Pourquoi et comment certains animaux ralentissent leur métabolisme pendant l'hiver. En cette période chargée en événements, j'ai choisi d'aborder un thème plus léger qui j'espère vous plaira et vous apportera quelques sourires. Avant de vous endormir comme une petite marmotte, vous découvrirez que l'hibernation se prépare, que le choix du nid douillet a une importance et que c'est une réelle méthode de survie pour faire face à la rigueur de l'hiver ! Les différentes espèces et l'hiver Quand arrive la saison froide, certains oiseaux migrent vers des régions plus clémentes tandis que d’autres troquent leur léger plumage d’été contre un duvet douillet. Les loups, les renards ou les lièvres s’adaptent à la saison grâce à leur fourrure qui s’épaissit. Mais d’autres animaux préfèrent dormir jusqu’au printemps ils hibernent. Ces réactions sont le fruit de l’évolution et sont inscrites dans l'horloge biologique de chaque animal. L’hibernation concerne principalement les animaux à sang froid incluant les salamandres et les grenouilles, les chauves-souris et les petits mammifères, et principalement des rongeurs tels que les marmottes ou des insectivores comme les hérissons qui ne produisent pas suffisamment de chaleur pour surmonter l’hiver. D’où viennent les expressions dormir comme une marmotte ou comme un loir ? Plusieurs expressions comme dormir comme une marmotte ou dormir comme un loir remontent au tout début du Moyen-Age. C’est en effet à cette époque que l’on a commencé à s’intéresser au comportement des animaux. On découvre alors que la marmotte et le loir sont des rongeurs qui hibernent pendant 5 à 7 mois de l’année. Les loirs passent la plus grande partie de la journée à dormir. Les loirs vivent essentiellement la nuit et on les voit peu pendant la journée. Avant d’entrer en hibernation, les loirs accumulent de grandes quantités de nourriture essentiellement composée de glands, de noisettes, de châtaignes et de faînes. Bons grimpeurs, ils installent leurs quartiers d’hiver dans de grands arbres creux, une fissure de rocher ou dans un nid abandonné qu’ils couvrent d’un toit. Ils peuvent aussi passer la saison froide dans un nichoir installé par l’homme. Dès que la température descend aux alentours de dix degrés, les loirs hibernent en groupe. Les pattes repliées, la queue par-dessus le corps, ils dorment serrés les uns contre les autres. Ils ne se réveillent qu’au mois d’avril pour se jeter immédiatement sur leurs provisions. La marmotte a le sommeil le plus long. La marmotte des Alpes vit dans les régions montagneuses d’Europe. Avec une durée de 7 à 8 mois elle a la période d’hibernation la plus longue. Pendant la courte période de l’été elle se nourrit de plantes avec une préférence pour les fleurs. Dès que le froid arrive, ce qui se produit très tôt dans les alpages, elle rejoint avec sa famille sa résidence d’hiver souterraine. Avant de commencer son hibernation, elle obstrue l’entrée de la galerie, à un ou deux mètres de son lieu de repos, avec un bouchon de terre et d’herbes mélangées. Tous les membres de la famille se blottissent ensuite les uns contre les autres, roulés en boule et tombent dans un profond sommeil ininterrompu dont elle ne sortira que 7 à 8 mois plus tard. Qu'est-ce que l'hibernation ? L’hibernation permet à certains animaux de survivre pendant la saison froide. Lorsque la froidure s’installe, ils se terrent dans leur terrier ou leur grotte et réduisent leur activité au maximum, vivant ainsi au ralenti pendant plusieurs entrent en hibernation, ces animaux ralentissent leur métabolisme jusqu’à un niveau très bas, abaissant graduellement la température de leur corps et le rythme de leur respiration. ils entrent dans un état de ralentissement général. Pendant la belle saison, alors que la nourriture est abondante, ils constituent des réserves de graisse qu’ils stockent sous leur peau. Les animaux qui hibernent peuvent ainsi passer jusqu’à six à huit mois dans une profonde léthargie. hiberner ou hiverner ? A la différence des animaux qui hibernent, ceux qui hivernent restent actifs pendant toute la saison hivernale. Ils doivent, eux aussi, accumuler des graisses pendant les périodes où la nourriture est abondante. Pour rester au chaud pendant l’hiver ils développent une fourrure plus épaisse ou un plumage