur ces cimes Où notre âme plus libre a des vœux plus sublimes, Beaux astres, fleurs du ciel dont le lis est jaloux, J’ai murmuré tout bas Que ne suis-je un de vous ! Que ne puis-je, échappant à ce globe de boue, Dans la sphère éclatante où mon regard se joue, Jonchant d’un feu de plus le parvis du saint lieu, Éclore tout à coup sous les pas de mon Dieu, Ou briller sur le front de la beauté suprême, Comme un pâle fleuron de son saint diadème ! Dans le limpide azur de ces flots de cristal, Me souvenant encor de mon globe natal, Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que j’aimais briller près de la terre ; J’aimerais à glisser sous la nuit des rameaux, À dormir sur les prés, à flotter sur les eaux, À percer doucement le voile d’un nuage, Comme un regard d’amour que la pudeur ombrage. Je visiterais l’homme ; et s’il est ici-bas Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, Une âme en deuil, un cœur qu’un poids sublime oppresse, Répandant devant Dieu sa pieuse tristesse ; Un malheureux au jour dérobant ses douleurs, Et dans le sein des nuits laissant couler ses pleurs ; Un génie inquiet, une active pensée Par un instinct trop fort dans l’infini lancée ; Mon rayon, pénétré d’une sainte amitié, Pour des maux trop connus prodiguant sa pitié, Comme un secret d’amour versé dans un cœur tendre, Sur ces fronts inclinés se plairait à descendre. Ma lueur fraternelle en découlant sur eux Dormirait sur leur sein, sourirait à leurs yeux Je leur révélerais dans la langue divine Un mot du grand secret que le malheur devine ; Je sécherais leurs pleurs, et quand l’œil du matin Ferait pâlir mon disque à l’horizon lointain, Mon rayon, en quittant leur paupière attendrie, Leur laisserait encor la vague rêverie, Et la paix et l’espoir ; et, lassés de gémir, Au moins avant l’aurore ils pourraient s’endormir ! Et vous, brillantes sœurs, étoiles mes compagnes, Qui du bleu firmament émaillez les campagnes, Et, cadençant vos pas à la lyre des cieux, Nouez et dénouez vos chœurs harmonieux ; Introduit sur vos pas dans la céleste chaîne, Je suivrais dans l’éther l’instinct qui vous entraîne ; Vous guideriez mon œil dans ce vaste désert, Labyrinthe de feux où le regard se perd Vos rayons m’apprendraient à louer, à connaître Celui que nous cherchons, que vous voyez peut-être ; Et, noyant dans mon sein ses tremblantes clartés, Je sentirais en lui… tout ce que vous sentez.
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Unemaman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André Bay J'aime ce texte. 56. Partager ce texte sur : Twitter
Discipline Ecriture Niveaux CE2, CM1. Auteur A. MONNAERT Objectif - Écrire un texte de type poétique en obéissant à une ou plusieurs consignes précises. Relation avec les programmes Cette séquence n'est pas associée aux programmes. analyse et création d'une poésie dans le cadre de la fête des mères Déroulement des séances Séance 1 Création d'un poème - Ecriture, 35 minSéance 2 Mise en valeur du poème - Ecriture, 30 min 1 Création d'un poème Dernière mise à jour le 22 mai 2016 Discipline / domaine Ecriture Objectif - Écrire un texte de type poétique en obéissant à une ou plusieurs consignes précises. Durée 35 minutes 3 phases Matériel feuille avec 3 poésies proposées 2 "accumulations" et 1 acrostiche Cahier d'entrainement Informations théoriques Une maman Des milliers d'étoiles dans le ciel, des milliers d'oiseaux dans les arbres, des milliers de fleurs dans les jardins, des milliers d'abeilles sur les fleurs, des milliers de coquillages sur la plage, des milliers de poissons dans la mer et seulement seulement Une maman. Maman, Tu sais m'aider, Tu sais m'encourager, Tu sais me protéger, Tu sais me consoler, Tu sais m'apprendre, Tu sais me comprendre, Tu sais me détendre, Tu sais me retenir, Tu sais me soutenir, Tu m'aimes et je t'aime Remarques 2 enseignants 1. Découverte des poèmes 5 min. découverte Les élèves ont la feuille sous les yeux. L'enseignante lit les classe entière on analyse la structure des élève choisi un modèle de poème qui l'inspire création de groupes 2. Recherche d'idées 15 min. recherche Par groupe les élèves cherchent des groupes nominaux poème 1, des verbes poème 2, des adjectifs poème 3 3. rédaction du poème 15 min. réinvestissement Chaque élève crée son propre poème 2 Mise en valeur du poème Dernière mise à jour le 22 mai 2016 Discipline / domaine Ecriture Objectif - En particulier, copier avec soin, en respectant la mise en page, un texte en prose ou poème appris en récitation. Durée 30 minutes 2 phases Matériel Carton noir A5 pages d'écriture en français, japonais, arabe, cyrillique, notes de musique feuille A5 blanche pour recopier le poème chaterton / scotch noir Remarques faire un modèle pour le présenter aux élèves 1. Mise en valeur du poème 10 min. réinvestissement Une fois le poème créé, recopiez le proprement sur la feuille blanche 2. Création de la carte 20 min. réinvestissement Déchirez les pages d'écriturecollez les au recto de la feuille cartonnée noireau verso collez la feuille blanche avec votre poèmel'enseignante créera un cadre avec du chatterton noir
Desmilliers d'étoiles dans le ciel, des milliers de fleurs au jardin, des milliers d'abeilles sur les fleurs, des milliers de coquillages sur les plages, et seulement, seulement une maman. Voir sur
J’eus cette vision. Les siècles sans repos Avaient passé dans l’ombre, ainsi que des troupeaux Que le berger pensif ramène à leurs étables À l’heure où, pour calmer nos maux inévitables, Descend sur nous l’obscur silence de la nuit. Dans le brillant palais du roi Zeus, reconstruit Au sommet d’un Olympe idéal et céleste, Je vis les Dieux. Vainqueurs de cet exil funeste Que leur avait jadis imposé le Destin, Ils étaient réunis dans l’immortel festin Visible seulement pour le regard des sages, Et l’orgueil du triomphe était sur leurs visages. Tout ouvert sur le vaste azur mystérieux Et laissant voir au loin les mondes et les cieux, Le palais, reconstruit dans sa forme première, Était fait de splendeur intense et de lumière. Innombrables, penchant sur lui leurs fronts charmants, Fixant sur lui d’en haut leurs yeux de diamants, Les Constellations, les Étoiles-Déesses, Les Astres-Dieux, laissant voler leurs blondes tresses De flamme dans l’éther qui n’était plus désert, Unissaient leurs voix d’or en un tendre concert, Et, dansant et jouant dans les ondes sonores, Couraient d’un pas agile en portant des amphores. Dans le calme océan aérien, vibrant Comme une lyre dont le doux rhapsode errant Éveille sous ses doigts les cordes amoureuses, Se baignaient en riant les âmes bienheureuses. Sur la table des Dieux que paraient leurs couleurs, Brillait une forêt rouge de grandes fleurs Ouvrant avec orgueil pour les apothéoses Leurs calices d’amour, écarlates et roses. Sur les plats de rubis et d’or éblouissants, De beaux fruits merveilleux, sanglants et rougissants, Où rayonnait la pourpre avec sa frénésie, Montraient leur duvet clair et leur chair d’ambroisie. Le vin dormait, vermeil, dans les amphores d’or, D’où, par milliers, courant en leur agile essor, Des nymphes aux beaux bras, formant de riants groupes, Avec des cris charmants le versaient dans les coupes. Et les Heures au haut du ciel oriental, Tressant diligemment leurs notes de cristal, Montaient et descendaient la gamme ardente encore De l’escalier sonore où s’éveille l’Aurore. Rattachant à la chaîne auguste chaque anneau Vivant du souvenir, Théa, Mousa, Hymno