🎑 Le Hasard N Existe Pas C Est Dieu

AlbertEinstein affirmait que le hasard c'est Dieu qui se promÚne incognito. Si le hasard est Dieu, est ce à dire que Dieu n'existe pas ? Ou bien est ce une autre façon de dire que Dieu existe mais qu'il n'est qu'un hasard. Dieu est-il une
Tous ces exemples sont fondĂ©s sur une vĂ©ritĂ© Ă  la base de toutes les sciences tout effet doit nĂ©cessairement avoir une cause plus parfaite. C’est-Ă -dire que le plus parfait ne peut pas ĂȘtre produit par le moins parfait, ou dit plus simplement le plus ne sort pas du moins. Prenons d’autres exemples. Si quelqu’un entre dans sa maison et qu’il entend de la musique dans la chambre de son frĂšre, alors il est certain qu’il y a une cause Ă  la musique qu’il entend. Il ne pense pas que la musique apparait par magie. MĂȘme s’il ne voit pas de hautparleurs ou de musiciens, il sait qu’ils sont quelque part dans la maison. MĂȘme chose si on voit un cadre suspendu au mur de la chambre d’un ami on ne voit peut-ĂȘtre pas ce qui tient ce cadre au mur, mais on est certain qu’il y a quelque chose qui le fixe lĂ . Peut-ĂȘtre un clou, une corde, de la colle, mais certainement quelque chose. Ou encore, si on voit les aiguilles d’une montre bouger, on peut ĂȘtre certain qu’il y a un petit moteur de cachĂ©, car les aiguilles ne bougent pas par elles-mĂȘmes. Enfin, si on voit de la lumiĂšre dans une piĂšce, il doit y avoir une source Ă  cette lumiĂšre, une lampe ou le soleil. Bref, Ă  tout effet il doit y avoir une cause, et ce mĂȘme si nos yeux ou nos autres sens ne voient pas cette cause. Dieu existe-t-il? Les lapins ne sortent pas des chapeaux Mais il faut aller plus loin encore et voir que cette cause doit ĂȘtre supĂ©rieure Ă  son effet. Je m’explique. La lumiĂšre dans la piĂšce ne peut pas ĂȘtre plus lumineuse que la source de lumiĂšre. La lampe ou le soleil seront toujours plus lumineux que la piĂšce qu’ils illuminent. Sinon on retombe dans la magie, dans des effets sans cause. Seul le supĂ©rieur peut expliquer l’infĂ©rieur. Les lapins ne sortent pas des chapeaux, il y a toujours un truc du magicien ! Si donc je suis dans une piĂšce extrĂȘmement lumineuse et que je vois seulement une ampoule de 30 watts, ce n’est pas que plus de lumiĂšre a jailli de nulle part, c’est certainement qu’il doit y avoir une autre source de lumiĂšre que je ne connais pas encore. Sinon le plus sortirait du moins, et c’est aussi stupide que de dire que quelque chose vient de rien, que le lapin sort du chapeau. C’est la destruction de toute logique et de toute science. N’est-ce pas Ă©trange de penser qu’il aurait fallu moins d’intelligence pour crĂ©er l’univers qu’il n’en faut pour le comprendre ? Si nous avons parfois l’impression que le plus sort du moins, c’est qu’il y a toujours d’autres causes que nous voyons mal. Un arbre sort d’une graine, mais pas seulement d’une graine ! Et si l’homme vient de la poussiĂšre d’étoiles, alors il ne vient certainement pas juste de la poussiĂšre d’étoiles non plus, tout comme un tĂ©lĂ©phone ne vient pas juste d’une machine et d’un peu de mĂ©tal, mais a eu besoin de nombreux concepteurs, ingĂ©nieurs et designers pour que des machines puissent le fabriquer ! Mais quand je regarde la nature qui est si complexe et merveilleusement organisĂ©e, quand je regarde l’homme qui est vivant, conscient et intelligent, est-il rationnel de dire que tout ça vient de rien, que tout ça vient seulement du hasard et de la matiĂšre ? Quoi ? L’ordre viendrait du dĂ©sordre ? La vie viendrait du non-vivant ? La conscience et l’intelligence seraient issues de la matiĂšre qui n’est ni consciente ni intelligente ? N’est-ce pas Ă©trange de penser qu’il aurait fallu moins d’intelligence pour crĂ©er l’univers qu’il n’en faut pour le comprendre ? Plus fou que la magie Dire une telle chose, c’est lĂ  affirmer que le plus viendrait du moins, que quelque chose viendrait de rien, que l’univers apparaitrait sans cause comme par magie, comme un lapin qui sort d’un sac. Plus fou mĂȘme que la magie, car au moins dans la magie il n’y a pas rien, il y a un magicien ! Parler comme ça, c’est parler de maniĂšre irrationnelle et antiscientifique. Encore une fois, seul le supĂ©rieur peut pleinement expliquer l’infĂ©rieur. On ne le rĂ©pĂštera jamais assez. Il faut plus de foi pour ĂȘtre athĂ©e, il faut accepter de croire l’impossible ! On peut dire qu’on ne connait pas parfaitement la cause, mais on ne peut pas nier qu’il y ait une cause et que cette cause doit ĂȘtre supĂ©rieure Ă  ce qu’elle produit. Or, Dieu, c’est justement cette cause que l’on connait imparfaitement certes, mais que l’on connait tout de mĂȘme comme le concepteur Ă  l’origine de tout l’univers, le grand artiste qui est plus vivant, plus conscient, plus intelligent et plus beau que toutes les Ɠuvres qu’il crĂ©e.
Bonjour Je pense que le hasard n'existe pas, scientifiquement parlant. Je dirais que quand on dit que quelque chose est arrivé "par hasard", c'est quand un évÚnement se produisant a des circonstances dont on ne se doute pas.Par exemple, si le bus a dix minutes de retard, on ne se doute pas que c'est parce que le chauffeur a mis trois secondes de trop à
DĂ©butPage prĂ©cedentePage suivanteFin Horrible, du coup en plus, comment il peut y avoir une fin ? Un Ă©vĂšnement unique qui aurait TOUT produit a partir de rien Je vais pas dormir de la nuit le hasard n'existe pas, tout est mathĂ©matiquement vĂ©rifiable. le hasard c'est une interprĂ©tation de l'homme pour dire " ho merde comment ça peut arriver ? " alors qu'il lui suffit de vĂ©rifier pour ce rendre conte que c'est logique. le truc que les gens ne comprennent pas c'est qu'il est possible que l'homme d’aujourd’hui ne soit pas encore capable ou prĂȘt de vĂ©rifier et concevoir les vĂ©ritĂ©s de notre univers, comme il y Ă  peine 1000 ans ils nous Ă©tait impossible de concevoir que la terre Ă©tait ronde. de plus il est bien plus vrai de dire " je ne sais pas " que de dire " je sais ! dieu Ă  tout crĂ©e " ou " c'est l’Ɠuvre du hasard " Batora dans les siĂšcles passĂ©s, on pensait qu'ils y avait des habitants sur les anneaux de saturne, et puis avec les avancĂ©es technologique on dĂ©couvert qu'on Ă©tait seul dans ce systĂšme solaire, je pense que plus la science avancera plus on dĂ©couvrira la solitude dans laquelle on vit le fait qu'il pas fin Ă  vos reflexion devraient vous mettre la puce Ă  l'oreille sur le fait c'est dieu qui se trouve derriĂšre tous ça Misterazi, dire que c'est l'oeuvre du hasard, c'est exactement la mĂȘme chose que de dire "je ne sais pas". Ce dĂ© est arrivĂ© sur 6 ? C'est du hasard parce que je n'ai aucune idĂ©e et je n'en aurais jamais aucune de combien de temps il a Ă©tĂ© mĂ©langĂ©, avec quelle force et vers ou il a Ă©tĂ© lancĂ©, la rĂ©sistance de l'air...et tous les paramĂštres qui suivent. Tu peux appeller l'Ă©vĂšnement unique et crĂ©ateur "Dieu" si tu veux, mais il n'a surement pas dictĂ© la Bible/le Coran ni envoye quelconque prophĂšte Vous vous rendez pas compte que le concept de Dieu est purement humain ? Qu'on lui attribue parfois des comportements humains, une apparence humaine, un sexe...etc. Et surtout, vous lui attribuez une conscience humaine. non si tu dit "je ne sais pas", c'est que tu sous entend que tu ne sais pas calculĂ© le fait que le dĂ© soit tombĂ© sur le 6, or il est mathĂ©matiquement prouvable que le dĂ© Ă  fait 3 rebond sur une table qui n'Ă©tait pas droite avec des angles diffĂ©rent pour au final atterrir sur le 6, une Ă©quation complexe, mais prouvable. dire "c'est l’Ɠuvre du hasard" c'est niĂ© le fait que ça soit calculable par une Ă©quation. Le hasard existe, j'ai pas envie d'argumenter il est tard, je l'ai dĂ©jĂ  assez fait sur ce dĂ©bat inutile En ecrivant mon prĂ©cedent post, je viens de voir que vĂ©nĂ©rer Dieu, c'est comme si ti vouais un culte au Bing Bang C'est juste acclamer un Ă©vĂšnement crĂ©ateur qui de toute Ă©vodente ne risque pas de t'entendre DĂ©sormais, j'appellerai l'Ă©vĂ©nement crĂ©ateur "Deus" Niourgl nul doute que l'evenement unique est "dieu" apres la question est pourquoi dieu a creer l'univers Niourgl dieu ou deus c'est la meme c comme meme le createur de l'univers Doroum Voir le profil de Doroum PostĂ© le 1er aoĂ»t 2014 Ă  023941 Avertir un administrateur Batora dans les siĂšcles passĂ©s, on pensait qu'ils y avait des habitants sur les anneaux de saturne, et puis avec les avancĂ©es technologique on dĂ©couvert qu'on Ă©tait seul dans ce systĂšme solaire, je pense que plus la science avancera plus on dĂ©couvrira la solitude dans laquelle on vit Donc tu pense qu'on est les seul dans l'univers ? qu'est ce que tu en sais l'auteur il a peut etre fallut des milliards d'essais avant que l'univers comme nous le connaissons aujourd'hui donc ça ne serait pas du au hasard mais Ă  l’évolution TaRaceEn3D c'est plutĂŽt les chrĂ©tiens qui pensent ça non ? je pense que les musulmans c'est tout Ă  fait le contraire c'est plutĂŽt les chrĂ©tiens qui pensent ça non ? je pense que les musulmans c'est tout Ă  fait le contraire L'Islam c'est un mix de christianisme, de judaĂŻsme avec les croyances locales. Leur Dieu est le mĂȘme. Bon, j'ai assez dĂ©battu avec vous, c'Ă©tait sympa juqu'a ce que les religix debarquent, bye -EncoreBann10- oui et toi tu penses qu'il y a d'autres formes de vies pcq t'a vu star wars non si tu dit "je ne sais pas", c'est que tu sous entend que tu ne sais pas calculĂ© le fait que le dĂ© soit tombĂ© sur le 6, or il est mathĂ©matiquement prouvable que le dĂ© Ă  fait 3 rebond sur une table qui n'Ă©tait pas droite avec des angles diffĂ©rent pour au final atterrir sur le 6, une Ă©quation complexe, mais prouvable. Y'a une infinitĂ© de paramĂštres qui ne te permettront jamais de tout prĂ©voir avec certitude. DĂ©butPage prĂ©cedentePage suivanteFin Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
Selonle Larousse, « le mot hasard vient de l’arabe az-zahr qui signifie jeu de dĂ©s. » Le hasard serait donc ce qui ne correspond Ă  aucune cause particuliĂšre identifiĂ©e. Albert Comment accepter un Ă©vĂ©nement qui paraĂźt sans cause? Le hasard existe-t-il, ou, sinon, faut-il croire au destin? L’alternative effraie on voudrait tergiverser, considĂ©rer qu’une action peut parfois n’ĂȘtre due qu’au hasard, et parfois n’ĂȘtre que dĂ©terminĂ©e. C’est dĂ©jĂ  considĂ©rer que les lois de la nature sont capricieuses. Mais comment les considĂ©rer sinon ? Comment prĂ©tendre Ă  la fois que les Ă©vĂ©nements rĂ©sultent de concours de circonstances imprĂ©visibles, et que l’on puisse pourtant agir en vue d’un rĂ©sultat dĂ©terminable ? Le hasard, s’il existe, est imprĂ©vu, voire imprĂ©visible. Or nous savons dans une certaine mesure de quoi l’avenir sera fait le soleil se lĂšvera trĂšs probablement demain.... Puisque l’on peut prĂ©voir certains Ă©vĂ©nements, il y a un principe actif qui organise l’ensemble des choses existantes c’est la connaissance de ce principe qui nous permet de dĂ©terminer la suite des Ă©vĂ©nements. Je peux par exemple comprendre qu’un objet tombe si je connais la loi de la pesanteur. Si tout Ă©vĂ©nement, avec les sĂ©ries de causes et de consĂ©quences qui le dĂ©terminent, est aprĂ©hensible parce que dĂ©terminĂ©, on peut dire qu’une pomme tombe d’un arbre parce qu’il Ă©tait â€œĂ©crit” qu’elle devait tomber prĂ©cisĂ©ment au moment oĂč elle est tombĂ©e et comme elle est tombĂ©e. Il y a une “raison” dans le monde, consultable comme un livre ouvert dĂšs qu’on sait le lire un Ă©vĂ©nement survient parce que “c’est Ă©crit”... dans le grand livre du monde. On voudrait pourtant que le monde rĂ©ponde Ă  nos attentes, et parfois sans mĂȘme savoir si elles sont rĂ©alistes on voudrait que le monde dĂ©lire avec nous... et il paraĂźt le faire on vante les atouts du rĂȘve, de l’utopie l’enthousiaste aurait plus de chances, au point qu’il peut paraĂźtre efficace de rĂ©clamer l’impossible. On constate ce genre d’irrĂ©alisme chez les personnes les plus “dĂ©terminĂ©es”, qui prĂ©tendent que devant la force de leur volontĂ© les obstacles s’évanouissent comme par magie ils semblent ĂȘtre Ă©cartĂ©s par un destin favorable. “La fortune sourit aux audacieux”. Par exemple, une rééducatrice qui parvient Ă  des rĂ©sultats Ă©tonnants en rĂ©habilitant des “cas sociaux” devant lesquels tous baissaient les bras n’explique son succĂšs que par le fait qu’elle s’y attend. Tout simplement. Il y a comme une connivence entre l’auteur d’une action et l’univers dans lequel il agit certains paraissent avoir un ange gardien ; on dit qu’il ont de la chance ; d’autres voient les circonstances concourir Ă  leur perte on dit qu’ils s’opposent Ă  un hasard malencontreux. Dans tous ces cas, il semble que les lois de l’univers sont dĂ©terminables par une volontĂ©, comme s’il existait une entitĂ© pouvant dĂ©cider du cours des choses selon un dessein arrĂȘtĂ©. À ce stade, comment ne pas croire en la magie, ou devenir superstitieux, ou croire qu’un dieu exauce ou pas nos priĂšres? Libres donc autonomes auto-nomia qui se donne ses propres lois, nous ne devons ĂȘtre soumis ni au hasard ni au destin. Pour Ă©chapper Ă  un ordre des choses totalement dĂ©terminĂ©, il nous faut donc avoir en nous mĂȘmes un principe d’action qui nous soit propre et que rien ne commande impĂ©rativement une Ăąme, un esprit... LĂ  est le problĂšme quand nous agissons, il y a “quelque chose” en nous qui nous fait croire que notre action aura les rĂ©sultat que nous espĂ©rons. Or nous ne connaissons pas assez l’ordre des causes et des effets pour savoir prĂ©cisĂ©ment quel sera le rĂ©sultat de notre action une cause est suivie d’un effet, qui lui-mĂȘme est une cause, suivie d’un effet, qui lui-mĂȘme est cause.... et ainsi de suite Ă  l’infini ! comment s’y retrouver quand, de surcroĂźt, une infinitĂ© de causes se conjuguent ensemble et interagissent les unes sur les autres! nous agissons comme en aveugles,et nous prĂ©tendons pourtant responsables de nos actes. Il faut donc que nous connaissions assez le futur pour nous y prĂ©parer -et puisque la connaissance de la causalitĂ© s’avĂšre insuffisante, il faut que cette connaissance soit intuitive. D’oĂč des rituels qui parfois peuvent paraĂźtre dĂ©nuĂ©s de sens, mais qui ont leurs effets, aussi incroyable que cela paraisse. Un participant nous a expliquĂ© qu’enfant il avait de grosses verrues aux genoux sa grand-mĂšre lui dit que depuis toujours on se dĂ©barrassait des verrues en jetant des haricots dans la mare. Ce qu’il fit effectivement, ses verrues disparurent rapidement. Il ne renouvellerait pas l’expĂ©rience, Ă  prĂ©sent qu’il est adulte, mais il en conserve un doute persistant et si, pour une raison qui nous Ă©chappe, le fait qu’il ait jetĂ© des haricots dans une mare avait effectivement Ă©tĂ© pour quelque chose dans la disparition de ces verrues ? Rien ne le prouve, mais rien ne l’empĂȘche absolument. La premiĂšre fois que j'ai animĂ© un dĂ©bat sur ce thĂšme, c'Ă©tait au CafĂ© de Rouen, le 15 avril 1997. Au sortir de ce dĂ©bat, j'ai longuement admirĂ© le vol d'un canard, en me demandant si son vol Ă©tait une cause insignifiante pouvant avoir des effets incontrĂŽlables. J'appris, en rentrant Ă  Paris, que le PrĂ©sident Jacques Chirac avait dĂ©cidĂ© de dissoudre l'assemblĂ©e nationale. Comme par hasard ! François Housset Ă  ce propos “Quand je trouve un mĂ©canisme lĂ  oĂč j’aurais cherchĂ©, lĂ  oĂč j’aurai du rencontrer, semble-t-il, une intention, c’est ce que j’exprime en parlant de hasard” Bergson, L’évolution crĂ©atrice DĂ©finition du hasard “le concours de deux ou trois Ă©vĂ©nements contingents, chacun desquels a ses causes, en sorte que leur concours n’en a aucune que l’on connaisse” Jean de La Placette, TraitĂ© des jeux de hasard “La hasard, en dĂ©finitive, c’est Dieu.” Anatole France, Le Jardin d’Épicure. “... Il n’y a point de hasard tout est Ă©preuve, ou punition, ou rĂ©compense, ou prĂ©voyance.” Voltaire, Zadig ou la destinĂ©e, l’ermite. “Ne parlons plus de hasard ni de fortune, ou parlons-en seulement comme d’un nom dont nous couvrons notre ignorance.” Bossuet Discours sur l’Histoire universelle, 3Ăš partie, 8Ăš chapitre. “Le hasard est le plus grand romancier du monde pour ĂȘtre fĂ©cond, il n’y a qu’à l’étudier.” HonorĂ© de Balzac, La ComĂ©die humaine, Avant-propos “L’idĂ©e de hasard est l’idĂ©e de rencontre entre des faits rationnellement indĂ©pendants les uns des autres, rencontre qui n’est elle-mĂȘme qu’un pur fait, auquel on ne peut assigner de loi ni de raison.”Cournot, TraitĂ© de l’enchaĂźnement des idĂ©es fondamentales dans les sciences et dans l’histoire. “Un hasard n’est rien pour une Ăąme froide ou distraite; il est un signe divin pour une Ăąme obsĂ©dĂ©e.” Ernest Renan, Vie de JĂ©sus, prĂ©face de la treiziĂšme Ă©dition “Il n’y a pas de hasard, parce que le hasard est la Providence des imbĂ©ciles, et la Justice veut que les imbĂ©ciles soient sans Providence.” LĂ©on Bloy, Le Mendiant ingrat, prĂ©face. Spinoza l’idĂ©e de hasard rĂ©sulte du fait que notre connaissance est imparfaite “l’ordre des causes nous Ă©chappe” au point qu’une chose peut paraĂźtre n’ĂȘtre ni nĂ©cessaire ni impossible. Éthique I, proposition 33, scolie 1.