plus dense. Ce sont des adaptations survivre aux rigueurs de la saison froide, certains animaux constituent également un garde-manger » à proximité de leur abri tandis que d’autres animaux vont modifier leur régime alimentaire. Ce sont des adaptations considère à tort l’ours comme un hibernant. Pour l’ours brun, on devrait parler de sommeil hivernal et non d’hibernation. Si ses fréquences cardiaques diminuent, contrairement aux véritables hibernant, sa température corporelle reste relativement stable et il peut se réveiller, voire même effectuer de courtes sorties à l’occasion de redoux qui lui permettent de se promener sur les sites ensoleillés exposés au sud. L’ours brun, dans les Pyrénées, sommeille souvent de mi-décembre à mi-avril. Pourquoi les animaux hibernent-ils et comment font-ils ? Les animaux hibernent pour conserver leur énergie pendant l’hiver lorsque la nourriture se fait rare. Cela leur permettrait d’économiser jusqu’à 85 % de l’énergie dont ils ont normalement besoin pour survivre. • Plusieurs semaines avant la période d’hibernation, les animaux constituent des réserves de différentes façons. D’abord, ils consomment davantage de nourriture et constituent ainsi des stocks essentiellement sous la forme de réserves de graisses sous la peau. En plus de cela, ils stockent également des quantités importantes de nourritures dans l’endroit où ils ont choisi de passer l’hiver. • Quand un animal se refroidit tout son métabolisme ralentit. La vitesse des processus physiologiques diminue la consommation d’oxygène est plus faible, les rythmes cardiaque et respiratoire sont plus lents. Une fois atteint le stade de torpeur, la consommation d’oxygène peut chuter de façon très importante et, dans certains cas, n’être qu’à peine perceptible. Dans le même temps, la fréquence cardiaque et la circulation sanguine subissent une forte baisse, similaire à celle d’une personne victime d’un arrêt cardiaque. • Ainsi, par exemple, les battements cardiaques de l’écureuil passent de 350 pulsations par minute à 10. Les grenouilles et les tortues réagissent différemment au froid elles s’enfouissent au fond d’un ruisseau ou sous un rocher, cessent de bouger et parfois même de respirer. Selon les espèces, la durée du sommeil est différente et peut parfois même être interrompue par des périodes d’ réveil printanier semble être déclenché par différents facteurs la hausse des températures, la durée de l’ensoleillement et, pour certains animaux, une reprise de l’activité sexuelle. Des ours noirs qui nous prédisent un hiver rigoureux ? Le comportement des ours noirs du parc de Thoiry semble indiquer qu’il fera très froid cet hiver. En effet, depuis la fin du mois d’octobre, ils se sont réfugiés dans leur tanière et cette dernière est beaucoup plus profonde que les autres années. L’année passée, seuls quelques ours avaient hiverné et l’hiver a été très doux. En 2010, il s’est produit exactement l’inverse et l’hiver a été particulièrement rigoureux. A suivre ! Hiberner pour aller sur Mars La Nasa prévoit d’envoyer les premiers astronautes sur Mars en 2023 et réfléchit à la façon d’organiser au mieux le voyage. Les chercheurs de l’agence spatiale envisagent sérieusement de faire entrer les voyageurs de l’espace en hibernation. Endormir » les astronautes pourrait être réalisable grâce à certains traitements qui ont fait leurs preuves en laboratoire tels que le DADLE D-Ala, D-Leu-enképhaline. Ce dernier a été testé sur des écureuils et les a fait entrer en hibernation en dehors de la saison habituelle. Les animaux se sont ensuite réveillés sans séquelle. Le DADLE est une molécule similaire à celle que l’on trouve dans le cerveau et qui déclenche l’hibernation chez certaines espèces. Mais cette molécule n’a pas encore été testée chez l’homme. Dans quelques semaines, ce sera l'hiver et les premiers flocons sont déjà arrivés... Allez-vous à votre tour hiverner ou hiberner ? •••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