Chantaient. Elles disaient les généalogies Des Dieux, les saintes Lois domptant les Énergies Premières, et comment Typhôeus tout en feu Fut vaincu par le Roi rayonnant du ciel bleu Qui le précipita dans le large Tartare. Elles disaient comment du noir Chaos barbare Put naître l’Harmonie éternelle, et comment Au firmament les clairs astres de diamant, Entraînés par la joie amoureuse et physique Du nombre, sont la Lyre immense et la Musique Sans fin ! Les Immortels les écoutaient, ravis, En savourant le vin vermeil, et je les vis ! Je vis Zeus que le Mal en sa haine déteste, Zeus ayant sur le front la lumière céleste ! Je vis les Rois-Soleils, les gloires de l’azur Héraklès radieux, vainqueur du monstre impur, Le beau Dionysos, dont le regard essuie Les cieux et fait tomber la bienfaisante pluie Qui s’élance, flot d’or, dans les pores ouverts De notre terre, et fait gonfler les bourgeons verts ; Hypérion, qui fait planer sur nos désastres Le mouvement toujours mélodieux des astres, Et celui que Dèlos révère, Apollon-Roi, Le clair témoin, l’archer qui lance au loin l’effroi, Et qui donne à la terre, où son regard flamboie, Les chansons et l’orgueil des blés d’or et la joie. Puis je vis Hermès, qui, sur le mont déjà noir, Vole avec art les gais troupeaux roses du soir ; Puis Héphaistos, qui sait, ingénieux artiste, Sertir la chrysolithe en flamme et l’améthyste ; Puis Arès effrayant, pour la Justice armé, Qui sans repos s’élance au combat enflammé, Arès au cœur d’airain qui combat pour la Règle, Et dont le casque noir a les ailes d’un aigle. Eux et mille autres Dieux armés, beaux, rayonnants, Fils des Titans, guerriers au haut des cieux tonnants, Je les vis, et près d’eux, sereines dans leurs belles Demeures, je vis les Déesses immortelles ! Je vis Héré ; je vis, portant sur son manteau Les plaines, Déméter ; puis Koré, puis Lèto, Puis Athéné dont l’œil bleu, brillant de courage, Ressemble à la clarté du ciel après l’orage ; La belle Dioné, Thétis, puis Artémis, La Reine au fuseau d’or, plus blanche que les lys Et que l’Œta couvert de neige et que les cygnes, Qui parcourt sur son char Claros féconde en vignes Et la fertile Imbros ; puis encor des milliers D’autres Déesses, qui sur les bleus escaliers Triomphaient. Leurs beaux fronts parfois touchaient aux frises Du grand palais d’azur, et je les vis, assises Dans leur gloire sur leurs trônes d’or, ou debout, Reines de clarté, dans la clarté. Mais surtout Je la vis, celle dont la mer avec ses îles Riantes réfléchit les doux regards mobiles, Celle dont la prunelle est noire, et dont le corps Harmonieux, rhythmé comme les purs accords Des sphères, de clartés tremblantes s’illumine, L’auguste Aphroditè, reine de Salamine ! Grande et svelte, et naïve en son charme enfantin, Et portant sur son front la splendeur du matin, Ses lourds cheveux riants, dont la Nuit s’épouvante, Étaient comme la mer de feux éblouissante. Son corps, nu, vigoureux, comme un grand lys éclos, S’élançait adorable et poli sous les flots De cette toison folle, et, triomphant sans vaines Entraves, ses beaux seins aigus montraient leurs veines D’un pâle azur et leurs boutons de rose ardents. Ses cils courbés faisaient une ombre d’or. Ses dents Ressemblaient à la neige où le soleil se pose, Et ses lèvres de rose étaient comme une rose. Ces lèvres, je les vis tout à coup s’entr’ouvrir Comme une fleur au cœur brûlant qui va fleurir ; Penchant son cou rosé, la reine de Cythère Délicieusement regarda vers la terre. Ses yeux humides, noirs, mystérieux, où luit Notre désir, étaient plus profonds que la nuit, Et, secouant ses lourds cheveux épars aux fines Lueurs d’or, elle dit ces paroles divines Homme ! ce n’était pas assez d’être pareils À toi ! nous les grands Dieux qui tenons les soleils Dans nos mains, et, Rois faits de lumière et de flamme, D’avoir tes yeux, ton front, ton visage et ton âme ! Ce n’était pas assez d’être pareils à toi Par le rhythme ailé, par le chant qui t’a fait roi, Par l’orgueil de la pourpre en feu, par le délire Du glaive, par la joie immense de la Lyre, Par les fureurs d’Éros, jaloux de nos autels, Qui triompha d’unir à des hommes mortels Les Déesses des cieux à leur sang infidèles, Et de même d’unir à des femmes mortelles Les Dieux, de qui naissaient alors, jouet du sort, Des enfants beaux et fiers, mais sujets à la mort. Non ! tu voulus aussi nous voir mourir nous-mêmes ! Car tu gémis sur tes destins, et tu blasphèmes Amèrement tes Dieux, s’ils n’ont suivi tes pas Dans la nuit, et subi comme toi le trépas. Donc, chassés par ta haine, et pour que tu nous pleures Dans ton cœur, nous avons fui nos belles demeures Pour l’exil ; nous avons, loin de nos clairs palais, Subi l’affreuse mort, puisque tu le voulais ! Et, nous ta vertu, nous ton délice et ta gloire, Emportés loin des cieux jaloux par l’aile noire De l’orage, fuyant dans la brume des soirs, Fantômes éperdus qu’en leurs longs désespoirs Suivaient sinistrement l’insulte et les huées, Nous flottions, errants, dans le frisson des nuées Et des fleuves, dans les forêts et sur les monts Sourcilleux ; les méchants nous appelaient démons, Et, frappés comme nous de ta haine si lourde, Le ciel était aveugle et la terre était sourde. Mais, sois béni ! voici qu’en des âges plus doux Les poètes nouveaux ont eu pitié de nous ! Tout est ressuscité dans l’aurore vermeille, Et la sainte Louange avec nous se réveille. Vois, le ciel est vivant, les astres sont vivants ; Une ode ivre de joie éclate aux quatre vents. Partout, dans le flot clair et sur l’âpre colline, Brille, nue en sa fleur, la beauté féminine ; Les fleuves, tout emplis de rires ingénus, Se soulèvent, charmés, sous les jeunes seins nus Qu’on voit fuir et glisser vers les grottes obscures ; Chevelures d’azur et vertes chevelures, Les ondes, les rameaux frémissent de plaisir. Tu ris à l’univers que tu vas ressaisir ! Oui, c’est pour toi que les étoiles resplendissent ; Devant tes yeux charmés des chœurs dansants bondissent ; Tu revois dans l’eau vive et dans l’air agité Mille reflets divers de ta divinité, Et tu n’es plus seul ! dans nos palais grandioses L’échelle des héros et des apothéoses Qui joint la terre au ciel pour tes yeux éclairci, Se relève, sublime escalier d’or. Ainsi Les Dieux et l’Homme et la Nature au flanc sonore Sont comme une famille immense qui s’adore ; Et dans ce grand festin de la terre et des cieux Tandis que nous buvons le vin délicieux Et la force de vie intense qu’il recèle À la félicité de l’âme universelle, Enivrés comme toi de sons et de rayons Dans l’immuable azur, Homme, nous te voyons, Revêtu de nouveau de ta force première, Puissant Génie ailé, monter vers la lumière ! C’est ainsi que parla vers l’avenir naissant La grande Aphroditè, caressante et laissant Courir sur son dos sa chevelure embaumée, Et les Sphères, suivant leur route accoutumée, Regardaient ses yeux noirs, carquois inépuisés, Avec des tremblements et des bruits de baisers. Goûtant les mets divins après de si longs jeûnes, Les grands Dieux se penchaient vers moi, bienveillants, jeunes, Régénérés, heureux d’avoir, grâce à l’effort Des poètes, vaincu les horreurs de la mort, Et le joyeux titan Amour, levant sa coupe Que rougit le nectar, vers les Charites, groupe Adorable, naguère encor du ciel banni, Disait Que l’Homme soit béni ! que l’Infini Peuplé d’Astres-amants pour lui n’ait plus de voiles ! Et j’entendis le chant merveilleux des Étoiles. Septembre 1866.
Desmilliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs dans les jardins, Des milliers d'abeilles sur
Poèmes pour la fête des mères Maman, quand tu es en colère, Maman, quand tu t’en vas, Maman, quand tu es de bonne humeur, Je t’aime de tout mon cœur Maman, quand tu me cajoles, Maman, quand je te dis ce poème, Comprends tu combien je t’aime ? Marie Aubinais dans les belles histoires de Pomme d'Api Pour imprimer ce poème en 2 exemplaires, cliquez ici Que dans tous les vergers Qu’on en pourrait donner. Maurice Carême Pour imprimer ce poème, cliquez sur l'image Si j'étais… Si j'étais une fleur Je t'offrirais le bonheur de mon cœur Si j'étais une oiseau Je t'emmènerais au dessus de l'eau Si j'étais un bateau Je te ferais voguer sur l'eau Si j'étais un parfum Je t'embaumerais tous les matins Si j'étais un perroquet Je te ferais un bouquet avec mes plumes colorées Mais je ne suis qu'un enfant Et je t'ai fait un poème Pour te dire que je t'aime Pour ma maman que j’aime J’ai mis dans un poème Un a », un i », un m » Un e » pour dire je t’aime » Un a » au chocolat Un i » à la chantilly Un m » avec de la crème Un e » très amoureux Et j’ai fait un gâteau Que nous mangerons bientôt En récitant ce poème Pour ma maman que j’aime Anny et Jean-Marc Versini Pour imprimer ce poème en 3 exemplaire format PDF, cliquez ici Bonne fête maman Petit oiseau, à la volette viens te percher dessus mon doigt, que je te dise, à la volette, un grand secret rien que pour toi "la plus jolie fée de la terre c'est ma maman, ma maman à moi." pour imprimer ce poème, cliquez ici Maman, Colère, privé de dessert, Transgression, punition, éducation, Une maman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs dans les jardins, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur la plage, Des milliers de poissons dans la mer Et seulement seulement Une maman. Pour imprimer ce poème, cliquez ici. Maman, tu me prends par la main Tu m’apportes ton soutien Et consoles mes chagrins, Aujourd’hui je voulais te dire Parce que cela me fait plaisir Maman Unique et chérie, Tu m’as donné la vie J’ai préparé ce cadeau Que je t’offre aujourd’hui Pour te dire mon amour Tu me donnes de la tendresse Grâce à toutes tes caresses Aussi gentille que je puisse l’espérer Aujourd’hui comme tous les jours tu es la mère rêvée Ne sachant que faire pour te remercier, j’ai écrit ce poème qui traduit ma pensée. Ma vie est un enchantement Quand je m'endors, quand je m'éveille, Ou quand je joue, à tout moment, Une fée douce me surveille, Et m'entoure de soins charmants. Cette merveille, C'est ma maman ! Pour imprimer en 6 exemplaires, cliquez ici L’abeille va au soleil Le soleil brille dans le ciel Maman est belle Il est quelle heure ? Maman voudrait des fleurs Je l’aime de tout mon cœur Maman fait du bateau Elle adore les cadeaux Elle part dans le vent Pour remonter le temps. Si tu étais un soleil, Je serais ton rayon. Si tu étais un oiseau, Je serais tes ailes. Si tu étais une fleur, Je serais tes pétales Si tu étais un cahier, Je serais tes feuilles. Si tu étais un crayon, Je serais ta gomme. En fait, je ne suis que mettre le nom de l'enfant Et je te souhaite une bonne fête maman. Maman, Je t'aime Et T'aimerai toujours Avec le même amour Irremplaçable Maman Eternelle Maman Clément, 8 ans de Marseille Pour imprimer en 2 exemplaires, cliquez ici Tu sais me soutenir Tu m'aimes et je t'aime Simplement J’ai cherché dans les poèmes Comment te dire je t’aime. J’ai trouvé des mots savants Bien trop long pour mes cinq ans. Alors, j’ai cherché ailleurs Et j’ai trouvé dans mon cœur Les mots que tu m’as appris quand j’étais encore petit. Maman, je t’aime grand comme ça ! Je le dis avec mes bras. Pour imprimer en 6 exemplaires sur A4, cliquez ici Maman ma fée Faite de tendresse Et de caresses Maman bien-aimée. Aujourd’hui, c’est toi qui est là pour moi, Demain, je te soutiendrai Maman, je pense à toi, Car tu fais tout pour moi, C’est toi qui me soutiens Quand j’ai un vrai chagrin Tu m’aides à bien grandir Et à m’épanouir Je t’écris ce poème Pour te dire que je t'aime Je voulais, maman gentille, T’offrir de belles jonquilles En un bouquet engageant. J’ai regardé les boutiques mais les prix sont fantastiques et ma bourse a peu d’argent ! Alors, au fond de ma tête J’ai composé pour ta fête Un tout petit compliment Et je t’offre ce poème Pour te dire que je t’aime, Je t’aime bien fort, Maman Ouvre grand la fenêtre Ouvre grand La fenêtre Maman Ouvre grand Chut ! Écoute le vent Qui te porte un poème Des milliers de je t’aime Chut ! Écoute le vent Comme un jour de printemps. Il t'apporte un baiser Celui de ton enfant Bonne fête maman ! Pour imprimer en 2 exemplaires sur A4, cliquez ici Tout peut s'user Dans la vie Tout peut s’user Mes bas, mes souliers, Mon crayon et ma gomme à effacer. Mais moi, je connais une chose Qui ne peut jamais s’user. Maman Il y a longtemps Je n’étais pas grand Et je t’aimais déjà maman. Mais aujourd’hui, J’ai bien grandi Et je t’aime encore autant maman. Et demain quand Je serai géant Je t’aimerai encore toujours maman. Merci maman, merci Maman, maman ! Toute la nuit. Maman, maman ! Tous les jours. Maman, maman ! Toute l'année. Maman, maman ! Toute la vie. Et bien, je redis aujourd'hui Merci beaucoup, maman. Cacamelli Cliquez ici pour imprimer en 6 exemplaires Ma maman Quand j'étais petite, je ne savais pas manger, Ma maman m'a appris Et depuis, je dévore, je dévore sans arrêt. Quand j'étais petite, je ne savais pas parler, Ma maman m'a appris Et depuis, je bavarde, je bavarde sans arrêt. Quand j'étais petite, je ne savais pas marcher, Ma maman m'a appris Et depuis, je gambade, je gambade sans arrêt. Quand j'étais petite, je ne savais pas chanter, Ma maman m'a appris Et depuis, je chantonne, je chantonne, sans arrêt. Maman, je t'aime comme ça Maman câline Maman coquine Maman divine Je t'aime comme ça Maman dévouée Maman adorée Maman attentionnée Je t'aime comme ça Maman heureuse Maman lumineuse Maman merveilleuse Je t'aime comme ça Pour imprimer en 2 exemplaires, cliquer ici Bonne fête maman Quand je grimpe à l'échelle du bonheur Tout en haut, il y a une fleur Une fleur en forme de coeur A-t-on jamais vu ça ? Elle est en toi Maman Quand je suis tout au fond de tes bras. Anne Mangel Pour imprimer en 4 exemplaires, cliquez ici Ma vie est un enchantement Quand je m'endors Quand je m'éveille Ou quand je joue à tout moment Une fée douce me surveille Et m'entoure de soins charmants Cette merveille C'est ma maman. Pour imprimer en 4 exemplaires, cliquez ici Maman si tu étais une couleur, Tu les serais toutes Si tu étais un poème Tu les serais tous Tu es tout pour moi La plus belle Pour aller grandir Denis Heudré Pour imprimer, cliquez ici Maman Tous les jours Tu inventes des bisous Alors à mon tour D'inventer des mots Pour te dire mon amour Denis Heudré Pour imprimer, cliquez ici Poème quand il y a 2 mamans Mes mamans mes mamans sont tellement aimantes épatantes amusantes que j'aime les faire rire les rendre fières et les embrasser Denis Heudré Pour imprimer, cliquer ici
Jele dis avec mes bras. Maman-printemps Voilà des baisers blancs, Des baisers bleus Des baisers de toutes les couleurs Des baisers-pois-de-senteur Légers, légers, légers Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des baisers pâquerettes Tout ébouriffés Et des baisers-soleil Avec des cœurs GRANDS comme ça Maman-printemps

I Je sors, Il y a des milliers de pierres dans le ciel, J'entends De toute part le bruit de la nuit en crue. Est-il vrai, mes amis, Qu'aucune étoile ne bouge? Est-il vrai Qu'aucune de ces barques pourtant chargées D'on dirait plus que la simple matière Et qui semblent tournées vers un même pôle Ne frémisse soudain, ne se détache De la masse des autres laissée obscure? Est-il vrai Qu'aucune de ces figures aux yeux clos Qui sourient à la proue du monde dans la joie Du corps qui vaque à rien que sa lumière Ne s'éveille, n'écoute? N'entende au loin Un cri qui soit d'amour, non de désir? II Elle ouvrirait, sans bruit, Elle se risquerait dans le vent de mer Telle une jeune fille qui sort de nuit Soulevant une lampe qui répand Sa clarté, qui l'effraye aussi, sur ses épaules, Et se retourne, mais le monde va sans réponse, Le bruit des pas de ceux qui devraient ouvrir Leur porte sous les arbres, et la rejoindre Ne sonne pas encore dans la vallée. Les choses sont si confiantes pourtant, L'agneau si complaisant à la main qui tue, Et les regards sont si intenses parfois, Les voix se troublent si mystérieusement quand on prononce Certains mots pour demain, ou au secret Des fièvres et des invites de la nuit. Est-il vrai que les mots soient sans promesse, Éclair immense en vain, Coffre qui étincelle mais plein de cendres? III En d'autres temps, mes amis, Nous aurions écouté, ne parlant plus Soudain, Bruire la pluie de nuit sur les tuiles sèches. Nous aurions vu, courbé Sous l'averse, courant La tête protégée par le sac de toile, Le berger rassembler ses bêtes. Nous aurions cru Que le couteau de la foudre dévie Parfois, compassionné, Sur le dos laineux de la terre. Nous aurions aperçu, qui se dispersent Chaque fois que c'est l'aube, Les rêves qui déposent, couronnés d'or, Leur étincellement près d'une naissance. IV Et fût-elle venue S'asseoir auprès de nous, l'incohérente, La vieille qui n'a plus que le souvenir, Reste, l'un d'entre nous Eût dit, reste, détends tes mains noircies par la fumée, Parle-nous, instruis-nous, ô vagabonde. Le ciel était scellé pourtant, comme aujourd'hui, La barque de chaque chose, venue chargée D'un blé du haut du monde, restait bâchée À notre quai nocturne, brillant à peine De simplement la pluie dans le vent de mer. Et on rentrait le soir les mêmes bêtes lasses, La mort était servante parmi nous À recueillir le lait qui a goût de cendre. V Je sors. Je rêve que je sors dans la nuit de neige. Je rêve que j'emporte Avec moi, loin, dehors, c'est sans retour, Le miroir de la chambre d'en haut, celui des étés D'autrefois, la barque à la proue de laquelle, simples, Nous allions, nous interrogions, dans le sommeil D'étés qui furent brefs comme est la vie. En ce temps-là C'est par le ciel qui brillait dans son eau Que les mages de nos sommeils, se retirant, Répandaient leurs trésors dans la chambre obscure. VI Et la beauté du monde s'y penchait Dans le bruissement du ciel nocturne, Elle mirait son corps dans l'eau fermée Des dormeurs, qui se ramifie entre des pierres. Elle approchait bouche et souffle confiants De leurs yeux sans lumière. Elle eût aimé Qu'au repli de sa robe fermée encore Paraisse sous l'épaule le sein plus clair, Puis le jour se levait autour de toi, Terre dans le miroir, et le soleil Ourlait ta nuque nue d'une buée rouge. Mais maintenant Me voici hors de la maison dont rien ne bouge Puisqu'elle n'est qu'un rêve. Je vais, je laisse N'importe où, contre un mur, sous les étoiles, Ce miroir, notre vie. Que la rosée De la nuit se condense et coule, sur l'image. VII Ô galaxies Poudroyantes au loin De la robe rouge. Rêves, Troupeau plus noir, plus serré sur soi que les pierres Je vais, Je passe près des amandiers sur la terrasse. Le fruit est mûr. J'ouvre l'amande et son cœur étincelle. Je vais. Il y a cet éclair immense devant moi, Le ciel, L'agneau sanglant dans la paille. Yves Bonnefoy

Poesie Victor Hugo (54) Des milliers d’étoiles dans le ciel pour maman André Bay Format imprimable Une Maman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers,
Une Maman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André Bay
Poèmeet poésie – Fête des mères: Une maman : 2eme Primaire Une maman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman.