pourmoi le hazard si il exitait serait une force qui serait superieur a celle de Dieu, car cette force interfererait dans le programme de Dieu, donc Dieu serait victime de cela. Le
La question philosophique de l’existence de Dieu est l’une des plus fondamentales. Elle touche Ă  l’origine et Ă  la finalitĂ© de toutes choses. L’univers est-il vraiment la rĂ©alitĂ© ultime ? Ou bien y a-t-il un ĂȘtre supĂ©rieur qui le dĂ©passe ? L’univers a-t-il Ă©tĂ© créé ? Y a-t-il une intention Ă  son origine ? Toutes ces questions sont plus fondamentales que celles Ă©tudiĂ©es par les sciences naturelles. Mais, en mĂȘme temps, leurs implications sont beaucoup plus pratiques dans nos vies. Y a-t-il un ĂȘtre supĂ©rieur qui m’aime, me protĂšge, donne un sens Ă  ma vie et me jugera Ă©galement ? La question de l’existence de Dieu est la plus pratique des questions les plus fondamentales. Mais cette question est aussi l’une des plus difficiles. La rĂ©ponse Ă  lui apporter n’est pas Ă©vidente. L’une des raisons principales Ă  cette difficultĂ© est que l’on ne peut pas prouver l’existence de Dieu Ă  l’aide d’une expĂ©rience immĂ©diate. Car Dieu ne peut pas ĂȘtre l’objet de nos sens. Dieu, s’il existe, est transcendant. Cela veut dire qu’il dĂ©passe les rĂ©alitĂ©s sensibles, palpables. On ne peut ni le voir, ni l’entendre, ni le toucher. MĂȘme si l’on peut vivre une expĂ©rience spirituelle, ce n’est jamais que l’expĂ©rience d’une manifestation de Dieu et non une expĂ©rience de Dieu en lui-mĂȘme. À toute expĂ©rience spirituelle, on peut proposer une explication naturelle, le plus souvent psychologique ou neurologique. Alors est-ce une illusion ou le moyen employĂ© par Dieu pour se rĂ©vĂ©ler ? La question reste ouverte. Dans tous les cas, on ne peut pas prouver l’existence de Dieu par une expĂ©rience immĂ©diate, parce que Dieu en lui-mĂȘme n’est pas expĂ©rimentable. À partir de ce constat, certains sont tentĂ©s de conclure que Dieu n’existe pas. Les athĂ©es pensent que s’il n’y a pas de preuve empirique de l’existence de Dieu, alors il faut en conclure qu’il n’existe pas. Cependant, en raisonnant ainsi, l’athĂ©isme commet une erreur de logique. C’est ce que l’on appelle l’ argument d’ignorance ». L’absence de preuve serait une preuve du contraire. Or, c’est faux. L’absence de preuve de l’existence d’une chose n’est pas la preuve de son inexistence. Si je n’ai pas de preuve qu’un chat se promĂšne en ce moment dans un village chinois, je ne peux pas en conclure qu’aucun chat ne se promĂšne en ce moment dans un village chinois. Pour que l’athĂ©isme puisse prĂ©tendre Ă  ĂȘtre une position rationnelle, il faudrait qu’il apporte la preuve de l’inexistence de Dieu. Or une telle chose semble bien difficile Ă  faire, car pour pouvoir affirmer qu’une chose n’existe pas, il faudrait pouvoir connaĂźtre toute la rĂ©alitĂ©, y compris les rĂ©alitĂ©s imperceptibles, et constater qu’elle ne s’y trouve pas. L’athĂ©isme n’apporte donc pas une rĂ©ponse concluante Ă  la question de l’existence de Dieu. Face Ă  l’absence de preuve empirique de l’existence de Dieu, et Ă  l’impossibilitĂ© de conclure par lĂ  mĂȘme Ă  son inexistence, il pourrait sembler plus raisonnable de choisir la voie de l’agnosticisme. L’agnosticisme consiste Ă  n’affirmer ni l’existence, ni l’inexistence de Dieu. Mais comme il n’affirme rien, il ne peut pas ĂȘtre une position dĂ©finitive. Car, dans la rĂ©alitĂ©, ou bien Dieu existe, ou bien il n’existe pas, mais il n’y a pas de troisiĂšme voie. L’agnosticisme affirme un certain Ă©tat de la connaissance, mais il n’affirme rien sur la rĂ©alitĂ©. Il est donc toujours vouĂ© Ă  ĂȘtre dĂ©passĂ©. Faire de l’agnosticisme une position indĂ©passable reviendrait Ă  dire que l’on ne trouvera jamais de preuve de l’existence de Dieu. Mais affirmer une telle chose reviendrait Ă  Ă©tablir un dogme. Comment prouver que l’on ne trouvera jamais de preuve de l’existence de Dieu ? MĂȘme si l’on ne peut pas faire d’expĂ©rience immĂ©diate de Dieu, peut-ĂȘtre y a-t-il un autre moyen de prouver son existence ? Et en effet, depuis son origine, la philosophie a proposĂ© des preuves indirectes de l’existence de Dieu, Ă  partir de ses effets. De la mĂȘme façon que l’on peut prouver l’existence d’un artiste Ă  partir de ses Ɠuvres, on peut prouver l’existence de Dieu Ă  partir de l’univers lui-mĂȘme. La Bible elle-mĂȘme conseille cette voie Les perfections invisibles de Dieu, sa puissance Ă©ternelle et sa divinitĂ©, se voient depuis la crĂ©ation du monde, elles se comprennent par ce qu’il a fait » Romains En quoi l’univers indique-t-il l’existence de Dieu ? Le premier indice, c’est le fait que l’univers a eu un commencement. Or tout ce qui a un commencement a une cause. L’univers doit donc avoir une cause trĂšs puissante, capable de le crĂ©er. Le deuxiĂšme indice, c’est l’ordre dans l’univers, un ordre mathĂ©matiquement descriptible et prĂ©cisĂ©ment ajustĂ© afin de permettre la vie. Le fait est que la vie est quelque chose de trĂšs fragile qui exige des conditions trĂšs strictes pour pouvoir se dĂ©velopper. Il aurait suffit que les lois et les constantes fondamentales de la physique soient lĂ©gĂšrement diffĂ©rentes pour que la vie soit impossible. Autrement dit, parmi une multitude d’univers possibles, un nombre infime d’entre eux est favorable Ă  la vie. Dans la mesure oĂč est tel rĂ©sultat est plus difficile Ă  atteindre par hasard que par le fruit d’une intelligence, il apparaĂźt beaucoup plus probable que l’univers soit le rĂ©sultat d’une cause extraordinairement intelligente. D’une façon plus gĂ©nĂ©rale, nous ne pouvons pas expliquer l’univers seulement par lui-mĂȘme. Notre univers existe, c’est un fait. Mais parmi toutes les possibilitĂ©s logiques, il y avait Ă©galement son inexistence, ou l’existence d’un autre univers parmi une multitude de possibles. Alors pourquoi notre univers existe-t-il et pourquoi est-ce celui-ci plutĂŽt qu’un autre ? Sa possibilitĂ© seule ne suffit pas Ă  expliquer sa rĂ©alitĂ©, car les autres alternatives sont toutes aussi logiquement possibles. Seul une cause nĂ©cessaire, s’expliquant entiĂšrement par elle-mĂȘme, ayant fait le choix de rĂ©aliser cette possibilitĂ© plutĂŽt qu’une autre, ayant la puissance et l’intelligence nĂ©cessaires pour produire un tel univers, permet de l’expliquer. Un tel ĂȘtre est ce que nous appelons Dieu ». L’existence de Dieu semble donc ĂȘtre la rĂ©ponse la plus raisonnable Ă  notre question. Mais il reste encore un certain nombre de questions si Dieu existe, qui est-il ? Se rĂ©vĂšle-t-il ? Et s’il se rĂ©vĂšle, par quelle rĂ©vĂ©lation s’est-il fait connaĂźtre ? 21 votes Évaluation de l'article
Lehasard, s’il existe, est imprĂ©vu, voire imprĂ©visible. Or nous savons dans une certaine mesure de quoi l’avenir sera fait (le soleil se lĂšvera trĂšs probablement demain).
Si Dieu est un Dieu d’amour, pourquoi y a-t-il tant de misĂšre et de souffrance dans le monde ? Pourquoi Dieu n’empĂȘche-t-il pas les catastrophes naturelles de se produire ? Pourquoi Dieu ne restreint-il pas la cruautĂ© des hommes mauvais ? Si Dieu aime vraiment l’homme, pourquoi le monde est-il un endroit si difficile Ă  vivre ? Dans ce livre, l’auteur Ă©crit Ă  ceux qui posent de telles questions. Il fait face au problĂšme sans esquiver les difficultĂ©s. Il prĂ©sente la rĂ©ponse du chrĂ©tien dans une optique positive et rĂ©flĂ©chie, avec un style simple et concret. Il offre aussi des exemples tirĂ©s d’expĂ©riences personnelles et de la vie courante. La foi en Dieu est-elle compatible Ă  un monde apparemment si incontrĂŽlable ? Oui, rĂ©pond ce livre, car Dieu est aux commandes et poursuit inexorablement ses desseins d’amour – le hasard n’existe pas !