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L’Alaska fut colonisée il y a au moins 5 000 ans, mais la Sibérie il y a plus de 10 000 ans. Ce sont des zones où la nuit polaire s’abat de longs mois. Comment vivaient les hommes autrefois ? Ils faisaient des trous dans la terre, recouverts de branchages et de feuilles. Les femmes, les enfants et les vieux se mettaient au fond du trou, vers le mois d’octobre ou novembre selon les régions. Ils attendaient que tout gèle autour d’eux et que la neige s’accumule. Et puis… l’attente commençait. Pendant des mois. Ils n’avaient pas les fourrures efficaces des Esquimaux, permettant de résister au gel et au blizzard. Hors de question donc de s’aventurer à l’extérieur. Cela n’aurait de toute façon servi à rien pour toute personne incapable de chasser. Seuls les hommes valides sortaient, pour essayer de trouver de la nourriture. Je vous laisse imaginer ce que les autres faisaient dans le trou, six mois durant comment ils calmaient les bébés… comment ils occupaient les enfants turbulents… comment ils géraient les adolescents en crise… comment ils luttaient contre l’humidité, la boue… plus tous les problèmes liés à la boisson, la nourriture, l’hygiène, les maladies, sans Butagaz, ni lampe frontale, ni même un simple Tupperware, par moins 20 ou moins 40 °C ! Il n’est pas étonnant dans ces conditions que les vieux aient inventé des légendes. Basées sur d’anciens souvenirs, des histoires sans doute réelles mais perdues dans la nuit des temps, ils racontaient aux enfants des épopées pour leur transmettre leur savoir, les distraire, les rassurer, tandis que hurlaient dehors les vents déchaînés et les bêtes sauvages affamées. À partir du mois de février, quand leurs maigres provisions étaient depuis longtemps épuisées, l’enjeu était de rester en vie malgré la famine. Faire en sorte qu’un maximum de membres de la tribu survivent jusqu’au retour du printemps. Physiologie humaine Il n’est pas impossible que nous ayons gardé dans notre horloge biologique des souvenirs de cette époque pas si lointaine. Pour certains d’entre nous plus que pour les autres. Après tout, ces temps anciens ont duré incomparablement plus longtemps que le petit siècle de l’ère de l’électricité. Je vous parle des temps préhistoriques. Mais au XIXe siècle, c’est-à-dire il y a très peu de temps, la quasi-totalité de l’humanité dans nos contrées a continué à redouter l’hiver. L’hiver était la saison du sommeil, et de la mort. Chaque soir, la nuit qui tombait faisait naître des terreurs dans le cœur des hommes. Dans des cabanes mal isolées, ils redoutaient les assauts du froid, et les histoires de loups et de loups-garous ne faisaient rire personne. Soyons donc indulgents avec nous-mêmes si nous sentons que l’arrivée de l’hiver modifie nos humeurs. Chez l’homme, une forme d’hibernation observée scientifiquement Sur le plan médical, on sait qu’un phénomène très semblable à l’hibernation existe chez l’homme. Il s’agit du refroidissement corporel volontaire qui se produit en cas de noyade dans l’eau froide, par exemple, et qui autorise une réanimation même après un arrêt cardiaque prolongé. En médecine, la préservation des tissus par le refroidissement est aussi mise à profit pour les transplantations, que ce soit pour le transport des organes ou pour le receveur dans le cas d’une transplantation cardiaque, qui nécessite une interruption provisoire de la circulation sanguine. L’hiver approche ne faites pas comme si de rien n’était Je suis convaincu, pour ma part, que nous avons besoin, en hiver, de ralentir notre rythme, de nous réchauffer au coin d’un bon feu qui crépite, ou sous la couette – même si nous avons le chauffage central et des lampes électriques partout. Je suis convaincu que notre régime alimentaire doit s’adapter. Nous suivions tous d’antiques traditions, il y a peu, de biscuits de Noël, tisanes de Noël, vin et autres menus de Noël. À base de cannelle, d’anis étoilé badiane, de clous de girofle, de muscade, gingembre, miel, pain d’épice, d’orange et d’écorces d’orange, de vanille, de cardamome, de confiture d’airelles, de noix, noisettes et châtaignes, bouillons ou même gibiers, volailles oie, dinde ou chapon grillé et certains poissons fumés, nous préparions toutes sortes de biscuits, gâteaux et mets particuliers. Chacun avait son importance pour le moral chaque senteur était associée à l’esprit de la saison mais aussi, très certainement, pour aider et soutenir l’organisme à combattre le froid, les infections, la fatigue, le ralentissement du métabolisme, grâce à des apports en nutriments, antioxydants et vitamines. Réfléchissez-y. Prendre