Idée texte / message > Texte par thème > Texte étoile étoile Idées, modèles et exemples de textes, messages et lettres étoile Exemples et modèle de lettres 827 Lorsque je suis seul le soir et que je regarde le ciel par la fenêtre, je vo... Voir le modèle de texte en entier souhaiter bonne nuit 608 Chaque étoile qui brille dans la nuit qui t'entoure est un bisou que je t'en... Voir le modèle de texte en entier souhaiter bonne nuit 821 Voir le modèle de texte en entier faire un poisson d'avril 314 "L’Étoile brille en la nuit fraîche, Les Anges chantent Gloria » ! ... Voir le modèle de texte en entier souhaiter joyeux noël 715 Que les lumières et les étoiles qui illuminent et scintillent autour de nou... Voir le modèle de texte en entier souhaiter joyeux noël 752 Je suis tellement désolé et regrette énormément mon attitude. Tu ne quitt... Voir le modèle de texte en entier souhaiter bonne nuit 1233 Comment vais-je faire pour passer cette longue nuit sans toi ? Bonne nuit mon... Voir le modèle de texte en entier souhaiter bonne nuit 17 Quand on est aimé, on ne doute de rien. Quand on aime, on doute de tout. C... Voir le modèle de texte en entier mots d'amour pour accompagner des fleurs 236 L’amour qui meut le soleil et les autres étoiles. Citation de Dante No... Voir le modèle de texte en entier déclaration d'amour 273 Peut être qu'ils ne sont pas des étoiles mais plutôt des ouvertures dans l... Voir le modèle de texte en entier condoléances messages et cartes 56 Une maman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dan... Voir le modèle de texte en entier souhaiter une bonne fête des mères 221 Le chagrin est si facile à exprimer et pourtant si difficile à dire. Joni ... Voir le modèle de texte en entier enterrement textes pour accompagner des fleurs 861 A notre sœur tant aimée A mon époux A jamais dans notre cœur Tu nous m... Voir le modèle de texte en entier plaque funéraire 1625 A maman Maman, mon étoile est en fête ! Maman, mon étoile est en fleurs... Voir le modèle de texte en entier souhaiter une bonne fête des mères 106 Une étoile est tombée du ciel et vient d’atterrir dans nos bras avec ... Voir le modèle de texte en entier faire part de naissance 75 Qui a des yeux qui brillent plus que les étoiles ? Qui a un sourire plus r... Voir le modèle de texte en entier faire part de naissance 130 C'est avec énormément de tristesse que nous avons appris le départ de votr... Voir le modèle de texte en entier condoléances messages et cartes Poèmeet poésie - Fête des mères: Une maman - Ce1 - Cycle 2 Une maman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. Audré Bay Expéditeur Conversation ROLLANDPOEME Envoyé le 16/3/2015 1856 Plume de platineInscrit le 24/1/2015De Envois 3257 UN FRAGMENT D'ETERNITEJe ne suis qu’un fragile fragment d’éternitéEnfanté dans le noir du ventre de l’ par une étoile, par sa lumière chauffé,Elle me protégeait du froid de la nuit polaire. Par secousses terrifiantes d’un grand chambardement Sur mon astre doré, au fil des millénaires,J’ai vu émerger les galaxies du néant,La naissance des planètes et du système par une météorite, mon étoileEclata, devint de la poussière d’éternité infinitésimal,Ainsi, je perdis mon hôtesse une dérive en centaines d’années-lumière,Protégé par la lune et son sourire séculaire,Par hasard, je tombai sur la planète Terre,J’appréciai surtout son eau et le fond des mers. Avec le soleil en complice et sa chaleurBienfaitrice, la fin programmée des ères glaciaires,Tout se transforme, apparaissent les arbres et les fleurs. La Terre proclamée paradis de l’Univers. Un simple souffle ! Un fragment de l’éternité !Nul ne connaît mes origines, pourtant je suis Dans chaque corps, j’ai fécondé l’humanité,Prenez grand soin de moi, vous m'appelez la Vie. Sympatique Envoyé le 16/3/2015 1901 Plume de diamantInscrit le 4/5/2014De Ailleurs ....Envois 12610 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE vous m'appelez la Vie.,,,,,,,,,,,,,,,,,et de l'esprit qui cherche sous ces plis bellement dit licorne40 Envoyé le 16/3/2015 1902 Plume de platineInscrit le 20/1/2015De Envois 3084 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEmerci Rolland pour ce magnifique poèmej'ai adorémes amitiés cristof75 Envoyé le 16/3/2015 1926 Mascotte d'OasisInscrit le 24/8/2010De parisEnvois 13424 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE SOLANE Envoyé le 16/3/2015 1937 Plume d'orInscrit le 27/2/2010De Face à la merEnvois 626 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEBonsoir Rolland,Laissez vous tenter par l’excellent livre des frères BOGDANOV ; la fin du hasardCe n’est pas de la science-fiction, mais un essai de vulgarisation scientifique, bien écrit et bien documenté. Si la vie s’est développée sur notre » planète ce n’est pas dû au hasard…il y avait tous les éléments pour qu’elle se développe, Voltaire disait L’Univers m’embarrasse et je ne puis songer que cette horloge existe et n’ait pas d’horloger »Votre écriture laisse planer un certain mystère...BravoSOLANE celia_m Envoyé le 16/3/2015 1947 Plume de platineInscrit le 21/1/2015De Québec CanadaEnvois 2075 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEMerci pour ce poème..magnifiquement beau..Amitiéscélia Tournesol Envoyé le 16/3/2015 1954 Plume de platineInscrit le 18/4/2008De RoumanieEnvois 5281 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITECeci est une merveilleuse vision poétique de ce qui aurait pu se passer au temps 0 de notre UNIVERS et de l'HUMANITE. Moults MERCIS pour ce poème '' autobiographique '' , Rolland. Quant aux légendes chinoises sur ce thème, en voici une, intitulée '' Pangu crée le monde ''IAvant que le Monde soit Monde, l’univers ressemblait à un grand oeuf où se mêlait le Ciel et la Terre, l’Obscurité et le Chaos. Pangu y dormait milles ans après notre géant se ouvrant les yeux, il ne rencontra que l’obscurité. La sensation d’étouffement et d’ennui qu’il éprouva le mit dans une colère terrible. Il ouvrit ses énormes mains, souleva ses bras colossaux et, de toutes ses forces, donna un énorme coup sur la paroi. Dans un bruit de tonnerre, l’oeuf se brisa en deux, et tous ses éléments, figés depuis des milliers et des milliers d’années, se répandirent en tous l’agitation qui suivit, les éléments légers et transparents s’élevèrent doucement et se dispersèrent peu à peu pour former le Ciel, tandis que les éléments lourds et gluants descendirent et se déposèrent pour former la Terre. Debout entre le Ciel et la Terre, Pangu poussa un long soupir de soulagement et se sentit beaucoup plus à l’ Ciel et la Terre étaient séparés. Mais, craignant qu’ils se réunissent à nouveau, Pangu leva les bras pour soutenir le Ciel qui lui pesait sur la Ciel et la Terre grandirent à raison de trois mètres par jour, au même rythme que milles ans s’écoulèrent encore. Le Ciel était déjà très