Cest vrai dĂ©cidĂ©ment que le hasard n'existe pas : on trouve toujours les imbĂ©ciles exactement lĂ  oĂč on pressent qu'ils sont. Ca sonne creux Gilibert ! Recycle toi mon vieux ! pg. Philippe Gaucher. unread, Sep 3, 1996, 3:00:00 AM 9/3/96 to "r. gilibert" writes: > Je trouve un peu irrĂ©el de discuter du libre-arbitre dans l'absolu > ou sur le plan moral. Comme
On l'appelle le grand collisionneur de hadrons. A 100 mĂštres sous terre, les physiciens ont construit une machine Ă  remonter le temps. Un monstre de 27 kilomĂštres de diamĂštre dans lequel se percutent Ă  des vitesses folles des morceaux d'atome. De ces millions de collisions jaillit une Ă©nergie fabuleuse qui recrĂ©e l'Ă©tat de l'Univers un milliĂšme de milliardiĂšme de seconde aprĂšs le big bang. Quand, Ă  peine plus gros qu'une orange, il s'est mis Ă  enfler dĂ©mesurĂ©ment jusqu'Ă  atteindre, 13,7 milliards d'annĂ©es plus tard, sa taille actuelle, d'une quinzaine de milliards de kilomĂštres. GrĂące au Large Hadron Collider LHC, c'est son nom voir p. 45, les chercheurs du CERN de GenĂšve se sont mis en tĂȘte ni plus ni moins que de percer le mystĂšre de l'origine de l'Univers ! L'anagramme en anglais du grand collisionneur n'est-elle pas " Eclipsera l'Ă©clat du CrĂ©ateur " ? Du coup, la tentation est forte de replacer Dieu dans le dĂ©bat, ce qui revient Ă  poser la question " Dieu existe-t-il ? " Si la majoritĂ© des scientifiques sont convaincus que la science ne pourra jamais prouver l'existence ou la non-existence d'un principe crĂ©ateur, beaucoup, notamment parmi les physiciens et astrophysiciens, n'hĂ©sitent plus Ă  s'interroger ouvertement. Pourquoi ? Parce que les nouveaux outils, comme le LHC, que les chercheurs ont entre les mains pour scruter l'infiniment petit ouvrent une trappe sur un monde subatomique gouvernĂ© par des lois qui nous Ă©chappent. Telle cette matiĂšre noire qui forme 96 % de l'Univers. Une terra incognita oĂč la physique classique, celle de Newton, ne fonctionne plus et oĂč la rĂ©alitĂ© paraĂźt beaucoup plus complexe que les scientifiques n'osaient l'imaginer. Dans ce monde quantique, la matiĂšre se dĂ©matĂ©rialise. Elle se livre Ă  des tours de passe-passe renversants, Ă  l'image de ces particules qui communiquent entre elles, quelle que soit la distance qui les sĂ©pare. Au point que tout ce qui arrive Ă  l'une se rĂ©percute instantanĂ©ment Ă  l'autre, comme si un fil mystĂ©rieux les reliait au mĂ©pris du temps et de l'espace. A l'autre extrĂȘme, dans l'infiniment grand, les tĂ©lescopes spatiaux permettent de passer au tamis le cosmos et de saisir des dĂ©tails autrefois imperceptibles. Ils moissonnent rĂ©guliĂšrement des dĂ©couvertes sur les origines de l'Univers. En 1992, " COBE ", le satellite de la Nasa, " photographie " le rayonnement fossile, la lumiĂšre la plus ancienne du cosmos jaillie de l'explosion primordiale, apportant ainsi le bout de preuve qui manquait pour confirmer le big bang voir p. 50. Cette thĂ©orie donne un commencement Ă  l'Univers et sĂšme la zizanie chez les astrophysiciens, parce que derriĂšre elle, en ombre chinoise, se dessine quelque chose qui ressemble vaguement Ă  une " crĂ©ation ". Quand il rend public la dĂ©couverte du rayonnement fossile, George Smoot, le pĂšre de " COBE ", prix Nobel de physique, lĂąche, emportĂ© par l'Ă©motion " Pour les esprits religieux, c'est comme voir le visage de Dieu ! " Une formule maladroite qui va dĂ©clencher un tollĂ© dans la communautĂ© des scientifiques, chez tous ceux qui estiment que la science doit rester laĂŻque et que le chercheur n'a pas Ă  s'aventurer sur le terrain de la mĂ©taphysique. Mais la science repousse toujours plus loin les frontiĂšres. Actuellement, deux satellites, " Planck " et " Herschel ", lancĂ©s en mai 2009 par l'Agence spatiale europĂ©enne, sondent les vestiges des premiers rayons de lumiĂšre Ă©mis aprĂšs le big bang. A force de se cogner Ă  une rĂ©alitĂ© dĂ©routante, qui multiplie les points de contact avec les questions fondamentales, certains chercheurs sont pris d'une sorte d'ivresse mĂ©taphysique. Prenez la poignĂ©e de lois intangibles qui orchestrent l'Univers. Des rĂšgles tellement prĂ©cises que, si l'on en modifie une d'un iota, notre monde n'existe pas. Certains en ont dĂ©duit l'idĂ©e d'un monde ajustĂ© pile poil pour que la vie apparaisse. Ce scĂ©nario " anthropique ", qui dĂ©crit un Univers avec des lois millimĂ©trĂ©es et une Ă©volution inĂ©luctable vers l'homme, au fur et Ă  mesure que la matiĂšre se complexifie, n'est pas pour dĂ©plaire au Vatican. D'autant qu'il raccourcit la baguette magique du hasard. Celle qui a permis, un temps, aux matĂ©rialistes de chasser Dieu de la science. Pour l'Eglise, la thĂ©orie du big bang est une " interprĂ©tation acceptable de la crĂ©ation biblique ". Certains la soupçonnent de prĂ©parer une OPA sur la science. Et d'avoir choisi comme nouvelles terres d'Ă©vangĂ©lisation la physique et l'astrophysique, autrefois fiefs des matĂ©rialistes. Reste un gravillon dans le soulier de l'Eglise Darwin. Pour investir la citadelle du matĂ©rialisme que sont la biologie et la neurobiologie, l'Eglise se garde de remettre en question la thĂ©orie de l'Ă©volution. Elle prĂ©fĂšre faire son miel des nouvelles dĂ©couvertes qui relativisent le rĂŽle du hasard et de la sĂ©lection naturelle dans la thĂ©orie darwinienne. Dont cette derniĂšre hypothĂšse si l'homme s'est dressĂ© sur ses deux jambes, c'est parce que l'option bipĂ©die serait inscrite dans les lois de la nature. Une interprĂ©tation qui hĂ©risse les palĂ©ontologues. Si ces derniers sont si chatouilleux avec Darwin, c'est parce qu'ils savent que les tenants de l'Intelligent Design sont Ă  l'affĂ»t de tout ce qui pourrait accrĂ©diter cette thĂ©orie qui veut que notre monde ait Ă©tĂ© programmĂ© par un " dessein intelligent ". Un crĂ©ationnisme dĂ©guisĂ©. Paradoxe. Quoi qu'il en soit, tĂ©lescopes spatiaux et accĂ©lĂ©rateurs de particules repoussent les frontiĂšres de la science vers les " grandes questions " jusqu'alors chasse gardĂ©e des thĂ©ologiens. Les mathĂ©maticiens se sont ainsi emparĂ©s de l'Ă©nigme philosophique " qu'est-ce que l'infini ? " pour la rĂ©soudre par des Ă©quations. Tout rĂ©cemment, c'est le physicien italien Carlo Rovelli qui annonçait que le temps n'existe pas. En cherchant Ă  rĂ©concilier les lois qui rĂ©gissent l'infiniment grand et l'infiniment petit, ce spĂ©cialiste de la gravitĂ© quantique a en effet rĂ©digĂ© une thĂ©orie qui se passe carrĂ©ment du temps pour dĂ©crire le monde... Jamais la lampe-torche des chercheurs n'a Ă©tĂ© aussi puissante. Mais plus ils la promĂšnent dans les recoins inexplorĂ©s de la science, plus elle leur rĂ©vĂšle l'immensitĂ© du noir qui nous entoure. Si certains s'accommodent de ce paradoxe, d'autres convoquent Dieu Ă  la rescousse. Pour savoir quelle place justement Dieu occupe dans la tĂȘte des chercheurs,Le Point a sondĂ© les " cerveaux " du CollĂšge de France et donnĂ© la parole Ă  huit scientifiques de renommĂ©e internationale. Leurs rĂ©ponses ouvrent des pistes inattendues Sondage au CollĂšge de FranceNous avons interrogĂ© sur leur rapport Ă  la foi les 52 membres du CollĂšge de France, parmi lesquels 4 prix Nobel, 4 mĂ©dailles Fields, 2 prix Abel et 7 prix Balzan. Seize d'entre eux ont acceptĂ© de jouer le jeu. Voici leurs rĂ©ponses anonymisĂ©es. Croyez-vous en Dieu ? OUI 25 % NON 75 % Peut-on concilier science et croyance ? OUI 85 % NON 15 % L'Univers a-t-il un sens ? OUI 35 % NON 65 % L'apparition de l'homme est-elle le fruit du hasard ? OUI 80 % NON 20 %
Lagrande hypothÚse.1) "le hasard existe-t-il?" La Bible est présente en permanence, parmi les grands mythes de l'humanité, mais le mythe de l'Atlantide représente beaucoup pour moi.. Je l'ai découvert en lisant les livres d'Albert Slosman, la grande hypothÚse, le trilogie des origines (le grand cataclysme - les survivants de l'Atlantide - rescussita
La question du mal fait partie de ces questions universelles qui habitent le cƓur de l’homme depuis la nuit des temps. D’oĂč le mal vient-il ? Pourquoi existe-il ? Le diable est-il un mythe ou une rĂ©alitĂ© ? Toutes ces interrogations donnent lieu Ă  de nombreuses ne devons pas nĂ©cessairement craindre le diable, mais il est bon de comprendre qui il est. Cela me rappelle une anecdote de mon enfance. Je devais avoir 8 ou 9 ans, lorsqu’une fille que j’aimais beaucoup Ă  l’école primaire me confronta pour la premiĂšre fois Ă  la question du diable. Un jour, pour l’impressionner Ă  la rĂ©crĂ©ation, je lui avais dĂ©crit ma propre thĂ©orie Le diable ne pouvait pas exister, car Dieu n’aurait pas créé quelque chose de mauvais, or Dieu Ă©tait Ă  l’origine de toutes choses ». Je m’attendais Ă  ce qu’elle encense ce raisonnement sans faille. Mais je n’eus droit qu’à une rĂ©plique cinglante Alors la Bible ne dit pas la vĂ©ritĂ© ! Tu penses que la Bible raconte des mensonges ? » Je ne rĂ©pondis rien. Elle enchaĂźna Dieu t’a créé toi, et tu commets des pĂ©chĂ©s. C’est parce qu’il t’a créé libre. Les anges aussi ont Ă©tĂ© créés libres. Et Satan s’est servi de cette libertĂ© pour commettre le mal. » VoilĂ  comment, en deux-trois phrases, elle m’avait clouĂ© le bec. Car elle avait mis Ă  mal quatre fausses thĂ©ories sur le diable, qui sont pourtant trĂšs en vogue encore aujourd’hui. PremiĂšre thĂ©orie Le diable n’existe pasLe diable fait en sorte qu’on croie qu’il n’existe pas, mais c’est un leurre. Si l’on en croit la Bible, l’Église catholique mais aussi les principales religions ou encore de nombreuses Ɠuvres artistiques, le diable existe bel et bien. Les dĂ©mons sont mentionnĂ©s dĂšs l’Ancien Testament. Dans le rĂ©cit de la CrĂ©ation, le diable est dĂ©jĂ  prĂ©sent sous la forme du serpent qui, par ses paroles tentatrices, pousse Eve Ă  rompre son amitiĂ© avec Dieu. Au fil de l’Ancien Testament, trois noms de dĂ©mons sont citĂ©s Lucifer, AsmodĂ©e et Satan. Nous apprenons donc qu’il n’y a pas qu’un dĂ©mon, mais plusieurs anges qui ont dĂ©cidĂ© de se dĂ©tourner de aussi Cette priĂšre que le diable dĂ©testeDans le Nouveau Testament, le diable est toujours bien prĂ©sent. Le combat contre les dĂ©mons est au cƓur de la mission du Christ. En effet, la premiĂšre lettre de Jean le dit clairement C’est pour dĂ©truire les Ɠuvres du diable que le Fils de Dieu s’est manifestĂ©. » 1 Jn 3, 8 Dans l’Évangile de Matthieu il est dit On lui amena tous ceux qui souffraient, atteints de maladies et de tourments de toutes sortes possĂ©dĂ©s, Ă©pileptiques, paralysĂ©s. Et il les guĂ©rit. » L’ÉvangĂ©liste Ă©tablit une diffĂ©rence entre les Ă©pileptiques, touchĂ©s par la maladie, et les possĂ©dĂ©s, victimes du dĂ©mon. Le diable est donc Ă  l’Ɠuvre depuis la crĂ©ation, et continue Ă  l’ĂȘtre aujourd’hui, comme en tĂ©moignent ces paroles du pape François en dĂ©cembre dernier Autour de nous, il suffit d’ouvrir un journal. Nous voyons que la prĂ©sence du mal existe, le diable agit. » Alors, qu’est-ce que le diable ? Pour le pape, ce n’est pas une chose diffuse. C’est une personne. » Mais quel genre de personne ? DeuxiĂšme thĂ©orie Le diable est l’opposĂ© de Dieu Pour les catholiques, il n’y a pas deux forces qui s’opposent dans l’univers, d’un cĂŽtĂ© le bien et de l’autre le mal. Non, il n’y a qu’une seule et unique force celle du bien, le Dieu Tout-Puissant, crĂ©ateur de toute chose, y compris du diable. Ce diable, d’oĂč vient-il ? Pourquoi Dieu l’a-t-il créé ?Voici les explications que l’on peut trouver dans le Compendium du CatĂ©chisme de l’Église catholique Satan et les autres dĂ©mons, dont parlent la Sainte Écriture et la Tradition de l’Église, alors qu’ils Ă©taient des anges créés bons par Dieu, se sont transformĂ©s en mĂ©chants, car, par leur choix libre et irrĂ©vocable, ils ont refusĂ© Dieu et son RĂšgne, donnant ainsi naissance Ă  l’enfer. » n°74Lire aussi Le combat de saint Paul contre le diableDieu est amour, et il a créé l’univers par amour. Toutes les crĂ©atures sont la preuve de cet amour, mais seulement deux d’entre elles peuvent aimer Dieu en retour les hommes et les anges. Les anges sont des crĂ©atures spirituelles qui ont comme nous une raison et une volontĂ©. Ils ont la capacitĂ© de penser et de choisir. Ils peuvent donc aimer. Ils peuvent aussi choisir de ne pas aimer. Les anges vivent en dehors du temps, dans l’éternitĂ©. S’ils font le choix de ne pas aimer, c’est un choix pour l’éternitĂ©. Ils quittent l’éternitĂ© du ciel et sont pour toujours Ă©loignĂ©s de Dieu, ce qui est synonyme d’enfer. TroisiĂšme thĂ©orie Le diable cherche Ă  nous possĂ©derÀ la vue de certains films, on pourrait croire que le diable cherche Ă  tout prix Ă  possĂ©der les hommes. En rĂ©alitĂ©, ce n’est pas le cas. Oui, le diable existe et oui, il souhaite que l’on soit damnĂ© en enfer. Mais il ne vise pas de personnes en particulier. En rĂ©alitĂ©, nous lui sommes gĂ©nĂ©ralement indiffĂ©rents. Il ne nous aime pas, certes, mais il ne nous hait pas non plus. Celui qu’il dĂ©teste, c’est Dieu, et c’est lui qu’il cherche Ă  blesser Ă  travers nous. Il sait Ă  quel point Dieu nous aime, et il sait qu’en nous faisant du mal, il fait du mal Ă  Dieu. Bien sĂ»r, les phĂ©nomĂšnes de possession existent. On distingue gĂ©nĂ©ralement quatre stades les stades les moins forts sont l’infestation d’un endroit ou d’un objet et l’obsession qui donne lieu Ă  des tentations trĂšs fortes. Le stade de l’oppression est plus dĂ©licat la personne est sujette Ă  des attaques extĂ©rieures des forces du mal. Le cas le plus rare et le plus critique est la possession complĂšte d’un individu. Le diable prend alors le contrĂŽle de la conscience de la personne. Il peut utiliser sa bouche pour parler et faire bouger ses membres pour commettre des actes de lutter contre ces phĂ©nomĂšnes et s’en libĂ©rer, il existe trois formes d’exorcismes. PremiĂšrement, les priĂšres d’exorcisme dites dans la liturgie au cours des rites baptismaux. DeuxiĂšmement, l’exorcisme privĂ© », dit aussi exorcisme simple. Il tient en ces deux mots ArriĂšre, Satan. » Sainte Faustine avait pour habitude de repousser le diable en faisant un signe de croix. Le troisiĂšme exorcisme est l’exorcisme solennel, dit aussi exorcisme public ou grand exorcisme ». Ce rituel ne s’exerce qu’avec une autorisation spĂ©ciale de l’évĂȘque. C’est un processus qui est pris trĂšs sĂ©rieux. Ainsi, les exorcistes opĂšrent seulement auprĂšs de victimes ayant subi au prĂ©alable des examens mĂ©dicaux et psychiatriques et chez qui toute hypothĂšse de maladie mentale a Ă©tĂ© aussi Le cas de dĂ©livrance le plus Ă©mouvant pour un exorcisteLes phĂ©nomĂšnes de possession sont donc bien rĂ©els. Mais ils sont trĂšs rares. Et gĂ©nĂ©ralement, ils ne se produisent pas par hasard. Dans la majeure partie des cas, ils touchent des personnes qui s’intĂ©ressent aux pratiques occultes, qui s’essayent au spiritisme, en utilisant par exemple des ouijas comme dans la scĂšne inaugurale du film L’Exorciste. Un conseil n’entrez pas dans cet engrenage. Pourquoi la possession est-elle un phĂ©nomĂšne rare ? Parce que le diable sait qu’il n’en a pas besoin pour nous atteindre. Par nos pĂ©chĂ©s, nous nous mettons Ă  sa disposition de maniĂšre beaucoup plus simple. Le pĂ©chĂ© mortel est une possibilitĂ© radicale de la libertĂ© humaine comme l’amour lui-mĂȘme. [
] il cause l’exclusion du Royaume du Christ et la mort Ă©ternelle de l’enfer, notre libertĂ© ayant le pouvoir de faire des choix pour toujours, sans retour », nous dit le CatĂ©chisme n°1861.Le diable ne veut donc pas prendre possession d’une personne en particulier, mais il veut s’assurer que la personne n’appartienne pas Ă  Dieu. Pour parvenir Ă  ses fins, il emploie le moyen le plus simple la soumettre Ă  des tentations pour qu’elle commette des pĂ©chĂ©s. QuatriĂšme thĂ©orie Le diable peut faire de nous quelqu’un »Le diable a cette capacitĂ© Ă  faire miroiter monts et merveilles. Tant de personnes vendent leur Ăąme au diable pour devenir riches, puissantes, cĂ©lĂšbres
 pour devenir quelqu’un ». Mais les victimes de ces manipulations le savent le diable fait de belles promesses, mais Ă  la clĂ© ce ne sont que regrets et mĂ©pris de soi
Lire aussi L’heure du diable existe-t-elle vraiment ?Pour le pape François, le plus simple est de ne pas entrer en contact avec lui Il faut Ă©viter de dialoguer avec Satan. Si tu commences Ă  dialoguer avec lui, tu es perdu. Il est plus intelligent que nous, et il peut nous retourner le cerveau », confiait-il ainsi dans un entretien tĂ©lĂ©visĂ© en dĂ©cembre dernier. Car le diable promet des plaisirs faciles, mais il ne tient jamais ses promesses. Il n’en a pas les capacitĂ©s. Seul Dieu le peut, car il nous aime et sait ce dont nous avons besoin.
Affirmerquelque chose, ce n’est pas dĂ©peindre quelque chose qui n’existe pas ou pas encore, mais prendre conscience de la rĂ©alitĂ©, de la vĂ©ritĂ© et admettre celle-ci avec joie.