un complément de vitamine D est important. Mais ce n’est pas la seule chose utile à faire en hiver. Ne jetez plus jamais d’os sans avoir fait de bouillon. Passez chez l’herboriste faire vos provisions de fleurs de coquelicot, eucalyptus, de racines de guimauve, de sureau, de bourgeons de pin et de sapin, de fleurs de bourrache, pour faire vos tisanes d’hiver. Vérifiez que vous avez votre huile essentielle de thym, de ravintsara, de menthe poivrée citron et de pin sylvestre le minimum syndical. Faites vos réserves de miel et surtout de propolis. Ce sont les indispensables à avoir l’hiver. Vous résisterez mieux au froid, aux infections, et vous constaterez certainement un moindre besoin de dormir… et de déprimer. Je n’ai pas cité le chocolat… Mais les vertus antidépressives du cacao ne sont certainement pas étrangères à la tradition d’offrir des Saint-Nicolas » en chocolat le 6 décembre dans les pays du Nord et en Alsace.Lessolutions pour COMME UN SOMMEIL DE MARMOTTE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres mots utiles. Outils Utiles . 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Rubrique de Pierre Agnola Les flocons de neige qui ont tapissé les paysages sanvignards de blanc nous le rappelle l’hiver est rude. Alors que les animaux n’ont pas la chance d’avoir une maison chauffée et isolée, ceux-ci doivent faire face à ces conditions extrêmes. Aussi, nombreuses sont les stratégies développées, et affinées par les animaux au fil de l’évolution, pour survivre durant cette saison. Toutes doivent permettre aux animaux de satisfaire deux besoins primordiaux se nourrir et faire face au froid hivernal. Certaines de ces stratégies sont connues par tous, comme l’hibernation de l’ours ou la migration des hirondelles. Mais saviez-vous que l’ours n’hiberne pas mais qu’il semi-hiberne ? Et Savez-vous ce qui pousse les hirondelles à partir chaque automne ? Ce sujet sera traité en deux rubriques successives. Cette semaine je vais essayer de lever les mystères entourant le merveilleux phénomène naturel qu’est la migration. Tout d’abord, la migration animale est un déplacement saisonnier et presque toujours régulier. C’est la réponse la plus simple et la plus extrême à l’arrivée des conditions hivernales Des conditions difficiles arrivent ? Très bien, je préfère passer l’hiver plus au sud, au chaud et le ventre plein ». La migration implique obligatoirement un retour, auquel cas le processus serait plutôt une colonisation. Aussi, migrer n’est pas réservé exclusivement aux oiseaux. En effet, les insectes, notamment les papillons et les criquets effectuent également une migration. Comment et quand la migration se déclenche-t-elle ? La date n’est pas commune entre toutes les espèces, certaines vont partir dès que la nourriture vient à manquer insectes volants pour les oiseaux ou plantes à fleurs pour les papillons alors que d’autres attendront jusqu’aux premières gelées canards. La migration est induite par la sécrétion d’hormones notamment la mélatonine et la corticostérone. Cette même sécrétion d’hormones est provoquée par la baisse de la luminosité, caractéristique de l’automne, et par le stress qu’occasionne le manque de nourriture. Suite à ces bouleversements hormonaux, l’animal va préparer son corps à l’extrême exigence des déplacements migratoires. Tout d’abord il va constituer des réserves de graisses, puis, dans le cas d’un oiseau, il va réaliser une mue, c’est-à-dire renouveler certaines de ses plumes pour optimiser son futur vol. Enfin, les départs migratoires s’effectuent de nuit la plupart du temps. Nous, humains, nous avons besoin d’un GPS pour nous orienter. Les animaux, eux, sont capables de voler durant des milliers de kilomètres et rejoindre, chaque année, la même aire d’hivernage avant de revenir, chaque année, au même endroit passer l’été. Comment ce formidable sens de l’orientation s’explique-t-il ? Bien plus fiable que le dernier garmin, les animaux migrateurs s’appuient sur plusieurs facultés hors du commun pour parfaire leur sens de l’orientation La perception du champ magnétique. Vous savez sûrement que la terre est entourée d’un champ magnétiques provoqué par la mise en circulation du noyau externe fluide de la terre. Celui-ci varie en fonction de votre emplacement sur terre. Les oiseaux