haut, la Terre très épaisse, et la taille de Pangu atteignait quelque quarante cinq milles kilomètres !Grâce à la force prodigieuse de Pangu, le Ciel et la Terre avaient été créés, et les efforts qu’il avait consacrés à séparer le Ciel et la Terre éliminaient tout risque de les voir à nouveau se obscur et chaotique de l’univers n’était plus qu’un lointain souvenir. Hélas, épuisé par ses travaux de création, notre géant finit par mourir de espérait créer, après la séparation du Ciel et de la Terre, un monde rayonnant et magnifique, éclairé par le Soleil et la Lune, surmonté de montagnes, habité par des hommes et d’autres êtres vivants. Mais il s’éteignit sans pouvoir achever cette oeuvre il advint qu’à la mort du génie créateur, son corps se métamorphosa entièrement Son souffle se transforma en brise printanière donnant vie aux êtres vivants, en nuages et en brumes suspendus dans le ciel et sa voix se changea en tonnerre secouant le Ciel et la oeil gauche devint un Soleil flamboyant, son oeil droit, une Lune claire. Ses cheveux et sa barbe se changèrent en une multitude d’ quatre membres et son corps devinrent cinq hautes montagnes s’élevant jusque dans les nuages et s’étendant à l’Est, au Sud, à l’Ouest et au Nord de la sang se transforma en fleuves et en rivières impétueux, et ses veines en routes courant dans toutes les muscles devinrent des champs fertiles, ses dents, ses os et sa moelle se cristallisèrent en perles, en jade et en minéraux poils de sa peau se métamorphosèrent en prairies et en forêts tapissant toute la Terre, et sa sueur tomba en rosée et en pluie arrosant la monde splendide et merveilleux fut ainsi créé grâce à la force prodigieuse et à l’esprit d’abnégation du géant à l’humanité, on dit qu’elle serait née de l’âme du géant après sa mort. Ainsi pouvons-nous prétendre être chacun les descendants légitimes du géant Pangu, créateur du Ciel et de la Terre. Au plus grand plaisir de vous relire, AMITIES sincères,-Doïna amoureuse du Temps et de l'Espace qui m'hébergent grâcieusemant dans l'Univers luzdelsol Envoyé le 16/3/2015 1958 Mascotte d'OasisInscrit le 10/1/2011De sur ma planète "le soleil"Envois 24428 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEMerci pour ce très beau partage et ce retour aux sources originelles Luz -Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. Le DalaÏ LamaNul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran Isalabella Envoyé le 16/3/2015 2342 Plume de platineInscrit le 24/2/2015De Haut-de-FranceEnvois 3457 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEAlors...MERCI LA VIE!MERCI à toi Rolland pour ce sublime poème, tu nous tiens en haleine jusqu'au bout! j'ai adoré. Tous mes applaudissements Douce nuitAmitiés Isabelle poesiade Envoyé le 17/3/2015 806 Plume de platineInscrit le 17/7/2008De un patelin de paix et d'amourEnvois 7327 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE"Un simple souffle ! Un fragment de l’éternité !Nul ne connaît mes origines, pourtant je suisDans chaque corps, j’ai fécondé l’humanité,Prenez grand soin de moi, vous m'appelez la Vie. "Très bel écrit que ce cheminement de ce souffle que nous appelons la Vieamitié -Mon Roman " LES LAMES DU SILENCE" vient de paraître chez EDILIVRE ROLLANDPOEME Envoyé le 20/3/2015 837 Plume de platineInscrit le 24/1/2015De Envois 3257 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEMerci à vous tous pour vos messages amicaux et votre journéeRolland angiee Envoyé le 21/3/2015 2153 Plume de platineInscrit le 26/8/2008De AilleursEnvois 9862 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEBonsoir j aime beaucoup celui ci,il y a tout ,mais il parle humanité et de vie,et ça j adore merci - cyrael Envoyé le 19/10/2018 1437 Mascotte d'OasisInscrit le 30/10/2005De ****Envois 75139 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE nous ne sommes qu'un fragment........beau poème, qui exprime bien la fragilité..d'une existence face à l'immensitéau plaisir de vous lire, je vous souhaite une heureuse journée de vendredi-belle journée aux poètes keraban Envoyé le 19/10/2018 1532 Mascotte d'OasisInscrit le 15/11/2007De La Corrèze du sudEnvois 11099 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEJ'ai bien aimé cette poésie, la naissance de la vie et sa survie, et l'ai mise en parallèle avec le tableau du nu féminin de Gustave Courbet, "l'origine du monde".Bravo RolandAmitiéKeraban -J'aime la poésie qui me parle et qui chanteLire plusieurs de mes livres récits, roman, polar, essai, poèmes poetal Envoyé le 19/10/2018 1616 Plume de platineInscrit le 20/10/2015De Envois 7862 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE Shovnigorath Envoyé le 22/10/2018 1242 Plume de platineInscrit le 7/4/2012De ProvenceEnvois 3067 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE -“L'homme est un animal domestique, l'animal est un homme libre” Shovnigorath Josy Envoyé le 24/10/2018 1545 Plume d'argentInscrit le 16/11/2013De BelgiqueEnvois 314 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE ISABELLE59 Envoyé le 1/11/2020 944 Mascotte d'OasisInscrit le 14/12/2011De DUNKERQUEEnvois 17025 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE Sybilla Envoyé le 27/10/2021 1505 ModératriceInscrit le 27/5/2014De Envois 67789En ligne Re UN FRAGMENT D'ETERNITEBonjour Rolland,Un fragment de la vie, qui si elle n'est pas éternelle, au moins puisse t'elle offrir le meilleur !Magnifique poésie en ce souffle très bien esquissé en tes très beaux vers ! Belle journée !AmitiésSybilla-Le rêve est le poumon de ma vie. Citation de Sybilla Esperances Envoyé le 29/10/2021 109 Plume de platineInscrit le 7/12/2019De Envois 4254 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE Ancielo Envoyé le 29/10/2021 136 Mascotte d'OasisInscrit le 18/10/2021De Seine Maritime - DieppeEnvois 2866 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEUn magnifique poème. berrichonne Envoyé le 29/10/2021 747 Plume de diamantInscrit le 17/6/2008De Envois 13718 Re UN FRAGMENT D'ETERNITESuperbe, j'ai lu et relu !Bonjour Rolland, mes amicales -La vie est belle il faut savoir l'apprécier. Sphyria Envoyé le 29/10/2021 759 Plume de platineInscrit le 25/4/2021De FranceEnvois 9734 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEJ'ai beaucoup aimé ce voyage poétique dans l'infiniment grand et la naissance de la Vie !Ton poème nous transporte dans le monde des origines avec talent ! fil2fer Envoyé le 30/10/2021 711 Plume d'orInscrit le 3/11/2015De Envois 1046 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEUn bel hommage à la vie, si mystérieuse et si
Nosclairons ont chanté la trêve, car le nuage de la nuit s'est abaissé, Et les étoiles sentinelles montaient la garde dans le ciel; Et des milliers de personnes avaient sombré sur le sol, vaincues, Les fatigués pour dormir, et les blessés pour mourir.