1er Ă©tape de la rĂ©flexion Une vidĂ©o qui prĂ©sente une thĂ©orie de complot A chaque crise le nombre de thĂ©ories du complot augmente
 La crise actuelle, dans une pĂ©riode oĂč les rĂ©seaux sociaux jouent un rĂŽle important, voit le nombre de telles thĂ©ories augmenter de maniĂšre exponentielle. La vidĂ©o sous ce lien prĂ©sente une thĂ©orie de complot qui est inventĂ©e de A Ă  Z par des lycĂ©ens pour montrer et dĂ©crypter ses mĂ©canismes. TrĂšs instructif pour visualiser et Ă©changer avec des adolescents. 2e Ă©tape de la rĂ©flexion Un article dans l’hebdomadaire RĂ©forme » du 16 juillet 2020 Titre La mĂ©canique bien huilĂ©e du conspirationnisme » Auteur Louis FRAYSSE Citations Parler de complots’ n’a rien d’une aberration, car leur existence est avĂ©rĂ©e dans l’histoire’, relĂšve Julien Giry, chercheur en science politique Ă  l’universitĂ© de Rennes 1. En revanche, l’appellation thĂ©orie du complot’ me semble ĂȘtre un faux ami. Le propre d’une thĂ©orie scientifique est en effet d’ĂȘtre rĂ©futable, ce qui n’est pas le cas des thĂ©ories du complot oĂč tout est mensonge, sauf l’hypothĂšse centrale l’existence mĂȘme du complot. Je prĂ©fĂšre parler de conspirationnisme’, qui Ă©voque un systĂšme de pensĂ©e oĂč tout Ă©vĂ©nement peut ĂȘtre intĂ©grĂ© Ă  une sorte de mĂ©gacomplot universel.’ » Davantage que la construction longuement rĂ©flĂ©chie d’une critique, le conspirationnisme s’apparente plutĂŽt Ă  un rĂ©flexe interprĂ©tatif’, note AurĂ©lie Ledoux 1. En tĂ©moigne, pour ne prendre qu’un exemple, la rapiditĂ© foudroyante avec laquelle les thĂšmes complotistes apparaissent lorsque survient un Ă©vĂ©nement majeur. En janvier 2015, les premiĂšres rumeurs complotistes Ă©taient ainsi apparues sur Internet moins d’une heure aprĂšs la fusillade Ă  Charlie Hebdo – les conspirationnistes disposent donc d’un appareil rhĂ©torique prĂȘt Ă  ĂȘtre promptement mobilisĂ©. Le conspirationnisme, par ailleurs, ne laisse aucune place au hasard, avance la philosophe Il considĂšre que tout ce qui arrive possĂšde une signification cachĂ©e, qu’une regard perçant pourra atteindre.’ S’il n’y a pas de hasard, c’est que tout est intention. Les complotistes, rĂ©sume AurĂ©lie Ledoux, n’admettent pas qu’un Ă©vĂ©nement ait lieu indĂ©pendamment de la volontĂ©, gĂ©nĂ©ralement perverse, de quelques hommes tout-puissants. L’espĂšce humaine a une trĂšs mauvaise apprĂ©hension du hasard, on le voit avec les nombreux biais cognitifs dont nous sommes tous victimes, prĂ©cise LoĂŻc Nicolas. » Dans cet article le terme conspirationnisme » est utilisĂ© de maniĂšre presque synonyme de ce que nous appelons souvent une thĂ©orie du complot ». L’auteur explique dans le premier paragraphe pourquoi il prĂ©fĂšre ce terme. L’auteur explique que selon une thĂ©orie du complot, il n’y a pas de hasard. Tout ce qui nous arrive doit avoir une explication. Si elle n’est pas apparente, alors elle est secrĂšte on nous la cache ! et on l’invente ou selon les conspirationnistes on la rĂ©vĂšle. 3e Ă©tape de rĂ©flexion Dieu et le hasard Mettre une nappe en papier ou deux grandes feuilles de papier sur une table, avec deux citations Ă  commenter. On commente les citations selon la mĂ©thode du dialogue muet Ă©crit sa rĂ©action sur la nappe. On peut ensuite commenter les commentaires des autres bien sĂ»r en respectant leur point de vue, sans gros mots
. Les deux citations Albert EINSTEIN Le hasard, c’est Dieu qui se promĂšne incognito ». Pour le chrĂ©tien, le hasard n’existe pas. Quelques points de rĂ©flexion Dans l’histoire, le hasard a Ă©tĂ© utilisĂ© en science et philosophie pour nier Dieu comme origine de notre vie et de celle du monde. Cette pensĂ©e n’est pas neutre c’est penser que le hasard fait les choses aussi belles qu’une terre qui tourne autour du soleil et a amenĂ© la complexitĂ© d’une vie humaine/animale
 En mĂȘme temps, n’oublions pas que la science ne peut avoir Dieu » comme prĂ©supposĂ© et explication et qu’elle doit baser ces thĂ©ories sur des choses qu’on peut vĂ©rifier. Le complotisme nie le hasard, mais ce n’est pas la mĂȘme chose que quand des chrĂ©tiens nient le hasard. Pour les premiers une source malveillante ou perverse nous cache des choses, tandis que pour des chrĂ©tiens qui disent que le hasard n’existe pas, c’est souvent pour dire qu’une source bienveillante est Ă  l’origine de ce qui nous arrive un Dieu d’amour. Le hasard ne peut pas devenir la raison pour laisser notre vie se dĂ©rouler sans se poser un minimum de questions. Le hasard n’exclue pas notre responsabilitĂ©. En tant que chrĂ©tiens nous refusons le hasard comme fatalitĂ© qui rĂ©gnerait sur notre vie. Dans ce qui nous arrive, nous cherchons plutĂŽt les signes de la prĂ©sence de Dieu. Dieu/hasard, source malveillante ou bienveillante c’est une façon de donner sens Ă  ce qui nous arrive et qu’on ne peut pas expliquer avec notre raison. 4e Ă©tape de la rĂ©flexion Le hasard dans la Bible 2 textes bibliques qui parlent de hasard JONAS 1 traduction NFC 1La parole du Seigneur fut adressĂ©e Ă  Jonas, fils d’AmittaĂŻ 2 LĂšve-toi, pars pour Ninive, la grande ville. Prononce des menaces contre elle, car sa mĂ©chancetĂ© est arrivĂ©e jusqu’à moi. » 3Et Jonas se leva
 pour fuir Ă  Tarsis, loin du Seigneur. Il se rendit Ă  Jaffa, oĂč il trouva un navire prĂȘt Ă  partir pour Tarsis. Il paya sa place et embarqua avec l’équipage pour aller Ă  Tarsis, loin du Seigneur. 4Mais le Seigneur lança un vent violent sur la mer. Il y eut une telle tempĂȘte que le navire sembla prĂȘt Ă  se briser. 5Les marins furent saisis de peur, chacun appela son propre dieu Ă  grands cris. Puis ils jetĂšrent le chargement Ă  la mer pour allĂ©ger le navire. Jonas, lui, Ă©tait descendu au fond du bateau, il s’était couchĂ© et dormait profondĂ©ment. 6Le capitaine du navire s’approcha de lui et l’interpella ainsi Que fais-tu lĂ  ? tu dors ? LĂšve-toi donc, appelle ton dieu au secours ! Il se souciera peut-ĂȘtre de nous, lui, et il ne nous laissera pas mourir. » 7Les marins se dirent entre eux Tirons au sort pour connaĂźtre le responsable du malheur qui nous arrive. » Ils tirĂšrent au sort et le sort tomba sur Jonas. 8Ils lui dirent alors Raconte, d’oĂč nous vient ce malheur ? Que fais-tu ici ? D’oĂč viens-tu ? Quel est ton pays, ton peuple ? » 9Jonas leur rĂ©pondit Je suis hĂ©breu et c’est le Seigneur, le Dieu qui est dans les cieux et qui a créé les mers et les continents, qui est mon Dieu. » 10Les marins furent saisis d’une grande crainte en apprenant qu’il s’enfuyait loin du Seigneur. Pourquoi as-tu agi ainsi ? lui demandĂšrent-ils. 11Que devons-nous faire de toi pour que la mer s’apaise autour de nous ? » La mer Ă©tait en effet de plus en plus dĂ©montĂ©e. 12Il leur rĂ©pondit Prenez-moi, jetez-moi par-dessus bord et la mer s’apaisera. Car c’est Ă  cause de moi que vous subissez cette grande tempĂȘte. » 13Les marins ramaient pour essayer de gagner la terre ferme ; mais ils ne rĂ©ussirent pas, car la mer se dĂ©chaĂźnait encore plus. 14Alors ils appelĂšrent le Seigneur au secours Ah, Seigneur, ne nous laisse pas perdre la vie Ă  cause de cet homme ! Ne nous rends pas non plus responsables de la mort de quelqu’un d’innocent. Car c’est toi, Seigneur, qui as agi comme tu l’as voulu. » 15Puis ils prirent Jonas, le jetĂšrent par-dessus bord, et la tempĂȘte cessa de faire rage. 16Alors ils furent remplis de crainte Ă  l’égard du Seigneur ; ils lui offrirent un sacrifice et lui firent des promesses solennelles. LUC 10 traduction NFC 25Un spĂ©cialiste des Écritures intervint alors. Pour tendre un piĂšge Ă  JĂ©sus, il lui demanda MaĂźtre, que dois-je faire pour recevoir la vie Ă©ternelle ? » 26JĂ©sus lui dit Qu’est-il Ă©crit dans notre Loi ? Comment le comprends-tu ? » 27Il rĂ©pondit “Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cƓur, de tout ton ĂȘtre, de toute ta force et de toute ta pensĂ©e.” Et aussi “Tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme.” » 28JĂ©sus lui dit alors Tu as bien rĂ©pondu. Fais cela et tu vivras. » 29Mais le spĂ©cialiste des Écritures voulait se justifier. Il demanda donc Ă  JĂ©sus Et qui est mon prochain ? » 30JĂ©sus rĂ©pondit Un homme descendait de JĂ©rusalem Ă  JĂ©richo lorsque des brigands l’attaquĂšrent, lui prirent tout ce qu’il avait, le battirent et s’en allĂšrent en le laissant Ă  demi-mort. 31Par hasard, un prĂȘtre descendait cette route. Quand il vit le blessĂ©, il passa de l’autre cĂŽtĂ© de la route et s’éloigna. 32De mĂȘme, un lĂ©vite arriva Ă  cet endroit, il vit le blessĂ©, passa de l’autre cĂŽtĂ© de la route et s’éloigna. 33Mais un Samaritain, qui voyageait par lĂ , arriva prĂšs du blessĂ©. Quand il le vit, il fut bouleversĂ©. 34Il s’en approcha davantage, versa de l’huile et du vin sur ses blessures et les recouvrit de pansements. Puis il le plaça sur sa propre bĂȘte et le mena dans une auberge, oĂč il prit soin de lui. 35Le lendemain, il sortit deux piĂšces d’argent, les donna Ă  l’aubergiste et lui dit “Prends soin de lui ; lorsque je repasserai par ici, je te paierai moi-mĂȘme ce que tu auras dĂ©pensĂ© en plus pour lui.” » Comme support d’un Ă©change avec les jeunes, voici quelques pistes de rĂ©flexion Qu’en pensez-vous de ces deux textes ? Jonas Est-ce qu’on peut croire que Dieu dĂ©signe toujours la bonne personne en tirant au sort ? Le bon samaritain Quand nous rencontrons des personnes qu’on peut aider, est-ce que c’est par hasard qu’elles croisent notre route ? CrĂ©dits Marlies Voorwinden avec les catĂ©chumĂšnes de l’EPUdF de Beaucaire-Tarascon et du Pays d’Arles , sĂ©ance de janvier 2021 – Point KT Detoute façon Dieu c'est ne victime on lui piquait tout le temps son goĂ»ter Ă  la cantine C'est dans le Bible t'a qu'a lire si tu me croit pas. - page 3 - Topic Dieu n'existe pas,
La raison tĂ©moigne de Dieu Le design intelligent Conception et intelligence En ce moment mĂȘme , vous ĂȘtes assis devant votre ordinateur , lisant des articles sur le site , vous savez d'avance que ce site a Ă©tĂ© rĂ©digĂ© par un auteur pour des raisons spĂ©cifiques , jamais il ne vous viendrait Ă  l'esprit que ce site pourrait s'ĂȘtre produit par "hasard" et introduit par une simple "coĂŻncidence" sur le web . Si un jour, quelqu'un prĂ©tendait que piĂšces d'acier s’étaient unies accidentellement pour former ce qui s'appelle aujourd'hui la tour Eiffel; ne serait-il pas considĂ©rĂ© avec raison comme Ă©tant fou? De la mĂȘme maniĂšre , lorsque vous regardez votre ordinateur , vous ne pouvez douter qu'il a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© par des ingĂ©nieurs dotĂ©s de la plus haute technologie . Ceci ne s’applique pas exclusivement aux ordinateurs. Nous savons que les quelques briques empilĂ©es ici et lĂ , l’une sur l’autre ont Ă©tĂ© apportĂ©es par quelqu'un suivant un certain plan. Par consĂ©quent, partout oĂč il y a un ordre -important ou faible- il doit exister un fondateur et un protecteur de cet ordre. La soudaine crĂ©ation d'une structure complexe d'une forme complĂšte montre qu'elle est l'Ɠuvre d'un individu intelligent. L'exemple de l'ordinateur est aussi valable pour les crĂ©atures vivantes. En fait, la conception de la vie est trop Ă©laborĂ©e et complexe pour ĂȘtre comparĂ©e Ă  celle d'un vulgaire ordinateur. La cellule, l'unitĂ© de base de la vie, est bien plus compliquĂ©e que n'importe quel produit technologique issu de l'homme. H. Thorpre, un scientifique Ă©volutionniste reconnaĂźt que "la cellule la plus Ă©lĂ©mentaire constitue un 'mĂ©canisme' plus complexe que n'importe quelle machine imaginĂ©e Ă  ce jour, sans parler de celles conçues par l'homme"W. R. Bird, The Origin of Species Revisited., Nashville Thomas Nelson Co., 1991, pp. 298-99. De plus, cet organisme irrĂ©ductiblement complexe a du Ă©merger subitement et ce, complÂĂ©tement abouti. Pour cela, il est bien clair que toutes les crĂ©atures vivantes sont le travail d'une " conception " supĂ©rieure. Celui que l'on appelle tantĂŽt " Grand Constructeur " tantĂŽt " conception supĂ©rieure " n'est autre que Dieu qui a crĂ©a toutes les crĂ©atures "Dieu est le CrĂ©ateur de toute chose, et de toute chose Il est Garant. Il dĂ©tient les clefs des cieux et de la terre; et ceux qui ne croient pas aux versets de Dieu, ce sont ceux-lĂ  les perdants. Dis Me commanderez-vous d'adorer autre que Dieu, Ô ignorants ? »"Coran 39 Sourate AZ-ZUMAR LES GROUPES versets 62-64 Dans son livre "La boĂźte noire de Darwin", le cĂ©lĂšbre biochimiste Michael Behe affirme l'Ă©vidence de cette conclusion " Ils ont Ă©tĂ© conçus non pas par les lois de la nature, ni par le hasard ou la nĂ©cessitĂ© ; mais ils ont plutĂŽt Ă©tĂ© planifiĂ©s. Le Concepteur savait Ă  quoi ressembleraient les systĂšmes quand ils seraient terminĂ©s, puis Il les a crĂ©es. La vie sur terre Ă  son niveau le plus fondamental, dans ses composants les plus critiques, est le produit d'une activitĂ© intelligente. La conclusion d'un dessein intelligent dĂ©coule naturellement des donnĂ©es elles-mĂȘmes... DĂ©duire que les systĂšmes biochimiques ont Ă©tĂ© conçus par un agent intelligent est un processus banal qui ne requiert aucun nouveau principe de logique et de science. Cela dĂ©coule simplement du travail important que la biochimie a effectuĂ© ces quarante derniĂšres annĂ©es, et la considĂ©ration de la maniĂšre dont nous atteignons des conclusions de conception tous les jours." Michael J. Behe, Darwin's Black Box, New York Free Press, 1996, Michel Behe explique aussi comment les derniĂšres dĂ©couvertes sur la cellule vivante ont Ă©tĂ© accueillies dans le milieu athĂ©e Michel Behe DĂ©duire que les systĂšmes biochimiques ont Ă©tĂ© conçus par un agent intelligent est un processus banal qui ne requiert aucun nouveau principe de logique et de science. " Ces quatre derniĂšres dĂ©cennies, la biochimie moderne a rĂ©vĂ©lĂ© les secrets de la cellule. Les progrĂšs ont Ă©tĂ© difficiles Ă  atteindre. Cela a nĂ©cessitĂ© que des dizaines de milliers de personnes dĂ©dient les meilleurs moments de leur vie au travail fatigant du laboratoire