sont capables de capter ce champ magnétique grâce à des cristaux présents dans leurs cellules externes. Une vue et un odorat hors du commun qui viennent parfois corriger le compas magnétique cité précédemment. La capacité de s’orienter grâce aux étoiles. En effet, connaissant le ciel du printemps et le ciel de l’automne, l’oiseau va respectivement s’orienter vers le nord ou le sud. Cette faculté n’est pas innée chez les oiseaux, ils la perfectionnent au fil des migrations. Cela n’a pas encore été prouvé scientifiquement, mais il semblerait que les animaux ont une capacité de mémoire. Ceux-ci forment une carte mentale de leurs trajets qu’ils transmettent ensuite aux générations futures. Durant le trajet, les animaux sont amenés à s’arrêter sur plusieurs aires de repos pour reconstituer leur réserve de graisse. De plus, les animaux évitent au maximum un vol prolongé au-dessus des mers ou des océans puisque les vents y sont faibles et il est impossibles de s’y reposer pour la majorité des oiseaux. En France, si l’on simplifie fortement, on peut dire qu’il y a deux grands couloirs de migration représentés sur la carte ci-dessous. Aujourd’hui, ces phénomènes migratoires sont fortement impactés par l’activité humaine et particulièrement par le réchauffement climatique. En effet, celui-ci a une influence évidente sur la sédentarisation des espèces. Par exemple, il est aujourd’hui courant d’observer des oiseaux, habituellement migrateurs, adopter un comportement de nicheurs comme la fauvette à tête à noir ou le pouillot véloce. En attendant le retour des chants mélodieux des rossignols ou du singulier coucou de l’oiseau éponyme, voici quelques exemples des distances parcourues par certains oiseaux pour rejoindre leur aire d’hivernage. Hirondelle rustique 10 000km Coucou gris 3000 km Cigogne blanche jusqu’à 10 000km Sterne arctique 17000 km Vulcain papillon jusqu’à 2000 km L’hibernation, semi-hibernation et adaptation Certains animaux, n’ayant peut-être pas le goût du voyage et de l’aventure, préfèrent rester en France et affronter l’hiver. Ceux-ci utilisent trois stratégies différentes que nous allons détailler une par une l’hibernation, la semi-hibernation et l’accommodation. L’hibernation Tout d’abord, pour comprendre ce phénomène, il convient de rappeler que les animaux peuvent être à sang chaud » ou à sang froid ». La différence entre les deux est la capacité de l’animal à réguler sa température interne indépendamment de la température externe. Par exemple, l’homme est à sang chaud avec une température interne constante avoisinant les 37°C, même en hiver. Alors que tous les reptiles voient leur température interne baisser drastiquement en même temps que l’arrivée des conditions hivernales. Aussi, il faut savoir que, maintenir une température interne élevée malgré les températures froides de l’hiver, représente une très grosse dépense énergétique pour les animaux. Or, la grosseur de certains et/ou l’absence de nourriture en hiver les empêchent de réguler ce paramètre interne. Ainsi, tous les animaux à sang froids, et certains à sang chauds, incapables de subvenir à leur besoin énergétique l’hiver venu, pratiquent l’hibernation. L’hibernation représente un état léthargique dans lequel La température corporelle baisse de manière importante jusqu’à frôler le zéro parfois. Le métabolisme est très fortement ralenti avec une fréquence cardiaque allant jusqu’à 1 ou 2 battements par minutes. Une activité cérébrale quasiment absente mais suffisante pour assurer les besoins vitaux de l’animal respiration, battements cardiaques. Les causes de l’entrée en hibernation sont beaucoup étudiées aujourd’hui. D’aucuns pensent que la diminution de la température externe est la cause principale alors que d’autres misent sur la diminution de la photopériode durée du jour. Ceci étant, l’animal prépare toujours une hibernation en constituant des réserves de graisses impressionnantes avant l’hiver. Tous les animaux hibernants cherchent un lieu isolée, abrité et tranquille pour tomber sereinement en état léthargique dans lequel il leur sera impossible de se défendre. C’est pour cela qu’il est si difficile de rencontrer un hibernant durant nos randonnées d’hiver. Par exemple, certains crapauds passent l’hiver dans le sol, enfoncés sous 30 cm, ceux-ci sont