Pour La fêtes des mères, rien de plus mignon qu'un enfant qui récite ou qui recopie sur une belle carte un joli poème. Voici 7 oeuvres incontournables pour fêter les mamans. Ce dimanche 31 mai 2015, c'est la fête des mères. L'occasion de faire plaisir même sans argent de poche avec un poème. Parce que c'est un monument de la poésie pour enfants, on a sélectionné ici trois poèmes de Maurice Carême " Pour ma mère " ; " L'oiseau et moi " et " Que les abeilles ". Vous trouverez aussi le texte de " Une maman " D'André Bay, un grand classique pour la Fête des mères, mais aussi des poèmes des Christian Merveille et Pierre Gamarra. Des morceaux choisis adaptés aux tout petits puisqu'ils sont tous très courts. En bonus un extrait de " Papa, maman " de Georges Brassens. " POUR MA MÈRE " DE MAURICE CARÊME Il y a plus de fleurs Pour ma mère, en mon coeur, Que dans tous les vergers ; Plus de merles rieurs Pour ma mère, en mon coeur, Que dans le monde entier ; Et bien plus de baisers Pour ma mère, en mon coeur, Qu'on en pourrait donner. " MAMAN, PAPA " DE GEORGES BRASSENS Maman, maman, en faisant cette chanson, Maman, maman, je r'deviens petit garçon, Alors je suis sage en classe Et, pour te fair' plaisir, J'obtiens les meilleures places, Ton désir. Maman, maman, je préfère à mes jeux fous, Maman, maman, demeurer sur tes genoux, Et, sans un mot dire, entendre tes refrains charmants, Maman, maman, maman, maman. " UNE MAMAN " D'ANDRÉ BAY Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. " MAMAN " DE CHRISTIAN MERVEILLE Il y a longtemps Je n'étais pas grand Et je t'aimais déjà maman. Mais aujourd'hui, J'ai bien grandi Et je t'aime encore autant maman. Et demain quand Je serai géant Je t'aimerai encore toujours maman. " LA VOIX DE MA MÈRE " DE PIERRE GAMARRA Des perles, des colliers d'argent Des violons et des cerises, Un grand navire de cristal Qui s'en va, poussé par la brise. Dans un arbre bleu qui se dresse La lune pend comme un gâteau Une musique me caresse En courant le long de ma peau. Les pigeons et les passeroses Viennent dresser dans ma maison Quand la voix de ma mère chante, La nuit est pleine de couleurs. " L'OISEAU ET MOI " DE MAURICE CARÊME Oui, c'est avec Le bout de ses ailes trempées De rosée Qu'un oiseau envoie les baisers Qui tremblent dans son bec. Et moi, c'est en nouant Mes bras rieurs Au cou de ma maman, Que je lui donne les baisers De l'oiseau léger Qui chante dans mon coeur. " QUE LES ABEILLES " DE MAURICE CARÊME Que les abeilles étaient près de Dieu ! Je n'avais qu'à clore les yeux, Et à me laisser glisser Au fil argenté du dimanche, Et que mon coeur avait de transparence ! On n'avait qu'à le renverser Et l'on me voyait au travers Danser à l'ombre de ma mère. Des milliers d’étoiles dans le ciel, des milliers de fleurs dans le jardin, des milliers d’abeilles sur les fleurs, des milliers de coquillages sur les plages, et seulement, seulement une maman. » Enfants comme adultes, qui n’a jamais eu envie d’offrir un petit poème à sa maman le jour de la fête des mères ? Si vous êtes en manque d’inspiration et que vous recherchez un message touchant pour la fête des mères, cet article est fait pour vous ! Nous avons sélectionné les plus jolis poèmes de fête des mères à imprimer pour les mamans, quel que soit l’âge que vous avez. Que ce soit pour compenser un oubli de cadeau de fête des mères, ou pour accompagner un joli bouquet de fleurs d’une carte pleine d’amour aux couleurs douces, votre maman sera forcément touchée par ce geste pour la fête des mères. Un poème de fête des mères est l’occasion de lui faire passer un beau message, alors il ne faut pas hésiter à lui offrir un poème touchant, que vous en soyez l’auteur, ou que vous préfériez vous reposer sur des poètes avérés. Poèmes courts pour la fête des mèresPoèmes de longueur moyenne pour la fête des mèresPoèmes humoristiques pour la fête des mères Poèmes autour des fleurs pour la fête des mèresComptines et poèmes de fête des mères pour enfants en maternelleEcrivez vous-même un poème pour votre maman Poème 1 J’entends au-dessus de moi dans les cieux Les anges qui murmurent entre eux Ils ne peuvent trouver de mot d’amour plus grand Que celui-ci Maman » Edgar Allan Poe Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 2 Oh! l’amour d’une mère! amour que nul n’oublie! Pain merveilleux qu’un Dieu partage et multiplie! Table toujours servie au paternel foyer ! Chacun en sa part, et tous l’ont tout entier ! » Victor Hugo Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 3 Tout peut s’user Mais moi, je connais quelque chose qui ne peut pas s’user C’est la joue de maman Qui reçoit des baisers de son enfant Maurice Carême Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 4 Je t’envoie des tonnes de fleurs, Un océan de câlins, Pour une vie entière de bonheur, Parce que tu le mérites bien! Bonne fête ma maman à moi… Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 5 Mon cœur me dit que c’est ta fête. Je crois toujours mon cœur quand il parle de toi Maman que faut-il donc que ce cœur te souhaite? Des trésors? Des honneurs? Des trônes? Non ma foi! Mais un bonheur égal au mien quand je te vois Victor Hugo Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poèmes de longueur moyenne pour la fête des mères Poème 6 Quelquefois sur ma tête elle met ses mains pures, Blanches, ainsi que des frissons blancs de guipures. Elle me baise au front, me parle tendrement, D’une voix au son d’or mélancoliquement. Elle a les yeux couleur de ma vague chimère, O toute poésie, ô toute extase, ô Mère ! A l’autel de ses pieds je l’honore en pleurant, Je suis toujours petit pour elle, quoique grand. Emile Nelligan Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 7 Ô ma mère, ce sont nos mères Dont les sourires triomphants Bercent nos premières chimères Dans nos premiers berceaux d’enfants. Donc reçois, comme une promesse, Ce livre où coulent de mes vers Tous les espoirs de ma jeunesse, Comme l’eau des lys entr’ouverts ! Reçois ce livre, qui peut-être Sera muet pour l’avenir, Mais où tu verras apparaître Le vague et lointain souvenir De mon enfance dépensée Dans un rêve triste ou moqueur, Fou, car il contient ma pensée, Chaste, car il contient mon cœur. Théodore de Banville Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 8 Il y a plus de fleurs Pour ma mère, en mon coeur, Que dans tous les vergers ; Plus de merles rieurs Pour ma mère, en mon coeur, Que dans le monde entier ; Et bien plus de baisers Pour ma mère, en mon coeur, Qu’on en pourrait donner. Maurice Carême Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 9 Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André Bay Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 10 Quelques petits mots d’amour Dans mon coeur, pour toujours. Parce que c’est un jour particulier, Je voudrais te les dédier. Te les offrir, Te les dire, Et je n’oublierai jamais Grâce à toi, je suis née. À toi maman, Je dédie ce poème. À toi maman, Je déclare je t’aime ! Naliwe Lewan Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poèmes humoristiques pour la fête des mères Poème 11 Je voulais, Maman gentille, T’offrir de belles jonquilles En un bouquet engageant. J’ai regardé les boutiques Mais les prix sont fantastiques Et ma bourse a peu d’argent! Alors, au fond de ma tête, J’ai composé pour ta fête Un tout petit compliment, Et je t’offre ce poème Pour te dire que je t’aime, Je t’aime bien fort, Maman. Michel Beau Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 12 Bien sûr, maman, je veux t’offrir Oh, tout ce qui peut te faire plaisir. Naturellement, pas des trésors, Non, mais de gros efforts. Et, cette fois-ci, promis, je vais Faire mon lit, ranger, m’appliquer; Eteindre la télévision, Apprendre par cœur mes leçons, Etre un modèle d’obéissance… Mais tout à coup, maman, j’y pense Avec un enfant si parfait, Maman, c’est sûr, tu t’ennuierais. Jean Michel Robineau Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poèmes autour des fleurs pour la fête des mères Poème 13 Je t’offre des fleurs Car tu répares mon cœur Je t’offre des fleurs Car tu effaces mes peurs Je t’offre des fleurs Car tu es dans mon cœur ! Bonne fête maman Thi ành Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 14 J’ai cueilli trois fleurs des champs Mais la plus jolie que j’aime tant Mais la plus jolie, c’est pour Maman. J’ai trouvé trois cailloux blancs Mais le plus joli que j’aime tant Mais le plus joli, c’est pour Maman. J’ai aussi trois beaux rubans Mais le plus joli que j’aime tant Mais le plus joli, c’est pour Maman. Je n’ai qu’un petit cœur d’enfant, Mais mon petit cœur qui l’aime tant Mais mon petit cœur, C’est pour maman. C. Duparc Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Comptines et poèmes de fête des mères pour enfants en maternelle Si vous êtes un parent qui recherche un poème pour son enfant, afin qu’il l’offre à sa maman pour la fête des mères, ou une instituteurtrice qui cherche un poème de fête des mères pour une classe maternelle ou plus, cette partie s’adresse à vous ! Voici notre sélection de poèmes fête des mères maternelle, pour les tout-petits. Poème 15 Il y a longtemps Je n’étais pas grand Et je t’aimais déjà maman. Mais aujourd’hui, J’ai bien grandi Et je t’aime encore autant maman. Et demain quand Je serai géant Je t’aimerai encore toujours maman. Christian Merveille Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 16 Ma main est une fleur Mes doigts sont des pétales Je t’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout Pas du tout ! Vilaine petite fleur! Je sais bien que maman m’aime de tout son coeur ! Bonne fête Maman ! Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 17 J’ai des mains pour te toucher J’ai des bras pour te serrer Des pieds pour courir vers toi Pour t’appeler j’ai ma voix Et puis, j’ai mon coeur encore Pour t’aimer toujours plus fort. Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 18 J’ai cherché dans les poèmes Comment dire je t’aime J’ai trouvé des mots savants Bien trop longs pour mes cinq ans. Alors, j’ai cherché ailleurs Et j’ai trouvé dans mon coeur Les mots que tu m’as appris Quand j’étais encore petit Maman, je t’aime, grand comme ça ! Je le dis avec mes bras. Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 19 Devine ce que je cache Derrière mon dos ? Non, ce n’est pas une tache, Ni un accroc. Ce ne sont pas des mains sales, Ni un trou ovale. Ce sont des fleurs de mai Qui ne faneront jamais. Bonne fête maman. Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Comment écrire un poème pour votre maman pour la fête des mères Vous avez une belle plume et vous souhaitez écrire un message personnalisé sous forme de poésie à votre maman ? Voici quelques conseils Tout d’abord, et c’est le plus important soyez sincère, et laissez parler vos émotions. Votre maman est la personne qui vous aime le plus au monde, et ne jugera donc jamais les mots que vous choisissez, aussi maladroits le style de votre poème en vers ou en prose. La prose est beaucoup plus libre, et donc plus accessible. Elle n’impose pas de rîmes, ni de longueurs ou de nombre de strophes. En revanche, si vous vous sentez inspirés et un peu l’âme d’un poète, essayez donc d’écrire votre poème en vers. Plus rythmé et stylisé que la prose, les vers ont un aspect plus traditionnel qui porte un charme non négligeable. Toutefois, s’il s’agit de votre premier poème, préférez plutôt la un thème ou une idée particulière cela vous permettra de ne pas trop vous éparpiller sur trop d’idées différentes durant votre pas à lire d’autres poèmes pour vous en inspirer, et voir lequel correspond le plus à votre style et à ce que vous souhaitez parler votre imagination et votre cœur, votre maman sera à coup sûr touchée par votre geste Nous espérons que cet article vous aura plu, et que vous aurez trouvé le poème de fête des mères idéal à offrir à votre maman pour ce jour si spécial. Lire aussi À chaque maman son bouquet !La Fête des mères dans le monde illuminentle pré d’une lueur de ciel des milliers de soleils dans mes yeux un seul dans les cieux les boutons d’or par leurs traces de miel guident nos pas dans le désert des milliers de soleils dans ma tête un seul dans le système solaire un tourbillon d’étoiles dans les airs une seule nous réchauffe au cœur portées par le vent de l’univers les balises scintillent À MADAME DE P***. Il est pour la pensée une heure… une heure sainte, Alors que, s’enfuyant de la céleste enceinte, De l’absence du jour pour consoler les cieux, Le crépuscule aux monts prolonge ses adieux. On voit à l’horizon sa lueur incertaine, Comme les bords flottants d’une robe qui traîne, Balayer lentement le firmament obscur, Où les astres ternis revivent dans l’azur. Alors ces globes d’or, ces îles de lumière, Que cherche par instinct la rêveuse paupière, Jaillissent par milliers de l’ombre qui s’enfuit, Comme une poudre d’or sur les pas de la nuit ; Et le souffle du soir qui vole sur sa trace Les sème en tourbillons dans le brillant espace. L’œil ébloui les cherche et les perd à la fois Les uns semblent planer sur les cimes des bois, Tels qu’un céleste oiseau dont les rapides ailes Font jaillir, en s’ouvrant, des gerbes d’étincelles. D’autres en flots brillants s’étendent dans les airs, Comme un rocher blanchi de l’écume des mers ; Ceux-là, comme un coursier volant dans la carrière, Déroulent à longs plis leur flottante crinière ; Ceux-ci, sur l’horizon se penchant à demi, Semblent des yeux ouverts sur le monde endormi ; Tandis qu’aux bords du ciel de légères étoiles Voguent dans cet azur comme de blanches voiles Qui, revenant au port d’un rivage lointain, Brillent sur l’Océan aux rayons du matin. De ces astres de feu, son plus sublime ouvrage, Dieu seul connaît le nombre, et la distance, et l’âge Les uns, déjà vieillis, pâlissent à nos yeux ; D’autres se sont perdus dans les routes des cieux ; D’autres, comme des fleurs que son souffle caresse, Lèvent un front riant de grâce et de jeunesse, Et, charmant l’orient de leurs fraîches clartés, Étonnent tout à coup l’œil qui les a comptés. Dans l’espace aussitôt ils s’élancent… et l’homme, Ainsi qu’un nouveau-né, les salue et les nomme. Quel mortel enivré de leur chaste regard, Laissant ses yeux errants les fixer au hasard, Et cherchant le plus pur parmi ce chœur suprême, Ne l’a pas consacré du nom de ce qu’il aime ? Moi-même… il en est un, solitaire, isolé, Qui dans mes longues nuits m’a souvent consolé, Et dont l’éclat, voilé des ombres du mystère, Me rappelle un regard qui brillait sur la terre. Peut-être… ah ! puisse-t-il au céleste séjour Porter au moins ce nom que lui donna l’amour ! Cependant la nuit marche, et sur l’abîme immense Tous ces mondes flottants gravitent en silence, Et nous-même avec eux emportés dans leur cours, Vers un port inconnu nous avançons toujours. Souvent pendant la nuit, au souffle du zéphyre, On sent la terre aussi flotter comme un navire ; D’une écume brillante on voit les monts couverts Fendre d’un cours égal le flot grondant des airs ; Sur ces vagues d’azur où le globe se joue, On entend l’aquilon se briser sous la proue, Et du vent dans les mâts les tristes sifflements, Et de ses flancs battus les sourds gémissements ; Et l’homme, sur l’abîme où sa demeure flotte, Vogue avec volupté sur la foi du pilote ! Soleils, mondes errants qui voguez avec nous, Dites, s’il vous l’a dit, où donc allons-nous tous ? Quel est le port céleste où son souffle nous guide ? Quel terme assigna-t-il à notre vol rapide ? Allons-nous sur des bords de silence et de deuil, Échouant dans la nuit sur quelque vaste écueil, Semer l’immensité des débris du naufrage ? Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur l’ancre éternelle à jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder endormis ? Vous qui nagez plus près de la céleste voûte, Mondes étincelants, vous le savez sans doute ! Cet océan plus pur, ce ciel où vous flottez, Laisse arriver à vous de plus vives clartés ; Plus brillantes que nous, vous savez davantage ; Car de la vérité la lumière est l’image. Oui, si j’en crois l’éclat dont vos orbes errants Argentent des forêts les dômes transparents, Ou qui, glissant soudain sur des mers irritées, Calme en les éclairant les vagues agitées ; Si j’en crois ces rayons qui, plus doux que le jour, Inspirent la vertu, la prière, l’amour, Et, quand l’œil attendri s’entr’ouvre à leur lumière, Attirent une larme aux bords de la paupière ; Si j’en crois ces instincts, ces doux pressentiments Qui dirigent vers vous les soupirs des amants, Les yeux de la beauté, les rêves qu’on regrette, Et le vol enflammé de l’aigle et du poëte, Tentes du ciel, Édens, temples, brillants palais, Vous êtes un séjour d’innocence et de paix ! Dans le calme des nuits, à travers la distance, Vous en versez sur nous la lointaine influence. Tout ce que nous cherchons, l’amour, la vérité, Ces fruits tombés du ciel, dont la terre a goûté, Dans vos brillants climats que le regard envie Nourrissent à jamais les enfants de la vie ; Et l’homme un jour peut-être, à ses destins rendu, Retrouvera chez vous tout ce qu’il a perdu. Hélas ! combien de fois seul, veillant sur ces cimes Où notre âme plus libre a des vœux plus sublimes, Beaux astres, fleurs du ciel dont le lis est jaloux, J’ai murmuré tout bas Que ne suis-je un de vous ! Que ne puis-je, échappant à ce globe de boue, Dans la sphère éclatante où mon regard se joue, Jonchant d’un feu de plus le parvis du saint lieu, Éclore tout à coup sous