 Le rĂ©sultat de ces efforts cumulĂ©s pour Ă©tudier la cellule– pour Ă©tudier la vie au niveau molĂ©culaire – est un cri fort, clair et perçant de "conception" ! Le rĂ©sultat est tellement sans ambiguĂŻtĂ© et tellement signifiant qu'il doit ĂȘtre classĂ© comme le plus grand accomplissement de l'histoire de la science. Ce triomphe de la science doit Ă©voquer des cris de "EurĂȘka" provenant de dizaines de milliers de bouches. Mais aucune bouteille n'a Ă©tĂ© dĂ©bouchĂ©e, aucun applaudissement ne s’est fait entendre. A la place, un silence curieux, embarrassĂ©, entoure la complexitĂ© absolue de la cellule. Quand le sujet est abordĂ© en public, les pieds commencent Ă  remuer, la respiration se fait plus laborieuse. En privĂ©, les gens sont un peu plus dĂ©tendus ; beaucoup admettent explicitement l'Ă©vidence mais baissent ensuite les yeux, hochent la tĂȘte, et ne vont pas plus loin. Pourquoi la communautĂ© scientifique n'embrasse-telle pas avidement cette dĂ©couverte ? Pourquoi l'observation d'une conception est-elle maniĂ©e avec des gants intellectuels ? Car accepter la conception intelligente, revient Ă  accepter l’existence de Dieu." Michael Darwin's Black Box, New York Free Press, 1996, pp. 231-232 En bref, quand nous examinons ce systĂšme magnifique qui compose l'Univers, nous voyons que l'existence de l'Univers et ses fonctionnements reposent sur des mesures extrĂȘmement prĂ©cises et sur un ordre tellement complexe qu'ils ne peuvent pas ĂȘtre expliquĂ©s par de simples coĂŻncidences. Il n’est pas possible que ces ordres et ces Ă©quilibres minutieux se soient formĂ©s d’eux-mĂȘmes et qu’ils soient issus de pures coĂŻncidences faisant suite Ă  une grande explosion. Ceci ne peut ĂȘtre expliquĂ© qu'en reconnaissant une crĂ©ation surnaturelle Un professeur d'astronomie amĂ©ricain, George Greenstein, reconnait dans son livre The Symbiotic Universe "En survolant les diffĂ©rentes preuves, il nous vient immĂ©diatement Ă  l’esprit qu’une sorte d'organisation -ou plutĂŽt d'Organisation surnaturelle doit ĂȘtre impliquĂ©e." Hugh Ross, The Fingerprint of God, 2Ăšme Ă©d., Orange, CA Promise Publishing Co. - 1991, pp. 114-115 Ces plans et cette harmonie incomparables de l'Univers prouvent certainement l'existence d'un CrĂ©ateur qui a la Connaissance, la Puissance et la Sagesse infinies. Un CrĂ©ateur qui a créé la matiĂšre Ă  partir du nĂ©ant et qui la contrĂŽle et la domine sans interruption. Ce CrĂ©ateur est Dieu, Seigneur des cieux, de la terre et de tout ce qui se trouve entre les deux "L'homme ne voit-il pas que Nous l'avons créé d'une goutte de sperme ?Et le voilĂ  [devenu] un adversaire dĂ©clarĂ© ! . Il cite pour Nous un exemple, tandis qu'il oublie sa propre crĂ©ation; il dit Qui va redonner la vie Ă  des ossements une fois rĂ©duits en poussiĂšre ? ». Dis Celui qui les a créés une premiĂšre fois, leur redonnera la vie. Il Se connaĂźt parfaitement Ă  toute crĂ©ation; . c'est Lui qui, de l'arbre vert, a fait pour vous du feu, et voilĂ  que de cela vous allumez. . Celui qui a créé les cieux et la terre ne sera-t-Il pas capable de crĂ©er leur pareil ? Oh que si ! et Il est le grand CrĂ©ateur, l'Omniscient. . Quand Il veut une chose, Son commandement consiste Ă  dire Sois», et c'est. . Louange donc, Ă  Celui qui dĂ©tient en sa main la royautĂ© sur toute chose ! Et c'est vers Lui que vous serez ramenĂ©s." Coran 36 sourate Ya sin versets 77-83.La thĂšse du hasard Face Ă  l'Ă©vidence de la crĂ©ation , les athĂ©es ont recours Ă  un seul concept " le hasard ", En croyant que le pur hasard puisse produire de parfaites conceptions, les athĂ©es dĂ©passent les limites de la raison et de la science, il semble mĂȘme qu'il entrent dans une sorte de dogmatisme vĂ©nĂ©rant le hasard "Le hasard devient une sorte de providence, qui, sous le couvert de l'athĂ©isme, n'est pas nommĂ©, mais est secrĂ©Âtement vĂ©nĂ©rĂ©." Pierre-P GrassĂ©, ancien prĂ©sident de l'AcadĂ©mie Francaise des Sciences, Evolution of Living Organisms, p. 107 Toutefois, l'invaliditĂ© de leur allĂ©gation se comprend aisĂ©ment compte tenu de simples observations ainsi que des nouvelles dĂ©couvertes et avancĂ©es scientifiques , la formation ne serait ce que d'une minuscule protĂ©ine ne peut en aucun cas aboutir par hasard , Le professeur Ali Demirsoy, un des fervents dĂ©fenseurs de la thĂ©orie de l'Ă©volution en Turquie avoue que " la formation alĂ©atoire du cyt H. Thorpre "la cellule la plus Ă©lĂ©mentaire constitue un 'mĂ©canisme' plus complexe que n'importe quelle machine imaginĂ©e Ă  ce jour, sans parler de celles conçues par l'homme" ochrome-C, une protĂ©ine essentielle Ă  la survie, est aussi improbable que la rĂ©daction sans erreurs d'un livre sur l'histoire de l'humanitĂ© par un singe grĂące Ă  une machine Ă  Ă©crire".Ali Demirsoy, Kalitim ve Evrim HĂ©rĂ©ditĂ© et Evolution, Ankara Meteksan Yayinlari, 1984, p. 64 De son cotĂ© Le fameux Fred Hoyle, mathĂ©maticien et astronome britannique, dĂ©clare "La possibilitĂ© que la plus haute forme de vie pourrait avoir EmergĂ© de cette faon est comparable la possibilitĂ© qu'une tornade qui balaye sur son passage un dĂ©pĂŽt de ferrailleur pourrait assembler un Boeing 747 partir des matĂ©riaux qui s'y trouvent." Hoyle and Evolution, Nature, vol. 294, 12 novembre 1981, p. 105 Le hasard qui ne peut mĂȘme pas justifier l'apparition d'une minuscule protĂ©ine , ne pourra pas justifier non plus la complexitĂ© Ă©poustouflante des organes vivants, ni la haute sagesse dans les mĂ©canismes de l'Ɠil et du cerveau, ni l'ordre incroyable qui rĂ©git notre univers , ni l'existence de millions de crĂ©atures diversifiĂ©es, chaque crĂ©ature en elle mĂȘme un phĂ©nomĂšne impressionnant dans la conception..... les raisons de cet acharnement Ă  donner au hasard le pouvoir absolu et la sagesse infinie dĂ©coulent comme le soutient Hoyle de raisons autres que scientifiques " En effet, une thĂ©orie pareille que la vie Était assemblĂ©e par une intelligence est si Évidente que l'on se demande pourquoi ce n'est pas largement acceptĂ© comme Étant une Evidence en soi. Les raisons sont psychologiques plutĂŽt que scientifiques."Fred Hoyle, Chandra Wickramasinghe, Evolution from Space, New York, Simon & Schuster, 1984, p. 130Et le temps .... Un autre canular souvent utilisĂ© par les athĂ©es est celui du temps, en se refugiant dans des affirmations vagues tel que " durant une longue pĂ©riode, tout devient possible" ou "pendant des milliards et des milliards d'annĂ©es..." , ils essaient ainsi d'induire les gens Ă  l'erreur en leur faisant croire que le temps aurait un effet magique qui sortira leurs thĂ©ories de toutes leurs impasses , l'un d'entre eux affirme par exemple "Donnez moi du temps et de l'eau , et je vais vous crĂ©er la vie..." , en avançant cette assertion complĂštement illogique, il sait bien que personne ne serait la aprĂšs des millions d'annĂ©es pour vĂ©rifier la rĂ©ussite de son expĂ©rience , il n'Ă©claircit nullement l'apparition de la vie basĂ©e sur un mĂ©canisme hasardeux, il essaie seulement de s'Ă©vader du problĂšme en le menant dans une impasse , En se contentant de prĂ©senter le temps comme un facteur magique qui va tout rendre possible . un simple examen de cette allĂ©gation sous diffĂ©rents angles permettra de discerner le bluff qu'elle essaie d'introduire dans les esprits - D'une part la complexitĂ© dont il est question dans l'univers dĂ©passe ce que le temps pourrait apporter comme changements, mĂȘme avec des milliards de milliards d'annĂ©es, l'improbabilitĂ© de la formation hasardeuse des crĂ©atures reste inchangĂ©e , le simple exemple de la protĂ©ine suffit pour dĂ©montrer cela , l'affirmation Ă©volutionniste soutenue par la communautĂ© athĂ©e en ce qui concerne l'origine de la vie se prĂ©sente ainsi " dans un environnement terrestre primordial, un ensemble d'acides aminĂ©s se sont rassemblĂ©s pour former une protĂ©ine, de mĂȘme plusieurs protĂ©ines furent formĂ©es , puis ces protĂ©ines se sont rassemblĂ©es pour former la premiĂšre cellule vivante..." or il a Ă©tĂ© prouvĂ© que la probabilitĂ© de constitution d'une seule protĂ©ine moyenne composĂ©e de 500 aminoacides est de 1/10 950 , en d'autres termes la probabilitĂ© de formation d'une seule protĂ©ine moyenne est de 1 sur un milliard de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard...............de milliard de milliard . cette probabilitĂ© est tellement petite qu'elle demeure inchangĂ©e quelque soit le temps passĂ© supposons par exemple que des rĂ©actions ont eu lieu pendant cent milliard d'annĂ©es l'Ăąge de l'univers n'est estimĂ© qu'Ă  13 milliards d'annĂ©es sur cent milliard de planĂštes Ă  raison d'une rĂ©action par seconde disons qu'une annĂ©e contient 32 millions de secondes , par un simple calcul, le nombre total des rĂ©actions qui ont eu lieu seront approximativement de = 100 milliard* 100 milliard * = 32*104* 109 *10*9= 32*1022 qu'on va agrandir Ă  1024. quel effet ce chiffre 1024 aura sur la probabilitĂ© de la formation d'une protĂ©ine ? il n y aura pratiquement aucun effet , la probabilitĂ© augmentera seulement Ă  1/10926 , en rĂ©sumĂ© en se donnant 100 milliard d'annĂ©es et 100 milliard de planĂštes , la probabilitĂ© de formation d'une minuscule protĂ©ine reste toujours =0 . William Stokes, un gĂ©ologue amĂ©ricain, admet ce fait dans son livre Essentials of Earth History et Ă©crit que cette probabilitĂ© est si petite "qu'elle la protĂ©ine ne peut avoir lieu pendant des milliards d'annĂ©es sur des milliards de planĂštes, chacune couverte d'un tapis de solution liquide concentrĂ©e d'acides aminĂ©s nĂ©cessaires". Meme si des rĂ©actions se font sur 100 milliard d'annĂ©es et dans 100 milliard de planĂštes , la formation d'une minuscule protĂ©ine reste mathĂ©matiquement impossible . Notons qu'il ne s'agit que d'une seule protĂ©ine , le corps humain en contient des millions, de plus il n'existe sur la terre aucun mĂ©canisme d'essai/erreur qui teste et reteste afin de fabriquer es protĂ©ines . - D'autre part et contrairement aux affirmations Ă©volutionnistes, le temps est un facteur qui cause non pas l'organisation mais plutĂŽt l'effondrement et la destruction des informations d'une organisation Une voiture laissĂ©e Ă  l'abandon ne se transformera jamais avec le temps en un modĂšle plus dĂ©veloppĂ©. Bien au contraire, sa carrosserie rouillera, sa peinture se dĂ©collera, ses vitres se briseront et peu de temps aprĂšs, cette voiture deviendra un tas de ferraille. Le mĂȘme processus inĂ©vitable s'Ă©tablit de façon plus rapide pour les molĂ©cules organiques et pour les ĂȘtres vivants. Il s'agit ici d'une simple loi de la physique thermodynamique , la loi de l'entropie qui stipule que "tout systĂšme laissĂ© Ă  lui-mĂȘme dans des conditions naturelles, Ă©volue avec le temps vers une dĂ©sorganisation, un dĂ©sordre et finalement Ă  une dĂ©composition" . - les lois qui rĂ©gissent notre univers sont des lois dĂ©finies et figĂ©es , ces lois ne subissent aucune modification au fil du temps , le petit d'une grenouille sera toujours une grenouille, et celui d'un lĂ©zard restera un lĂ©zard . Car les informations gĂ©nĂ©tiques transmises sont propres au lĂ©zard et les causes naturelles n'entraĂźneront jamais aucun ajout d'information. - D'autre part le temps se prĂ©sente Ă  plusieurs reprises comme preuve de la crĂ©ation ,Le physicien des mathĂ©matiques Paul Davies, professeur Ă  l'universitĂ© d'AdĂ©laĂŻde en Australie, a calculĂ© les conditions qui avaient du exister au moment du Big-Bang et est parvenu Ă  un rĂ©sultat qui ne peut que ĂȘtre qualifiĂ© d'Ă©tonnant. D'aprĂšs Paul Davies, si le taux d'expansion avait variĂ© de plus de 10-18 secondes un quintillioniĂšme de seconde l'univers n'aurait pu se former "Si, au moment de la crĂ©ation pĂ©riode pendant laquelle le taux d'expansion a Ă©tĂ© fermement Etabli, le taux d'expansion avait diffĂ©rĂ© de sa valeur actuelle de plus de 10-18, cela aurait Ă©tĂ© suffisant pour totalement bouleverser cet Équilibre minutieux. L'incroyable exactitude de l'explosion de l'univers a permis l'apparition de sa force de gravitation. Le Big-Bang Était donc une explosion d'une magnitude magnifiquement ordonnĂ©e."Paul Davies, Superforce The Search for a Grand Unified Theory of Nature, 1984, p. 184Finalement Tout ce que l’on vient de voir nous confronte Ă  cette planification impeccable qui se manifeste Ă  nous partout ou l'on s'adresse ,Celui qui cherche Ă  Ă©valuer ces signes Ă©vidents et indĂ©niables par la raison et la conscience, y verra des preuves Ă©clatantes de l'existence du crĂ©ateur , il n'existe aucune place pour le hasard dans l'Univers . C'est Dieu, le CrĂ©ateur de ce systĂšme parfait, et c'est lui qui dĂ©tient la force et la connaissance infinies, dans notre vie d'ici bas , nous avons le devoir de connaitre notre crĂ©ateur , de l'aimer , de le craindre , et de l'adorer comme il nous a commandĂ© "Ô hommes ! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d'un seul ĂȘtre, et a créé de celui-ci sont Ă©pouse , et qui de ces deux lĂ  a fait rĂ©pandre sur la terre beaucoup d'hommes et de femmes. Craignez Dieu au nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Dieu vous observe parfaitement." Coran Sourate 4 AN-NISA verset 1
Quest ce que votre MOI SUPÉRIEUR ? Votre Moi supĂ©rieur est votre VOUS spirituel..Prenons l’exemple d’un jeu vidĂ©o.Le vous incarnĂ© serait le personnage du jeu et votre MOI SUPERIEUR le joueur influençant et guidant le personnage Ă  travers le jeu de la vie.VOTRE MOI SUPERIEUR c’est comme une extension de vous-mĂȘme qui n’est pas incarnĂ©e et qui est reliĂ©e Ă  la