protégés des aléas climatiques. Le record de la durée d’hibernation est attribué au Loir gris ce petit animal dort d’octobre à avril c’est-à-dire pendant 7 Mois !! On comprend mieux l’expression dormir comme un loir ». Exemple de certains animaux hibernants Le hérisson Le loir gris La marmotte Les serpents Les chauves-souris Les lézards Les tortues terrestres … Attention à ne pas réveiller un animal hibernant !! Le stress, provoqué par un réveil soudain pendant l’hibernation, entraîne une forte utilisation et donc diminution de la réserve de graisses de l’animal synonyme de mort la plupart du temps. Donc, avant de tailler vos massifs ou de vous nettoyer votre grenier, veillez à bien regarder si un hérisson ou une chauve-souris n’a pas prévu de passer l’hiver à cet endroit. Si vous trouvez un tel animal réveillé durant les mois d’hiver, de décembre à février, vérifiez tout d’abord si vous ne voyez pas son abri ou ses semblables aux alentours. Si ce n’est pas le cas, recueillez-le et placez-le au chaud le plus rapidement possible. Installez le dans un carton avec de la nourriture croquettes pour le hérisson, petits insectes pour les chauves-souris, et de l’eau. Attendez quelques heures/jours, qu’il refasse ses réserves puis relâchez-le à l’endroit où vous l’aviez trouvé. La semi-hibernation Et oui, ce n’est pas du chipotage mais il existe bel et bien des animaux à sang chaud hibernants » ET d’autres semi-hibernants ». Pour mieux comprendre, prenons un exemple et profitons-en pour en finir une bonne fois pour toutes avec une fausse vérité l’ours n’hiberne pas, il semi-hiberne !! La semi-hibernation se caractérise par une baisse de seulement quelques degrés de la température interne et une activité métabolique seulement ralentie. De plus, durant celle-ci, les animaux se réveillent à plusieurs reprises à cause de dérangements humains ou d’une modification importante des conditions climatiques extérieures. Réveillés, ils en profitent pour reconstituer leurs réserves de nourritures et même pour mettre au monde leurs petits c’est le cas de la femelle ours noir qui met bas et s’occupe des oursons durant cette période. Le blaireau présent sur la commune de Sanvignes et le raton-laveur son également des semi-hibernants. L’acclimatation Ainsi, après avoir vu les espèces migratrices, hibernantes et semi-hibernantes, voici les plus vaillantes, celles qui, malgré les rudes conditions hivernales, continuent de vivre presque normalement. Je dis presque car toutes s’adaptent, morphologiquement et/ou au niveau du comportement, le temps de l’hiver. Puis, une fois le printemps revenu, la morphologie et le comportement de ces animaux revient à la normale ; C’est pour cela que l’on parle d’acclimatation et non pas d’adaptation qui serait alors un changement morphologique permanent et transmissible aux générations futures. Exemples de différents changements morphologiques adaptation au froid Variation de la structure du pelage des mammifères augmentation de la longueur des poils. Ceux-ci, plus longs, augmentent le volume d’air chaud conservé entre les poils et la peau et participent à lutter contre le froid. Sécrétion de sébum sur la peau pour imperméabiliser le pelage. Les frissons sont des mouvements réflexes involontaires qui permettent la création de chaleur dans l’organisme. Ect … Quelques changements comportementaux Beaucoup d’animaux solitaires d’ordinaire adoptent un comportement grégaire l’hiver. C’est le cas des passereaux. Il n’est pas rare de croiser à Sanvignes des volées de mésanges bleues/charbonnières accompagnées de Verdiers d’Europe. En effet, plus ces animaux sont nombreux, plus ils se réchauffent, plus la nourriture est facile à trouver et plus ils sont protégés des prédateurs. La période de reproduction du renard se déroule en plein hiver, en Janvier ! C’est le seul mammifère de nos régions qui est en rut et s’accouple dans des conditions aussi difficiles. Cependant, après une gestation de 52 à 53 jours, les renardeaux verront le jour au début du printemps et auront ainsi toute une belle saison pour s’enhardir et pouvoir passer l’hiver suivant. On peut dire qu’il existe presque autant de manière de passer l’hiver que d’espèces différentes. Ces différentes techniques misent en œuvre pour l’hiver nous montrent la formidable capacité de la nature à s’adapter en privilégiant la coopération et des transformations morphologiques simples, réversibles et économes en énergies. Décidemment, quand on prend le temps de s’y intéresser, cette belle nature est pleine de surprises et source inépuisable d’émerveillement.