les pas de mon Dieu, Ou briller sur le front de la beauté suprême, Comme un pâle fleuron de son saint diadème ! Dans le limpide azur de ces flots de cristal, Me souvenant encor de mon globe natal, Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que j’aimais briller près de la terre ; J’aimerais à glisser sous la nuit des rameaux, À dormir sur les prés, à flotter sur les eaux, À percer doucement le voile d’un nuage, Comme un regard d’amour que la pudeur ombrage. Je visiterais l’homme ; et s’il est ici-bas Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, Une âme en deuil, un cœur qu’un poids sublime oppresse, Répandant devant Dieu sa pieuse tristesse ; Un malheureux au jour dérobant ses douleurs, Et dans le sein des nuits laissant couler ses pleurs ; Un génie inquiet, une active pensée Par un instinct trop fort dans l’infini lancée ; Mon rayon, pénétré d’une sainte amitié, Pour des maux trop connus prodiguant sa pitié, Comme un secret d’amour versé dans un cœur tendre, Sur ces fronts inclinés se plairait à descendre. Ma lueur fraternelle en découlant sur eux Dormirait sur leur sein, sourirait à leurs yeux Je leur révélerais dans la langue divine Un mot du grand secret que le malheur devine ; Je sécherais leurs pleurs, et quand l’œil du matin Ferait pâlir mon disque à l’horizon lointain, Mon rayon, en quittant leur paupière attendrie, Leur laisserait encor la vague rêverie, Et la paix et l’espoir ; et, lassés de gémir, Au moins avant l’aurore ils pourraient s’endormir ! Et vous, brillantes sœurs, étoiles mes compagnes, Qui du bleu firmament émaillez les campagnes, Et, cadençant vos pas à la lyre des cieux, Nouez et dénouez vos chœurs harmonieux ; Introduit sur vos pas dans la céleste chaîne, Je suivrais dans l’éther l’instinct qui vous entraîne ; Vous guideriez mon œil dans ce vaste désert, Labyrinthe de feux où le regard se perd Vos rayons m’apprendraient à louer, à connaître Celui que nous cherchons, que vous voyez peut-être ; Et, noyant dans mon sein ses tremblantes clartés, Je sentirais en lui… tout ce que vous sentez. Huitième méditation Alphonse de Lamartine Poèmeet poésie - Fête des mères: Une maman : 2eme Primaire Une maman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur
Ballet D’étoilesNuit céleste où des milliersD’étoiles resplendissentDans un ballet elles s’envolentEt dansent ensemble une le ciel bleu marineLa planète s’endort j’imagineDans cette féerie je décollePour arriver dans les cieuxÉblouie par ce ciel lumineuxJe frissonne devant ce spectacleFéerique et si particulierCelui-ci comme un conduit dans cet espace sidéralJe vais, je viens, je m’installePour la rencontre avec mon angeQui éponge toutes mes efface, tous mes dramesA son coté mon cœur s’enflammeMon souhait rester près de luiVivre enfin ce bonheur sans soucisAvec lui voyager sera un vrai De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Ballet D’étoilesnuit=cé=les=te=où=des=mil=liers 8dé=toi=les=res=plen=dissent 6dans=un=bal=let=el=les=sen=volent 8et=dansent=en=sem=bleune=fa=ran=dole 8dans=le=ciel=bleu=ma=ri=ne 7la=pla=nète=sen=dort=ji=ma=gine 8dans=cet=te=fée=rie=je=dé=colle 8pour=ar=ri=ver=dans=les=cieux 7éblouie=par=ce=ciel=lu=mi=neux 7je=fris=sonne=de=vant=ce=s=pec=tacle 9fée=ri=queet=si=par=ti=cu=lier 8ce=lui=ci=com=me=un=mi=racle 8me=con=duit=dans=cet=es=pace=si=dé=ral 10je=vais=je=viens=je=mins=ta=lle 8pour=la=ren=contre=a=vec=mon=ange 8qui=é=pon=ge=tou=tes=mes=larmes 8il=ef=fa=ce=tous=mes=dra=mes 8a=son=co=té=mon=cœur=sen=flamme 8mon=sou=hait=res=ter=près=de=lui 8vivreen=fin=ce=bon=heur=sans=sou=cis 8a=vec=lui=vo=ya=ger=se=ra=un=vrai=pro=gramme 12Phonétique Ballet D’étoilesnɥi selεstə u dε miljedetwalə ʁεsplɑ̃disedɑ̃z- œ̃ balε εllə sɑ̃vɔlee dɑ̃se ɑ̃sɑ̃blə ynə lə sjεl blø maʁinəla planεtə sɑ̃dɔʁ ʒimaʒinədɑ̃ sεtə feəʁi ʒə dekɔləpuʁ aʁive dɑ̃ lε sjøeblui paʁ sə sjεl lyminøʒə fʁisɔnə dəvɑ̃ sə spεktakləfeəʁikə e si paʁtikyljesəlɥi si kɔmə œ̃ kɔ̃dɥi dɑ̃ sεt εspasə sideʁalʒə vε, ʒə vjɛ̃, ʒə mɛ̃staləpuʁ la ʁɑ̃kɔ̃tʁə avεk mɔ̃n- ɑ̃ʒəki epɔ̃ʒə tutə mε efasə, tus mε dʁaməa sɔ̃ kɔte mɔ̃ kœʁ sɑ̃flaməmɔ̃ suε ʁεste pʁε də lɥivivʁə ɑ̃fɛ̃ sə bɔnœʁ sɑ̃ susiavεk lɥi vwajaʒe səʁa œ̃ vʁε Phonétique Ballet D’étoilesnɥi=se=lεs=tə=u=dε=mi=lj=e 9de=twa=lə=ʁεs=plɑ̃=di=se 7dɑ̃=zœ̃=ba=lε=εl=lə=sɑ̃=vɔ=le 9e=dɑ̃=se=ɑ̃=sɑ̃blə=y=nə=fa=ʁɑ̃=dɔlə 10dɑ̃=lə=sjεl=blø=ma=ʁi=nə 7la=pla=nε=tə=sɑ̃=dɔʁ=ʒi=ma=ʒi=nə 10dɑ̃=sε=tə=fe=ə=ʁi=ʒə=de=kɔ=lə 10puʁ=a=ʁi=ve=dɑ̃=lε=sj=ø 8e=blu=i=pa=ʁsə=sjεl=ly=mi=nø 9ʒə=fʁi=sɔ=nə=də=vɑ̃=sə=spεk=ta=klə 10fe=ə=ʁi=kə=e=si=paʁ=ti=ky=lje 10səl=ɥi=si=kɔ=mə=œ̃=mi=ʁa=klə 9mə=kɔ̃d=ɥi=dɑ̃=sεt=εs=pasə=si=de=ʁal 10ʒə=vε=ʒə=vj=ɛ̃=ʒə=mɛ̃s=ta=lə 9puʁ=la=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=a=vεk=mɔ̃=nɑ̃=ʒə 10ki=e=pɔ̃=ʒə=tu=tə=mε=la=ʁmə 9il=e=fa=sə=tus=mε=dʁa=mə 8a=sɔ̃=kɔ=te=mɔ̃=kœ=ʁə=sɑ̃=fla=mə 10mɔ̃=su=ε=ʁεs=te=pʁε=də=lɥi 8vi=vʁə=ɑ̃=fɛ̃=sə=bɔ=nœʁ=sɑ̃=su=si 10a=vεk=lɥi=vwa=ja=ʒe=sə=ʁa=œ̃=vʁεpʁɔɡʁamə 10 Commentaire Sur La Poesie20/09/2021 1700PrintempsContempler une nuit étoilée en souhaitant être aux côtés de l’être aimé et voyager avec lui, c’est assurément très poétique ! Merci du partage, Blanche!
\n\n poème des milliers d étoiles dans le ciel
Desmilliers d'étoiles dans le ciel Des milliers d'oiseaux dans les arbres Des milliers de fleurs dans les jardins Des milliers d'abeilles sur les fleurs. Mais seulement, seulement . Petit poème pour maman . Il a plu des mots ce matin Ils sont tombés dans mon jardin. Des mots très fous Qui font la roue, Des mots d'amour Tout en velours, Des
Attention, la fête des mères, c’est le premier dimanche de mai. Le jour où tous les enfants doivent faire preuve d’originalité pour exprimer à leur maman combien elles sont chères à leur cœur. Aujourd’hui, la coutume veut que l’on écrive un poème à sa mère pour la fête des mères. Si vous êtes à court d’inspiration, nous avons préparé pour vous un petit guide de poésie pour la fête des mères. En effet, nous avons trouvé pour vous 10 poèmes qui vous permettront de dire tout le bien que vous éprouvez pour la femme de votre vie ! Vous cherchez une idée de cadeau de la fête des mères pour une maman que vous aimez particulièrement ? Vous souhaitez vous lancer dans l’écriture d’un poème pour la fête des mères ? Voici quelques conseils pour écrire une poésie fête des mères qui plaira à coup-sûr ! Comment écrire un poème pour la fête des mères ? Laissez libre cours à son imagination est loin d’être quelque chose d’aisée. Il vous faudra faire preuve de concentration et de patience afin de trouver les bonnes tournures de phrases ainsi que les mots qui toucheront votre maman. Car oui, écrire un poème doit être fait avec le cœur et non avec la tête. Il est donc grand temps de mettre toutes vos belles pensées sur une jolie carte pour la fête des Mères. Rassurez-vous, que ce soit un petit poème, voire un roman pour votre maman, le simple fait de lui écrire quelque chose de votre propre plume devrait ravir votre maman. Poème pour maman Poésies à offrir ou à s’offrir pour la fête des mères ! Il y a plus de fleursPour ma mère, en mon cœur,Que dans tous les vergers ;Plus de merles rieursPour ma mère, en mon cœur,Que dans le monde entier ;Et bien plus de baisersPour ma mère, en mon cœur,Qu’on en pourrait Carême, Pour ma mère Je voulais, maman gentille,T’offrir de belles jonquillesEn un bouquet regardé les boutiquesMais les prix sont fantastiquesEt ma bourse a peu d’argent ! Alors, au fond de ma tête,J’ai composé pour ta fêteUn tout petit compliment,Et je t’offre ce poèmePour te dire que je t’aime,Je t’aime bien fort, Beau, Fête des mères Petit poème fête des mères Des milliers d’étoiles dans le ciel,Des milliers d’oiseaux dans les arbres,Des milliers de fleurs au jardinDes milliers d’abeilles sur les fleurs,Des milliers de coquillages sur les plages,Des milliers de poissons dans les mers,Et seulement, seulement une Bay, Une maman J’entends au-dessus de moi dans les cieuxLes anges qui murmurent entre euxIls ne peuvent trouver de mot d’amour plus grandQue celui-ci Maman »Edgar Allan Poe, Maman Texte fête des mères Rien n’est plus beau,Rien n’est plus précieux,Rien n’est plus émouvant,Que le sourire d’une maman MagnifiqueAimanteMerveilleuseAmusanteNaturelleJe t’aime Maman Citation fête des mères Amours de nos mères, à nul autre pareil. » ALBERT COHEN Tout ce que j’ai de bon, c’est à ma mère que je le dois. » ALBERT COHEN Une maman c’est une montagne de compréhension. » JEAN GASTALDI Une maman qui vous borde au lit laisse un parfum de sommeil. » JEAN GASTALDI Une maman, c’est la caresse d’une vie. » JEAN GASTALDI On est si petit, le monde est si grand. Que serait la vie sans notre maman… » MICK MICHEYL Cliquez ci-dessous pour noter cet article[Total 0 Moyenne 0]
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