Question RĂ©ponse Le hasard dĂ©signe ce qui semble ne pas avoir de cause. Le terme de chance est souvent employĂ© pour un Ă©vĂ©nement heureux, souhaitable, des circonstances favorables qui semblent survenir par hasard. La question essentielle est le hasard existe-t-il vraiment ? Si oui, on peut parler de chance et de malchance, mais dans le cas contraire, ces termes sont inappropriĂ©s. EcclĂ©siaste dit J'ai encore vu, sous le soleil, que la course n'est pas rĂ©servĂ©e aux plus rapides, ni la guerre aux hommes vaillants, ni mĂȘme le pain aux sages, la richesse aux intelligents ou la faveur Ă  ceux qui ont de la connaissance. En effet, ils dĂ©pendent tous des circonstances, favorables ou non. L'homme ne connaĂźt pas non plus son heure. Il est pareil aux poissons capturĂ©s dans le filet fatal, aux oiseaux pris au piĂšge comme eux, les humains sont surpris lorsque le malheur arrive, lorsqu'il tombe sur eux tout Ă  coup. » L'EcclĂ©siaste parle beaucoup du point de vue de ceux qui voient la vie sur terre sans Dieu, la vie sous le soleil ». Si l’on exclut Dieu, la chance et la malchance semblent effectivement exister. C'est gĂ©nĂ©ralement le coureur le plus rapide qui gagne la course, mais parfois, il trĂ©buche et perd. Quelle malchance ! Un roi peut aussi avoir la meilleure armĂ©e, mais ĂȘtre abattu par une flĂšche tirĂ©e Ă  l'aveuglette par un soldat ennemi, qui le frappe Ă  l'endroit le plus vulnĂ©rable de son armure 2 Chroniques Le roi Achab a-t-il seulement manquĂ© de chance ? Était-ce le hasard ? L'ensemble du chapitre montre que Dieu Ă©tait Ă  l'Ɠuvre dĂšs le commencement. Le soldat qui a tirĂ© la flĂšche n'Ă©tait pas du tout conscient de sa trajectoire, mais Dieu, dans sa souverainetĂ©, savait qu'elle tuerait le mĂ©chant roi Achab. Il en va de mĂȘme dans le livre de Ruth l'hĂ©roĂŻne, une veuve qui s'occupait de sa belle-mĂšre, Ă©galement veuve, cherchait un champ pour y glaner du grain afin de pourvoir Ă  leurs besoins. Ruth alla ramasser des Ă©pis dans un champ, derriĂšre les moissonneurs. Il se trouva que la parcelle de terre appartenait Ă  Boaz, du clan d'ÉlimĂ©lec. » Ruth ÉlimĂ©lec Ă©tait le mari de sa belle-mĂšre Naomi et Boaz, qui Ă©tait donc son parent, s'est montrĂ© gĂ©nĂ©reux avec elle. Lorsqu’elle s’en revient avec beaucoup plus de grain que prĂ©vu, sa belle-mĂšre lui dit OĂč as-tu ramassĂ© des Ă©pis aujourd'hui ? OĂč as-tu travaillĂ© ? BĂ©ni soit celui qui s'est intĂ©ressĂ© Ă  toi !» Ruth raconta Ă  sa belle-mĂšre chez qui elle avait travaillĂ© L'homme chez qui j'ai travaillĂ© aujourd'hui s'appelle Boaz », dit-elle. Naomi dit Ă  sa belle-fille Qu'il soit bĂ©ni de l'Éternel, qui garde sa bontĂ© pour les vivants comme pour les morts ! Cet homme nous est proche – lui dit encore Naomi – il est un de ceux qui ont droit de rachat sur nous. » Ruth Naomi savait que cela n'Ă©tait pas arrivĂ© par hasard, mais par la Providence de Dieu, comme d'autres le comprendront Ă©galement pat la suite Ruth Proverbes dĂ©crit un principe gĂ©nĂ©ral On jette les sorts dans le pan de l’habit, mais c'est de l'Éternel que vient toute dĂ©cision. » Les sorts qui ressemblaient Ă  des dĂ©s ou des piĂšces Ă©taient parfois employĂ©s pour rĂ©gler des litiges judiciaires. Le cas d'Achan en JosuĂ© 7 est un exemple de recours au sort afin de dĂ©terminer qui Ă©tait coupable. Proverbes Ă©nonce un principe similaire Le tirage au sort met fin aux conflits et tranche entre les puissants. » LĂ  encore, l'idĂ©e est que la providence divine dĂ©termine le rĂ©sultat du sort, si bien que les conflits peuvent ĂȘtre ainsi rĂ©solus, quelle qu'en soit la gravitĂ©. Proverbes semble indiquer que mĂȘme quelque chose d'aussi alĂ©atoire qu'un lancer de dĂ© ou de piĂšce n'Ă©chappe pas Ă  la souverainetĂ© de Dieu et n'est donc pas le fruit du hasard. La souverainetĂ© divine implique deux aspects. Il y a d'abord sa volontĂ© active, les Ă©vĂ©nements dont il est la cause directe, comme la mort au combat du roi inique Achab 2 Chroniques Achab n'a pas Ă©tĂ© abattu par une flĂšche tirĂ©e Ă  l'aveuglette, mais 2 Chroniques 18 dit que Dieu est intervenu pour diriger le cours des Ă©vĂ©nements ayant menĂ© Ă  la bataille et s'est servi de cette flĂšche tirĂ©e au hasard pour accomplir ses desseins et faire mourir Achab ce jour-lĂ . Il y a ensuite la volontĂ© passive de Dieu ce qu'il permet sans en ĂȘtre directement la cause. Le chapitre 1 du livre de Job montre comment Dieu a permis Ă  Satan d'intervenir dans la vie de Job. Il a aussi permis aux frĂšres de Joseph de lui faire du mal afin d'accomplir un plus grand bien, dont Joseph lui-mĂȘme n'a pris conscience que des annĂ©es plus tard GenĂšse Nous ne voyons pas ce qui se passe au ciel et ne pouvons donc pas toujours dĂ©terminer si c'est la volontĂ© active ou passive de Dieu qui est Ă  l'Ɠuvre dans notre vie, mais nous savons que tout arrive selon sa volontĂ©, active ou passive, et que rien n'arrive par hasard. Quand nous jetons les dĂ©s pour un jeu de sociĂ©tĂ©, Dieu peut Ă©videmment dĂ©terminer le rĂ©sultat, mais le plus souvent, pour ces choses sans grande importance, il laissera la nature suivre son cours sans intervenir. MĂȘme s'il n'intervient pas activement, le rĂ©sultat dĂ©pend nĂ©anmoins de sa souverainetĂ©. Il en est ainsi de tous les Ă©vĂ©nements de la vie, qu'ils soient importants Matthieu ou non Daniel Proverbes Dieu est souverain sur toutes les circonstances ÉphĂ©siens Psaume ÉsaĂŻe et rien n'arrive donc par hasard. D'un point de vue terrestre, les choses semblent arriver par hasard, mais toute la Bible atteste clairement que Dieu reste aux commandes de toute sa crĂ©ation et qu'il se sert des lois de la nature, du libre-arbitre des hommes bons et mauvais et des mauvaises intentions des dĂ©mons pour accomplir sa volontĂ© bonne et parfaite GenĂšse Job 1 et 42, Jean Les chrĂ©tiens, surtout, ont reçu la promesse que Dieu fait concourir toutes choses, d'apparence bonne ou mauvaise, au bien de ceux qui l'aiment et qui sont appelĂ©s selon son dessein Romains English Retour Ă  la page d'accueil en français Que dit la Bible du hasard ?
\n\n le hasard n existe pas c est dieu
Cest ce qu’on appelle le principe anthropique (du grec anthropos, l’homme, à ne pas confondre avec entropie). Il est plus qu’improbable que tout cela soit le fruit du hasard. Serait-ce
Il est temps d’abord de rĂ©sumer. Au fond, qu’avons-nous vu ? DĂ©istes et athĂ©es se sĂ©parent principalement sur la place Ă  accorder au hasard. Si Dieu n’existe pas, le hasard est Ă  l’origine de l’Univers et partant, de la vie. L’existence de Dieu n’empĂȘche pas le hasard, mais interdit qu’il reprĂ©sente toute l’origine des choses. La science ne permet pas de trancher. On constate que le hasard pose une grande difficultĂ© quand il s’agit d’expliquer pourquoi le big bang a eu lieu, qu’y avait-il avant, et comment se fait-t-il que l’Univers soit aussi rĂ©guliĂšrement constituĂ©. L’hypothĂšse des multivers est statistiquement plus probable, mais rien ne permet de la confirmer pour l’instant. Au final, croire que l’Univers vient entiĂšrement du hasard est possible, mais n’a rien d’une Ă©vidence. Cela Ă©tant, montrer que l’explication de l’origine de l’ordre par le hasard est limitĂ©e ne permet pas de conclure ispo facto que l’explication divine est vraie. C’est un peu comme dĂ©montrer que Hollande est un piĂštre PrĂ©sident, et en conclure que Sarkozy en serait un excellent ! Dire que le hasard explique difficilement l’Univers ne prouve pas que Dieu existe, mais rend l’hypothĂšse de Dieu davantage plausible, ou au moins, aussi vraisemblable que sa non-existence. Et c’était l’un des buts de cette recherche. Il faut dire, pour ĂȘtre honnĂȘte, que l’existence de Dieu comme explication Ă  l’origine de l’Univers n’est pas sans poser d’autres difficultĂ©s. Certaines sont Ă©videntes dire que Dieu est Ă  l’origine du monde ne nous dit pas qui est Dieu pourquoi est-il nĂ©cessairement bon, par exemple ?, pourquoi il a voulu crĂ©er le monde, sans parler de la fameuse question de savoir qui est Ă  l’origine de Dieu. Les questions peuvent devenir vertigineuses –ou cocasses, c’est selon– quand on met en relation, par exemple, l’éternitĂ© de Dieu avec la finitude de l’Univers. Car si Dieu a créée l’Univers Ă  un instant, on peut aussi se demander ce qu’il faisait avant s’ennuyait-t-il ?
 »de toute Ă©ternitĂ©, il prĂ©parait d’épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question », affirmait avec malice saint Augustin. De plus, l’hypothĂšse de Dieu implique de discuter, sinon de rĂ©soudre, l’existence du dĂ©sordre et du mal, car il faut rendre compatible un Dieu Bon et Tout puissant avec les imperfections de la nature lĂ  oĂč le hasard en rend trĂšs bien compte. Tout cela relĂšve de la thĂ©ologie, et sort Ă©videmment du cadre de cet article. Nous arrivons au terme de notre recherche et la conclusion peut sembler Ă  la fois stimulante, ou dĂ©cevante. A aucun moment nous n’avons prĂ©tendu dĂ©montrer » l’existence de Dieu, si dĂ©montrer » Ă©quivaut Ă  une preuve scientifique rigoureuse reposant sur l’expĂ©rimentation et la mĂ©thode. Nous ne l’avons pas fait. C’est dans ce sens que cette recherche peut sembler dĂ©cevante. De nombreuses lignes et 7 articles plus tard ne permettent aucunement de trancher sur cette ĂŽ combien dĂ©licate question. Ainsi fait, chacun peut Ă  bon droit entendre les arguments qui confirment ses prĂ©suppositions. L’athĂ©e, excluant d’avance la possibilitĂ© de Dieu, dira que la science actuelle est limitĂ©e et expliquera mieux demain comment le hasard peut gĂ©nĂ©rer le monde –on peut cependant douter que la science parvienne un jour Ă  montrer comment rien peut aboutir Ă  quelque chose, ce problĂšme philosophique demeurant insoluble. Sans aucun doute, la science du futur expliquera mieux demain l’Univers qu’aujourd’hui. Mais en mĂȘme temps, au fur et Ă  mesure que l’on explique mieux, on dĂ©couvre de nouveaux phĂ©nomĂšnes inexplicables, et ainsi la science repousse ses limites. Ce qui permet Ă  la thĂ©ologie de survivre. Le croyant, confiant d’avance en Dieu, trouvera ici une confirmation que croire en Dieu n’est pas irrationnel, ne reprĂ©sente pas un degrĂ© d’irrationalitĂ© significativement diffĂ©rent que croire au hasard. D’un autre cĂŽtĂ©, on peut aussi trouver ici de nombreuses raisons de se rĂ©jouir. Francis Collins conclut son livre par un vibrant plaidoyer tant aux croyants qu’aux scientifiques. Il rappelle que si la science a le monopole de la connaissance prĂ©cise du rĂ©el, la mĂ©thode scientifique n’est pas le seul moyen de savoir. On ne peut pas rĂ©duire l’émotion provoquĂ©e par la messe en si mineur de Johan SĂ©bastien Bach Ă  une vibration dans l’air affectant notre cerveau. Le scientifique qui le fait a une vision bien pauvre de l’esprit humain, de la gamme possible de ses sentiments. La derniĂšre dĂ©marche de la raison, c’est de reconnaĂźtre qu’il y a des choses qui dĂ©passent la raison. Pascal Comme je l’avais indiquĂ© en prĂ©ambule, nous n’avons pas dĂ©montrĂ© l’existence de Dieu nous avons dĂ©montrĂ© qu’il existe des raisons de croire. Ainsi, chacun conserve son libre-arbitre croire ou ne pas croire, ou plus exactement croire en Dieu ou croire en autre chose. Une dĂ©monstration mathĂ©matique de l’existence de Dieu ne constituerait pas un progrĂšs elle rĂ©duirait la foi, adhĂ©sion libre, personnelle et volontaire dans laquelle il entre un part de doute, Ă  l’acceptation d’une vĂ©ritĂ© scientifique indubitable. L’étymologie du mot foi » interdit cette rĂ©duction en rappelant qu’elle repose sur la confiance foi vient du latin fides, ou fiducia, qui veut dire confiance ; croire provient du latin credere se fier Ă , avoir confiance en qui viendrait lui-mĂȘme de l’indo-europĂ©en áž±red dʰeh₁- signifiant placer son cƓur en ». Placer son cƓur en, donc, et pas prouver que. D’ailleurs, nous ne croyons pas Ă  Dieu comme nous croyons Ă  une thĂ©orie, une idĂ©e, un Ă©vĂšnement ou Ă  des valeurs. Nous croyons en une Personne. Il y a une relation entretenue avec un sujet, plus qu’une opinion projetĂ©e sur un objet. Saint Augustin disait fort justement Croire qu’on n’est pas aimĂ© parce qu’on ne voit pas l’amour .., ce n’est pas lĂ  un acte de sagesse, mais une rĂ©serve odieuse ». L’approche par la philosophie et la Raison, oĂč Dieu est une conclusion raisonnable », ne s’oppose donc pas Ă  une approche plus subjective ou Ă©motionnelle. Elle la complĂšte. Nulle intention ici, donc, de rĂ©duire Ă  des raisonnements ce que des millions de personnes pieuses expriment plus facilement avec un Ă©lan du cƓur. On peut considĂ©rer que Dieu se trouve plus facilement dans le baiser d’une femme, la contemplation d’une nuit Ă©toilĂ© ou la dĂ©tresse d’une priĂšre silencieuse qu’à la suite d’un raisonnement. En mĂȘme temps, la foi ne peut pas se contenter d’ĂȘtre une vague Ă©motion, un sentiment subjectif ou lyrique, sans consistance. La foi, en fin de compte, est aussi Ă©loignĂ©e du sentimentalisme spirituel qu’elle l’est du rationalisme scientiste. Elle n’est pas rationnelle ou scientifique en elle-mĂȘme, mais elle est compatible avec la raison. Elle est d’abord Ă©lan du cƓur, sans ĂȘtre seulement Ă©lan du cƓur. Cette façon d’aborder l’existence de Dieu, plus subjective, spirituelle, thĂ©ologique, ne doit pas ĂȘtre mĂ©prisĂ©e. Certains trouvent des signes » de l’existence de Dieu. Ces signes, ainsi que je l’exprimai il y a trois ans lorsque j’avais discutĂ© de cette question, sont des Ă©vĂšnements qui, interprĂ©tĂ© d’une certaine façon par l’homme croyant, dĂ©voilent une partie du mystĂšre divin. Ils sont par dĂ©finition insuffisants pour emporter l’adhĂ©sion. Des signes suffisants piĂ©tineraient la libertĂ© humaine. Fabrice Hadjadj l’exprime bellement Si JĂ©sus Ă©tait descendu de sa Croix pour prouver irrĂ©futablement sa divinitĂ©, quelle foi aurions-nous, avec notre bassesse, sinon du dĂ©mon qui adore ? 
. Plus on rĂ©duit le Christ Ă  un faiseur de miracles, moins on peut le reconnaĂźtre comme Sauveur sur la Croix 
 On peut forcer une adhĂ©sion intellectuelle. On ne peut pas forcer un cƓur 
 Dieu se cache donc assez pour que l’homme le cherche avec dĂ©sir, et le cherche Ă  travers ses frĂšres, c’est-Ă -dire aussi bien dans sa belle-mĂšre que dans un rouge-gorge »[1]. PhilarĂȘte affirme que de tels signes seront toujours et, pour ainsi dire, par dĂ©finition, insuffisants. Ils ne dispenseront jamais du saut de la foi ». Si Dieu existe, il est nĂ©cessairement au-delĂ  des signes. Pour le dire autrement un signe suffisant ne peut ĂȘtre un signe de Dieu ; un signe de Dieu ne peut ĂȘtre qu’insuffisant. » Cela tient, explique le philosophe, Ă  notre incrĂ©dulitĂ© moderne devant les Ă©vĂšnements extra-ordinaires nous penserons toujours qu’une explication naturelle existe et au fait qu’aucun signe ne peut rendre compte de ce que nous nous figurons ĂȘtre Dieu un ĂȘtre tout-puissant et infiniment bon, immatĂ©riel, sans propriĂ©tĂ©s sensibles, sans contours visibles, lĂ  oĂč le signe ne peut ĂȘtre que sensible, matĂ©riel, fini. Pour le croyant et le chrĂ©tien en particulier, cela ne signifie pas, cependant, qu’il n’existe aucun signe possible de l’existence de Dieu. PhilarĂȘte affirme au contraire D’abord, il se trouve que Dieu a bel et bien parlĂ© d’une voix humaine. Qu’il s’est trouvĂ© des hommes pour parler littĂ©ralement au nom de Dieu », porteurs d’un discours Ă©manant d’une source qui les dĂ©passait Dieu, comme le confessent les chrĂ©tiens dans le Credo, a parlĂ© par les prophĂštes ». Plus encore, en ces temps qui sont les derniers », comme dit solennellement l’épĂźtre aux HĂ©breux, Il nous a parlĂ© par son Fils ». Une voix humaine, un jour, a dit moi qui te parle, je suis Dieu », et pour une fois, cette parole Ă©tait crĂ©dible. Non pas parce que quelqu’un l’a prononcĂ©e – c’est la formule des imposteurs – mais parce que celui qui l’a dite a donnĂ© des indices probants qu’il disait vrai. Pas des preuves, certes, mais des signes nombreux et convergents, dont les plus considĂ©rables n’étaient pas de l’ordre des prodiges ou des cataclysmes, mais d’un ordre tout autre – des signes d’un amour infini. » [1] Fabrice Hadjadj, La foi des dĂ©mons ou l’athĂ©isme dĂ©passĂ©, 2009.