Dormircomme une marmotte Dormir comme une marmotte. En 1896, le physiologiste français Dubois décrit, le premier, le phénomène d'hibernation des marmottes. Ce sont les plus gros « hibernants profonds ». En effet,
Dormir dans sa voiture est une alternative économique à la chambre à coucher dans les hôtels. Lors d’un roadtrip, trouver un logement quand la fatigue survient est compliqué, surtout au milieu de nulle part. C’est pourquoi aménager sa voiture pour y dormir est astucieux pour faire le plein d’énergie. Quels sont les indispensables pour dormir dans sa voiture ? Installer son couchage dans son véhicule est une mission possible et réalisable. Mais, pour se relaxer confortablement, quelques dispositions sont à prendre avant de se lover dedans – La propreté comme une voiture est un espace restreint, la propreté doit être impeccable pour ne pas l’encombrer davantage. Un espace propre et rangé favorise une bonne nuit de sommeil ; – Les éléments utiles pour jouir d’une bonne intimité des pare-soleil, des rideaux, une bâche… – Les indispensables de nuit un oreiller, un sac de couchage, un masque de nuit… – Les accessoires un réveil, une torche, une bouteille d’eau, un thermos… Comment dormir sur la banquette arrière de son véhicule ? Si le propriétaire de la voiture ne dispose pas de matériel pour faire un couchage, il est tout à fait possible de dormir sur la banquette arrière de la voiture – Réduire l’espace à l’arrière en reculant le siège avant. De cette manière, les chutes seront évitées ; – Installer un siège de la même hauteur que la banquette arrière, le recouvrir d’une planche avec une couverture ou de la mousse. Cette méthode permet de gagner plus d’espace, surtout s’il y a deux personnes qui y dorment ; – Poser un matelas gonflable sur la banquette arrière et sur le siège et la planche. Comment dormir dans un van ou dans une camionnette ? L’arrière d’un van ou d’une camionnette est connu pour être un endroit reposant parce que plus spacieux. Pour l’aménager, il existe des solutions simples et efficaces à appliquer soi-même. Si la banquette arrière du véhicule peut être enlevée, alors, il est possible d’aménager un lit en bois. Avec un support et une planche de bois solide, il est facile de recréer un sommier. Le tout doit être bien immobilisé pour une sûreté à toute épreuve. Ensuite, un matelas gonflable spécial voiture ou un sac de couchage suffit pour le côté douillet. S’il est impossible de bouger la banquette arrière, elle doit juste être rabattue. La mise en place d’une mousse pour faire office de lit peut alors être faite. La journée, elle peut être recouverte tout simplement d’une bâche. Comment dormir dans sa voiture en période de chaleur ou en hiver ? En été afin d’éviter les coups de chaleur en pleine nuit, il est recommandé d’aérer la voiture, même pendant la nuit. Les huiles essentielles peuvent repousser les moustiques. Utiliser un brumisateur est également efficace pour réduire la température à l’intérieur du véhicule. En hiver les couvertures, les sacs de couchage, les vêtements chauds, les bonnets, et les gants sont à privilégier durant l’hiver. Effectivement, il est déconseillé de faire fonctionner le chauffage de la voiture trop longtemps. Dans un endroit aussi exigu, les chances d’empoisonnement au monoxyde de carbone augmentent considérablement. Lire aussi Achat d’une voiture chez un concessionnaire tout savoir 8 erreurs à éviter quand vous nettoyez vos jantes Quel est le délai pour payer une amende ?Ense basant sur les réponses ci-dessus, nous avons également trouvé des indices qui sont peut-être similaires ou en rapport avec passant l'hiver comme une marmotte: Dormir comme une marmotte; Un papier où la marmotte y met le chocolat; partie charnue de marmotte; Cousin de la marmotte; Marmotte; Porte la marmotte de l'yonne ; Tic ou