Leçon157. Dieu, la raison et l’existence . Dans le cadre de l’interprĂ©tation finaliste de la Nature, pour Aristote, rien de ce qui existe indĂ©pendamment de la puissance de l’homme ne peut ĂȘtre alĂ©atoire.« La Nature ne fait rien en vain». Si une chose existe, ce n’est certainement pas par le seul effet du hasard.Chaque chose est Ă  sa place et existe conformĂ©ment Ă  sa nature.
1 Voila est ce que le hasard existe en islam? Je ne parle pas des jeux d'hasard mais la vie en general. Le hasard existe t-il vraiment? Merci 2 Voila est ce que le hasard existe en islam? Je ne parle pas des jeux d'hasard mais la vie en general. Le hasard existe t-il vraiment? Merci Salam Le hazard n existe pas en Islam, tout ce qui arrive , arrive par la volontĂ©e d Allah, sinon a quoi servirai Dieu ? 3 Salam Le hazard n existe pas en Islam, tout ce qui arrive , arrive par la volontĂ©e d Allah, sinon a quoi servirai Dieu ? Comment appel tu la conjugaison des milliards de libres arbitres humains ? 4 Comment appel tu la conjugaison des milliards de libres arbitres humains ? Le Libre arbitre c'est une interprĂ©tation humaine de ce qu'il ne sait pas Ă  l'avance, dieu par contre le sait. 5 Salam Le hazard n existe pas en Islam, tout ce qui arrive , arrive par la volontĂ©e d Allah, sinon a quoi servirai Dieu ? Ok donc tout ce qui arrive arrive par la volontĂ© d'allah c'est bien sa? Mais il n'y a pas de libre arbitre alors non? 6 Comment appel tu la conjugaison des milliards de libres arbitres humains ? Tu marches et tu te fais percuter par une voiture, l enquete definira toujours une cause anormal dans ce phenomene. il n y a jamais, jamais, jamais une chose due au hazard, ce ne sont que des effets papillions d autres evenements precedents 7 Salam Le hazard n existe pas en Islam, tout ce qui arrive , arrive par la volontĂ©e d Allah, sinon a quoi servirai Dieu ? A juger? Car s'il juge ce qui n'est advenu que de part sa volontĂ©, qui juge-t-il? Nous? Ou alors lui-mĂȘme puisque nous avons agi selon sa volontĂ©...? 8 Voila est ce que le hasard existe en islam? Je ne parle pas des jeux d'hasard mais la vie en general. Le hasard existe t-il vraiment? Merci Le hasard est une donnĂ©e un peu paradoxale.. Ou bien on choisit de se placer dans la soumission absolue, et on vit sa vie comme une fatalitĂ©, dans le fatalisme et le maktoub.. Ou bien on se dit que notre destin nous offre plusieurs voies diffĂ©rentes, avec son libre arbitre, en mesurant les consĂ©quences induites par cette dĂ©cision... rien n'arrive par hasard et on te dit que ça n'existe pas dans l'islam...si Dieu nous a donnĂ© la pensĂ©e, et une intelligence, c'est pour s'en servir, donc la notion du hazard s'oppose Ă  l'islam... 9 A juger? Car s'il juge ce qui n'est advenu que de part sa volontĂ©, qui juge-t-il? Nous? Ou alors lui-mĂȘme puisque nous avons agi selon sa volontĂ©...? Si tu arrives a lever tes deux pieds et a rester en l air 30 secondes je croierai au hazard, ce n est pas le cas rassure moi ? pour moi le hazard si il exitait serait une force qui serait superieur a celle de Dieu, car cette force interfererait dans le programme de Dieu, donc Dieu serait victime de cela 10 A juger? Car s'il juge ce qui n'est advenu que de part sa volontĂ©, qui juge-t-il? Nous? Ou alors lui-mĂȘme puisque nous avons agi selon sa volontĂ©...? Dieu nous a laissĂ© le libre arbitre quoi que il yab beaucoup de choses ecrites concernant la destinee de chacun de nous et c'est subsequemment aux choix que nous faisons que nous allons ĂȘtre juges .Telle est la volontĂ© de dieu et personne ne la changera ni creature humaine demoniaque , bestiale ou celeste .pour faire court dieu est juste et ne s'amusera pas Ă  faire rentrer de bons croyants Ă  l'enfer 11 Si tu arrives a lever tes deux pieds et a rester en l air 30 secondes je croierai au hazard, ce n est pas le cas rassure moi ? pour moi le hazard si il exitait serait une force qui serait superieur a celle de Dieu, car cette force interfererait dans le programme de Dieu, donc Dieu serait victime de cela Le hasard, ce n'est pas aller Ă  l'encontre des lois de la physique. Je reste avec au moins un pied au sol parce que je n'ai pas le choix. Mais dĂšs le moment que je peux choisir ce que suppose le libre arbitre, mon choix n'est pas censĂ© ĂȘtre dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ© par dieu, sinon ce n'est plus un choix. Alors de deux chose l'une je choisi et je peux Ă©ventuellement rĂ©pondre de ce choix si je suis jugĂ©, ou alors je n'ai fait mĂȘme sans le savoir que ce que dieu avait dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ© pour moi, et alors il ne peut dĂ©cemment pas me juger responsable... Pour mes 30 secondes en l'air, je te rassure, je n'ai jamais dĂ©passĂ© 29... centiĂšmes! 12 Le Libre arbitre c'est une interprĂ©tation humaine de ce qu'il ne sait pas Ă  l'avance, dieu par contre le sait. si il connait a l'avance tous , pourquoi perdre du temps avec le jugement dernier ? 13 Dieu nous a laissĂ© le libre arbitre quoi que il yab beaucoup de choses ecrites concernant la destinee de chacun de nous et c'est subsequemment aux choix que nous faisons que nous allons ĂȘtre juges .Telle est la volontĂ© de dieu et personne ne la changera ni creature humaine demoniaque , bestiale ou celeste .pour faire court dieu est juste et ne s'amusera pas Ă  faire rentrer de bons croyants Ă  l'enfer Donc ce n'est pas dieu qui dĂ©cide de mes choix, c'est ça? 14 si il connait a l'avance tous , pourquoi perdre du temps avec le jugement dernier ? Je me suis toujours posĂ© cette question. Mettons un terme Ă  tout cela, et que ceux qui ne sont mĂȘme pas encore nĂ©s soient jugĂ©s, puisque dieu sait les bĂȘtises qu'ils font-feront-ont fait on ne sait plus trop ce qui est passĂ© prĂ©sent et futur dans tout ça 15 Tu marches et tu te fais percuter par une voiture, l enquete definira toujours une cause anormal dans ce phenomene. il n y a jamais, jamais, jamais une chose due au hazard, ce ne sont que des effets papillions d autres evenements precedents Mais justement le hasard c’est le mot pour parler de l’effet papillon 16 si il connait a l'avance tous , pourquoi perdre du temps avec le jugement dernier ? Completement d'accord 17 Je me suis toujours posĂ© cette question. Mettons un terme Ă  tout cela, et que ceux qui ne sont mĂȘme pas encore nĂ©s soient jugĂ©s, puisque dieu sait les bĂȘtises qu'ils font-feront-ont fait on ne sait plus trop ce qui est passĂ© prĂ©sent et futur dans tout ça on est devant le summum de l'absurditĂ© et de la contradiction 18 Le hasard, ce n'est pas aller Ă  l'encontre des lois de la physique. Je reste avec au moins un pied au sol parce que je n'ai pas le choix. Mais dĂšs le moment que je peux choisir ce que suppose le libre arbitre, mon choix n'est pas censĂ© ĂȘtre dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ© par dieu, sinon ce n'est plus un choix. Alors de deux chose l'une je choisi et je peux Ă©ventuellement rĂ©pondre de ce choix si je suis jugĂ©, ou alors je n'ai fait mĂȘme sans le savoir que ce que dieu avait dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ© pour moi, et alors il ne peut dĂ©cemment pas me juger responsable... Pour mes 30 secondes en l'air, je te rassure, je n'ai jamais dĂ©passĂ© 29... centiĂšmes! Justement, c ets pour cela que le hazard n a rien a voir avec le libre arbitre, j explique, admettons que tu arrive a un enbranchement, tu te dis je prend la voie de droite et hop tu tombe sur un ami que tu voulais voir justement ! Admettons que tu aurait pris la voie de gauche et hop tu serait tomber sur ce meme ami que tu voulais voir !!! ou est le hazard ? le hazard ne peut pas decider de mettre ton ami devant toi, sinon le hazard serait une entitĂ© intelligente et dans certains cas, elle ferait de sale blagues ! 19 Justement, c ets pour cela que le hazard n a rien a voir avec le libre arbitre, j explique, admettons que tu arrive a un enbranchement, tu te dis je prend la voie de droite et hop tu tombe sur un ami que tu voulais voir justement ! Admettons que tu aurait pris la voie de gauche et hop tu serait tomber sur ce meme ami que tu voulais voir !!! Comment sais-tu que je serais aussi tombĂ© sur ce mĂȘme ami en prenant Ă  gauche? Sachant que dans un cas il viendrait de chez lui, dans l'autre cas il viendrais de la ville... Il faut vite changer son passĂ© si je change d'avis... HeraleS Ă  dit ou est le hazard ? le hazard ne peut pas decider de mettre ton ami devant toi, sinon le hazard serait une entitĂ© intelligente et dans certains cas, elle ferait de sale blagues ! Le hasard ne "dĂ©cide" rien. Il arrive ce qui arrive. Et j'aurais donc trĂšs bien pu "manquer" mon ami... 20 Donc ce n'est pas dieu qui dĂ©cide de mes choix, c'est ça? non mais il attend ce que tu vasc choisir 21 Comment sais-tu que je serais aussi tombĂ© sur ce mĂȘme ami en prenant Ă  gauche? Sachant que dans un cas il viendrait de chez lui, dans l'autre cas il viendrais de la ville... Il faut vite changer son passĂ© si je change d'avis... Le hasard ne "dĂ©cide" rien. Il arrive ce qui arrive. Et j'aurais donc trĂšs bien pu "manquer" mon ami... Mdrr bah oui, lol, mais tu aurais manquer ton ami parceque tu serait soit en retard, soit en avance, donc chaque a chaque cause sa consequence 22 si il connait a l'avance tous , pourquoi perdre du temps avec le jugement dernier ? telle est sa volontĂ© on peut rien mais c'est ainsi que dieu a faconnĂ© le monde et a voulu etre juste dans ses jugements 23 telle est sa volontĂ© on peut rien mais c'est ainsi que dieu a faconnĂ© le monde et a voulu etre juste dans ses jugements A moins que le mĂ©li-mĂ©lo entre libre arbitre choix des hommes et prĂ©dĂ©termination dĂ©termination de tout par dieu ne soit que la consĂ©quence des erreurs des hommes Ă  vouloir attribuer Ă  dieu plus qu'il ne faut? Un savant va parfois trop loin, ça arrive. 24 Voila est ce que le hasard existe en islam? Je ne parle pas des jeux d'hasard mais la vie en general. Le hasard existe t-il vraiment? Merci Dans la vision de l'ĂȘtre humain, bien des Ă©vĂšnements semblent contingents. Le monde lui-mĂȘme est-il contingent ? On est un peu Ă  l'affrontement de deux philosophies distinctes l'essentialisme et l'existentialisme. Dans la premiĂšre, l'essence prĂ©cĂšde l'existence, et la contingence a sa place. Dans la seconde, l'existence prĂ©cĂšde l'essence je suis plutĂŽt de cet avis-lĂ , tout comme Heidegger et Sartre. Tout comme ces auteurs, je prĂ©fĂšre ne pas trop m'avancer sur la contingence et me contenter d'admettre que l'ĂȘtre est, tout simplement. Descartes Ă©tait du premier avis, quant Ă  lui. 25 dieu est tout puissant ca c'est irrefutable seulement les gens ne comprennent pas que dieu est juste et ne jettera jamais quelqu'un en enfer s'il fait de bonnes actions .Il sait tout oui mais n'intervient pas pourque l'on soit responsable de nos choix voilĂ  26 Dans la vision de l'ĂȘtre humain, bien des Ă©vĂšnements semblent contingents. Le monde lui-mĂȘme est-il contingent ? On est un peu Ă  l'affrontement de deux philosophies distinctes l'essentialisme et l'existentialisme. Dans la premiĂšre, l'essence prĂ©cĂšde l'existence, et la contingence a sa place. Dans la seconde, l'existence prĂ©cĂšde l'essence je suis plutĂŽt de cet avis-lĂ , tout comme Heidegger et Sartre. Tout comme ces auteurs, je prĂ©fĂšre ne pas trop m'avancer sur la contingence et me contenter d'admettre que l'ĂȘtre est, tout simplement. Descartes Ă©tait du premier avis, quant Ă  lui. vous avez relevĂ© lĂ  une polemique interessante vous nous parlez de l'existentialisme athee chez sartre regardez celui de kierkegarrd qui est plein de foi juste Ă  mediter 27 dieu est tout puissant ca c'est irrefutable Admettons. Certains en doutent. Mais comme je dis, admettons. altruiste Ă  dit seulement les gens ne comprennent pas que dieu est juste et ne jettera jamais quelqu'un en enfer s'il fait de bonnes actions . Encore faut-il que ces bonnes actions soient de la volontĂ© de cette personne. Donc fruit de ses choix, de son libre arbitre. altruiste Ă  dit Il sait tout oui mais n'intervient pas pourque l'on soit responsable de nos choix voilĂ  Donc, cela revient Ă  dire que ce n'est pas dieu qui dĂ©cide de ce qu'on va faire. Mais il est censĂ© savoir d'avance ce que l'on va faire, donc ce qu'on va faire est dĂ©jĂ  "Ă©crit". A quoi sert donc cette masacrade de vie aprĂšs laquelle nous serons jugĂ©s, si dieu sait dĂ©jĂ  quel sera le jugement? Il n'a qu'Ă  juger sur ce qui est dĂ©jĂ  Ă©crit... 28 vous avez relevĂ© lĂ  une polemique interessante vous nous parlez de l'existentialisme athee chez sartre regardez celui de kierkegarrd qui est plein de foi juste Ă  mediter Son nom a Ă©tĂ© citĂ© quelques fois dans mes cours de philo sur la thĂ©orie de la connaissance. A vrai dire, on avait plutĂŽt travaillĂ© sur du Husserl et Heidegger, mais je m'y intĂ©resserai par curiositĂ©. Merci Ă  vous ! 29 Admettons. Certains en doutent. Mais comme je dis, admettons. Encore faut-il que ces bonnes actions soient de la volontĂ© de cette personne. Donc fruit de ses choix, de son libre arbitre. Donc, cela revient Ă  dire que ce n'est pas dieu qui dĂ©cide de ce qu'on va faire. Mais il est censĂ© savoir d'avance ce que l'on va faire, donc ce qu'on va faire est dĂ©jĂ  "Ă©crit". A quoi sert donc cette masacrade de vie aprĂšs laquelle nous serons jugĂ©s, si dieu sait dĂ©jĂ  quel sera le jugement? Il n'a qu'Ă  juger sur ce qui est dĂ©jĂ  Ă©crit... ce n'est pas une mascarade ce qui est ecrit c'est tu naĂźtras chez telle famille , ton empploi , ta femme , est ce que tu seras sterile ou pas le jour de ton mariage , le rouge de ta mort c'est c super ecrit mais ce qui n'est pas ecrit c'est ce que toi tu feras libre arbitre et sur lequel tu vas ĂȘtre juge exemple tu es devant une femme mariee qui te fait des avances tu as le choix soit la fornication et c'est un point negatif que tu recoltes soit tu t'abstiens et tu recoltes 10 points c'est toujours 10 bonnes actions contre une seule mauvaise action dans un seul acte c'est juste un exemple pour illustrer yen a d'autres quelqu'un qui veut se bagarrer avec toi tu le frappes iu tu le tues ou restes stoiques tout celĂ  depend de toi voilĂ  monsieur godless 30 ce n'est pas une mascarade ce qui est ecrit c'est tu naĂźtras chez telle famille , ton empploi , ta femme , est ce que tu seras sterile ou pas le jour de ton mariage , le rouge de ta mort c'est c super ecrit mais ce qui n'est pas ecrit c'est ce que toi tu feras libre arbitre et sur lequel tu vas ĂȘtre juge exemple tu es devant une femme mariee qui te fait des avances tu as le choix soit la fornication et c'est un point negatif que tu recoltes soit tu t'abstiens et tu recoltes 10 points c'est toujours 10 bonnes actions contre une seule mauvaise action dans un seul acte c'est juste un exemple pour illustrer yen a d'autres quelqu'un qui veut se bagarrer avec toi tu le frappes iu tu le tues ou restes stoiques tout celĂ  depend de toi voilĂ  monsieur godless Si mon emploi, ma femme, c'est Ă©crit, je ne peux pas les choisir? Le jour de mon mariage, je ne peux pas le choisir? Ca fait pourtant partie "de ce que je ferai", donc censĂ© aussi dĂ©pendre de mon libre arbitre... Non? Je doute que dieu compte par points de bonus et points de malus. C'est rabaisser dieu au niveau d'un vulgaire petit comptable je n'ai rien contre les comptables!!! . C'est bien plus valorisant de lire dans les coeurs. Dieu faisant de petits comptes d'apoticaire, vraiment, c'est trĂšs humain comme vision... 31 Mdrr bah oui, lol, mais tu aurais manquer ton ami parceque tu serait soit en retard, soit en avance, donc chaque a chaque cause sa consequence Herales, une question peut-ĂȘtre indiscrĂšte, as-tu Ă©tĂ© sanctionnĂ© pour ne pas participer Ă  un autre forum que "le forum Islam" ? Personnellement, je ne crois pas t'avoir vu assister Ă  une discussion sur un autre forum 32 ca lui plaĂźt c'est bien je l'encourage a continuer 33 telle est sa volontĂ© on peut rien mais c'est ainsi que dieu a faconnĂ© le monde et a voulu etre juste dans ses jugements C’est juste de crĂ©er des hommes et des femmes souvent faible , de crĂ©er le diable pour les dĂ©tourner du droit chemin , de leurs faire croire qu’ils ont le choix alors que leurs sentences est dĂ©jĂ  prĂȘte , de les faire jouer a un jeu auquel ils n’ont jamais demandĂ© a participer , d’envoyer des maladies et des catastrophes pour les faire souffrir ?????? On a pas la mĂȘme notion de la justice 34 Herales, une question peut-ĂȘtre indiscrĂšte, as-tu Ă©tĂ© sanctionnĂ© pour ne pas participer Ă  un autre forum que "le forum Islam" ? Personnellement, je ne crois pas t'avoir vu assister Ă  une discussion sur un autre forum Sisi, j ai deja discuter sur d autres section de ce forum, j ai meme des amis lol, pas beaucoup mais j en ai 35 Sisi, j ai deja discuter sur d autres section de ce forum, j ai meme des amis lol, pas beaucoup mais j en ai Il vaut mieux avoir plus d'amis que d'ennemis. Je ne m'inquiĂšte pas pour toi, vu les discussions engagĂ©es, tu ne peux qu'avoir de bons amis. Personnellement, que ce soit toi oĂč d'autres bladinautes de ce forum islam, je trouve trĂšs enrichissant la plupart des posts qui sont postĂ©s sur ce forum
Maisça n’existe pas. Le hasard, notion absurde, a Ă©tĂ© inventĂ© par des scientifiques matĂ©rialistes, calcifiĂ©s dans le monde infĂ©cond de la raison pure. Tout ce qui est pur est imbuvable, disait Paul Claudel. Je note que vis-Ă -vis de sa sƓur Camille, le petit Paul s’est comportĂ© comme un pur crĂ©tin. Du coup, sa prose est imbuvable. Sur un sceau dĂ©couvert Ă  Un sacrĂ© permet d’imposer un absolu qui s’applique Ă  tous, nantis comme dĂ©munis, bien que dans ce dernier cas les intĂ©rĂȘts sont souvent opposĂ©s. OĂč le trouver ? Un ĂȘtre infini est souvent prĂ©sentĂ© comme capable des plus extraordinaires miracles transformer l’eau en vin, frapper des rochers pour obtenir de l’eau, ressusciter des morts, guĂ©rir un paralytique
 Ces exploits permettent Ă  n’en pas douter d’attirer Ă  soi de nombreux croyants. Mais le sacrĂ© est ailleurs c’est l’Amour qui est la valeur suprĂȘme et les aspects miraculeux ne sont lĂ  que pour impressionner les chalands. L’Amour place les autres aspects du quotidien au second rang, mais c’est malheureusement un idĂ©al difficile Ă  approcher mĂȘme au sein d’un couple, irrĂ©alisable Ă  l’échelle d’une sociĂ©tĂ©. L’existence de Dieu est questionnĂ©, pas son utilitĂ© dĂ©finir un Mal et un Bien permet de prendre des dĂ©cisions claires d’autant plus utiles qu’elles sont binaires. Il est difficile de vouloir remplacer l’Amour comme sacrĂ© indĂ©passable. Une devise comme LibertĂ©, ÉgalitĂ©, FraternitĂ© » comporte trois notions antagonistes prises isolĂ©ment. L’égalitĂ© empiĂšte forcĂ©ment sur la libertĂ© ; la fraternitĂ©, une forme dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e de l’amour, cohabite difficilement avec les deux autres. L’Amour englobe les trois volets et rend le tout encore plus inaccessible. Dieu-Amour Ă©tant supposĂ© mort, des autocrates tentĂšrent de le remplacer dans les esprits dans le mĂȘme objectif imposer la cohĂ©rence d’une multitude d’ĂȘtres uniques. Ils furent terrassĂ©s par les tenants d’une vertu Ă©mergente, la DĂ©mocratie. Le caractĂšre sacrĂ© d’une dĂ©mocratie se manifeste pour l’essentiel par la tenue d’élections dans lesquelles le peuple peut exprimer ses choix en nommant des reprĂ©sentants. En France, les Ă©lecteurs entre 25 et 34 ans, comme les ouvriers de tous Ăąges, s’abstinrent Ă  65% lors d’une votation rĂ©cente. Plus gĂ©nĂ©ralement, plus les revenus des Ă©lecteurs sont faibles, moins les gens se dĂ©placent pour voter. Aux USA, environ 100 millions d'AmĂ©ricains ont choisi de ne pas choisir en les deux candidats proposĂ©s, soit quasiment un Ă©lecteur sur deux. La sociologie des abstentionnistes est la mĂȘme qu’en France plus on baisse en Ăąge, en niveau de revenu, en niveau de diplĂŽme, plus on s'abstient. Au Japon, aux Ă©lections lĂ©gislatives, la participation n’a guĂšre concernĂ© qu’un Ă©lecteur sur deux. On retrouve lĂ  encore un fort dĂ©sintĂ©rĂȘt des jeunes pour les Ă©lections mais aussi une dĂ©fiance des Ă©lecteurs envers la politique. Le sacrĂ© n’existe que si l’on y croit, et Ă  cet Ă©gard les dĂ©mocraties Ă©lectorales, partout dans le monde, ne sont pas ou plus considĂ©rĂ©es comme sacrĂ©es et n’offrent donc plus ce cadre indĂ©passable que tous doivent respecter, les riches comme les pauvres, en particulier. La sĂ©cularisation de Dieu ne fonctionne pas les gens prĂ©fĂšrent leurs intĂ©rĂȘts Ă  l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Les pays les plus religieux ont gĂ©nĂ©ralement le plus petit revenu national Ghana, Nigeria, Roumanie, Kenya, Afghanistan
 Les moins religieux sont gĂ©nĂ©ralement les plus aisĂ©s, par exemple la France, le Japon, la SuĂšde, l'Allemagne ou les Pays-Bas. C’est la satiĂ©tĂ© qui tue le Dieu-Amour bien mieux que les philosophes, les libres penseurs, les idĂ©ologues ou les Hommes politiques. C’est cette mĂȘme satiĂ©tĂ© qui fait que la dĂ©mocratie s’évanouisse comme tout autre valeur collective dans les pays repus. Dieu n’est indispensable qu’à ceux qui n’ont rien car il leur fournit la seule chose dont ils ne peuvent pas se passer l’espoir d’un ailleurs sur terre ou autre part. Les dĂ©mocraties Ă©lectoralistes ne fournissent plus l’espoir que l’existence de chacun a un sens, une utilitĂ© quelconque. Les strates sociales nantis qui croient avoir compris que le paradis c’est maintenant et ici bas ne partagent pas grand-chose de matĂ©riel avec les plus dĂ©munis mais sont cependant de fervents gardiens des rites religieux qui incarnent l’autoritĂ©, leur autoritĂ©. La DĂ©claration universelle des droits de l'homme devrait servir de cadre moral Ă  toute action ou agissement. Elle ne fait appel Ă  aucune valeur transcendante mais constate que le mĂ©pris des droits de l'homme conduit Ă  des actes de barbarie qui rĂ©voltent la conscience de l'humanitĂ©. Par habiletĂ© plus que par conviction, tous ou presque adhĂ©rent verbalement Ă  ces principes quelques un les appliquent, certains autres les utilisent au contraire comme une arme de combat, mais personne n’y voit un impĂ©ratif absolu. Une civilisation sans sacrĂ© ne peut que mourir, non pas que le sacrĂ© indique la bonne direction mais parce qu’il indique une direction que personne ne conteste. Dieu, la RĂ©publique, la DĂ©mocratie, les Droits de l’Homme ne fascinent plus les foules en proie Ă  maints problĂšmes existentiels. L’Amour et ses succĂ©danĂ©s moins ambitieux n’étant plus de mise, il est nĂ©cessaire de convaincre autrement que par l’exemple pour obtenir un ordre qui doit ĂȘtre planĂ©taire. Des sacrifices s’imposent changements de mode de vie, rationnements des sociĂ©tĂ©s de consommation, transitions Ă©nergĂ©tique, Ă©conomique, sociĂ©tale sont Ă  l’ordre du jour. La rĂ©volution numĂ©rique comporte divers volets de hauteurs rĂ©volutionnaires inĂ©gales. Cependant, la possibilitĂ© de stocker et de traiter d’immenses bases de donnĂ©es recueillies Ă  chaque instant sur tout individu, tout groupe, toute entreprise au sein d’une sociĂ©tĂ© hautement connectĂ©e reprĂ©sente une avancĂ©e considĂ©rable pour Ă©tablir un rĂ©gime totalitaire idĂ©al et inĂ©dit par ses performances. Les mĂ©ga-donnĂ©es Big Data une fois traitĂ©es par des algorithmes adaptĂ©s fournissent des mines de renseignements sur la vie professionnelle, privĂ©e, intime, sur les opinions, les tendances, l’état de santĂ© d’un individu donnĂ© ou d’un groupe d’individus. Les possibilitĂ©s techniques actuelles permettent d’ores et dĂ©jĂ  d’aller plus loin et de prendre des dĂ©cisions sans intervention humaine. Une intelligence artificielle capable d’auto-apprentissage puisant dans une immense base de donnĂ©es tout ce qui lui est nĂ©cessaire pour dĂ©terminer un profil d’un homme, d’une famille, d’une communautĂ© lui permet de prendre toute dĂ©cision souhaitable le sacrĂ© est nĂ©, aussi inaccessible et beaucoup plus fiable que celui qui hantait les cieux avant lui. Le degrĂ© d’incomprĂ©hension des mĂ©thodes utilisĂ©es est tellement profond, les rĂ©sultats obtenus sont tellement Ă©tonnants qu’il est possible de parler de miracles l’algorithme devient surnaturel. La Raison ne permettant plus de trouver des solutions pour vivre dans le rĂ©el, il faudra vivre dans un monde virtuel forgĂ© par un ordinateur. Pour leur salut, tous et toutes s’en remettront au Dieu-Googol, celui qui rĂšgne sur les corps comme sur les 10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 esprits.
Romains8, 28. Le hasard n'existe pas. Le hasard, la chance, voilà des mots qui recouvrent bien l'ignorance humaine et qui traduisent, de façon consciente ou non, le refus d'admettre l'intervention de Dieu dans la vie de tous les jours. Attribuer tel événement heureux à un simple concours de circonstances revient, concrÚtement à ne pas y
Pourquoi cela m’est arrivĂ© ? C’est une question que tout le monde se pose lorsqu’on fait face Ă  des circonstances dĂ©sagrĂ©ables. Pourquoi ? Pourquoi cela m’arrive ? Pourquoi des accidents surviennent ? Pourquoi on vous dĂ©couvre une maladie grave ? Pourquoi vous perdez votre emploi ? Pourquoi votre business ne fonctionne plus ? Certains y voient un moyen qu’utilise Dieu pour vous mettre Ă  l’épreuve
 Pire, d’autres y voient une punition de Dieu . Le Dieu d’Amour serait-il rĂ©duit » Ă  cela ? En rĂ©alitĂ© le hasard n’existe pas Si le hasard n’existe pas, quelle est la cause de ce qui m’arrive ? En rĂ©alitĂ© lorsqu’on pose cette question, Pourquoi cela m’est arrivĂ© ? » on cherche une cause. Rien n’arrive par hasard. Il y a toujours une cause. C’est ce que de nombreuses personnes nomment la loi de cause Ă  effet. La cause de tout Ă©vĂšnement fĂącheux rĂ©side en nous-mĂȘme. Oui, je sais c’est dur Ă  entendre et encore plus difficile Ă  admettre. Nos pensĂ©es nĂ©gatives, nos craintes, nos peurs, tout cela va crĂ©er des circonstances dĂ©favorables dans notre vie. Parfois, on est obnubilĂ© par la recherche la cause. MĂȘme si cela peut ĂȘtre intĂ©ressant cela n’est pas particuliĂšrement utile. Ce qui est important c’est de comprendre le fonctionnement et de ne plus le subir. L’histoire de la flĂšche Cela me fait penser Ă  une histoire bouddhiste. Celle de la flĂšche. Un homme est frappĂ© d’une flĂšche empoisonnĂ©e ; son entourage appelle un mĂ©decin pour extraire la flĂšche et appliquer un remĂšde. Le blessĂ© dit alors au mĂ©decin Je ne permets pas que tu extraies la flĂšche avant que je sache quel est ton clan, ton nom, ta famille, ton village, tes pĂšre et mĂšre et ton Ăąge. Je veux savoir de quelle montagne provient la flĂšche, quelle est la nature de son bois et de ses plumes, qui a fabriquĂ© la pointe de la flĂšche, et quel en est le fer ; ensuite je veux savoir si l’arc est en bois de la montagne ou en corne d’animal ; enfin je veux savoir d’oĂč provient le remĂšde et quel est son nom. AprĂšs que j’aurai appris toutes ces choses, je te permettrai d’extraire la flĂšche et d’appliquer le remĂšde. » Pensez-vous que cet homme pourra connaĂźtre toutes ces choses avant que le poison de la flĂšche est fait son effet ? Bien sĂ»r que non ! Ne soyez pas comme cette homme, le plus important c’est de connaĂźtre le chemin qui mĂȘme Ă  la victoire sur la douleur, et non pas ses origines ou ses symptĂŽmes. Ne perdez pas trop de temps Ă  chercher la cause. L’effet est arrivĂ© d’une cause du passĂ©. Et le passĂ© est passĂ© !! La vie est faite pour qu’on la vive. Nous sommes sur terre pour nous dĂ©velopper, pour grandir. Il nous est arrivĂ© quelque chose de dĂ©sagrĂ©able , Et alors ? Peut-on y faire quelque chose ?Peut-on revenir sur le passĂ© ? Non. Alors tournons-nous vers l’endroit oĂč nous allons passer le reste de notre vie L’avenir. Faites le silence intĂ©rieur et Ă©coutez L’Univers, la Force suprĂȘme, Le grand architecte, l’Energie, Dieu encore une fois donnez-lui le nom que vous voulez cherche Ă  nous faire rĂ©aliser ce qui est bon pour notre vie. Mais attention, il ne fera rien POUR nous, il fera A TRAVERS nous. Nous devons ĂȘtre Ă  son Ă©coute. Comment faire ? Faites le silence intĂ©rieur. ArrĂȘtez de courir dans tous les sens aprĂšs je ne sais quelle chimĂšre. Posez-vous, respirez, concentrez-vous sur l’air qui entre et qui sort de vos narines et Ă©coutez. Il n’y a pas de prĂ©destination ou de destin car nous avons toujours le libre arbitre de nos choix. Personne ne nous oblige Ă  avoir des pensĂ©es nĂ©gatives, des peurs, des craintes, de la haine, de la rancune ou de la jalousie. Nous pouvons choisir la bontĂ©, la gentillesse, l’altruisme, les pensĂ©es positives, la joie, le rire, le pardon et bien sĂ»r, le plus puissant l’Amour. N’accusez donc personne de ce qui vous arrive. De par votre façon de penser vous l’avez attirĂ©. Ne culpabilisez pas, ce n’est pas grave. Maintenant vous connaissez le bon chemin, il suffit de le prendre. La loi de l’Univers trouvera toujours la solution la mieux adaptĂ©e Ă  votre situation, soyez en certain. LĂąchez prise, soyez confiant en l’avenir et bien sĂ»r, soyez toujours positif. Et maintenantPour vous aider, je vous propose mon livre CONFIANCE EN SOI ET SECURITE FINANCIERESachez que vous ne concrĂ©tiserez pas votre rĂȘve par hasard, mais en appliquant des stratĂ©gies prĂ©cises. C'est gratuit pour l'instant. Profitez-en avant que je change d'avis...
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