Une hibernation est une forme de dormance qui correspond à une période de sommeil profond au cours de laquelle un animal subit une série de modifications physiologiques hypothermie, engourdissement, ralentissement des fonctions essentielles sous l'action du froid hivernal. L'hibernation est ainsi l'ensemble des modifications que subissent les êtres vivants pendant l' groupe de marmottes en hibernation En tant qu'hibernateurs typiques, les marmottes alpines Marmota marmota abaissent leur température corporelle jusqu'à la température ambiante pendant la majeure partie de l'hiver. Même pendant les interruptions régulières de l'hibernation, leur température corporelle reste inférieure de quelques degrés aux niveaux estivaux habituels. Étonnamment, la quantité d'acides gras polyinsaturés dénommés "n-6" ceux avec la double liaison finale à la sixième position dans les membranes s'est avérée augmenter considérablement avant le début de l'hibernation, apparemment pour préparer le corps, et en particulier le coeur, pour fonctionner à très basse température. Conformément à cette idée, la transition vers une teneur plus élevée en acides gras n-6 dans les membranes intervient extrêmement rapidement juste avant que les animaux entrent dans leurs chambres d'hibernation. Les changements sont inversés, à nouveau sur une courte période, autour de la fin de l'hibernation au printemps, lorsque les animaux reviennent à une vie à des températures corporelles élevées. Pendant et immédiatement après l'hibernation, les marmottes sont incapables de manger quoi que ce soit leur nourriture est sous une épaisse couche de neige donc les changements ne peuvent pas être liés à des influences diététiques L'hibernation est une condition biologique dans laquelle les fonctions vitales des animaux sont maintenues à un minimum, le rythme cardiaque et la respiration ralentissent, le métabolisme est réduit et la température du corps est abaissée. Elle peut être comprise comme l'hivernation chez les animaux ou même comme hypothermie préventive en médecine même si les températures ne sont jamais atteintes à moins de quelques degrés au-dessus de zéro. Elle est souvent utilisée comme une méthode d'animation suspendue cryopréservation pour les humains en animaux qui hibernent sont appelés des hibernateurs. L'abri des animaux en hibernation est généralement appelé terrier ou les animaux L'hibernation existe chez différents types d'invertébrés chez lesquels un état dans lequel les processus métaboliques sont extrêmement lents, mais aussi des amphibiens, des reptiles et des mammifères comme les ours bruns, les blaireaux, les marmottes, surtout en hiver dans les régions froides ou tempérées. L'hibernation diffère de l'hivernation car ce n'est pas vraiment un long sommeil les animaux en hibernation peuvent réagir aux stimuli, bien que d'une manière permet à ces animaux de survivre en état d'hibernation grâce à la forte concentration de substances dans le sang qui empêchent l'eau de geler. Diverses substances, telles que les sels, l'urée, l'acide urique ou autre, les acides gras, empêchent l'eau présente dans le plasma sanguin et dans le cytoplasme de subir une cristallisation et ainsi de détruire les membranes est un comportement caractéristique de certains mammifères et reptiles qui pendant la saison froide période vernale au cours de laquelle ils réduisent leurs fonctions vitales et restent dans un état de quiescence. Pendant cette période, ils se nourrissent de réserves de graisse stockées pendant les mois d'automne. Parmi les animaux en hibernation, nous nous souvenons des ours, des ratons laveurs, des gliridés, des chauves-souris, des tortues terrestres du genre Testudo comme la belle tortue d'Hermann Testudo hermanni en France et d'autres la phase léthargique, la température corporelle de l'animal diminue, légèrement chez certaines espèces passant de 37 à 31 °C chez les ours jusqu'à même -2 °C chez les autres espèces. Il faut cependant préciser que les ours ne connaissent pas une vraie aussi estivo-hibernation, estivation, diapause, vernalisation, les oiseaux La vraie hibernation existe seulement chez les mammifères, mais chez certains oiseaux, on connaît les conditions semblables à l'hibernation. Ainsi, les colibris réduisent leur métabolisme en cas de manque de nourriture ou de froid et tombent dans une nos latitudes, pendant les périodes de faim, les jeunes martinets tombent dans une condition de température corporelle légèrement réduite pendant le sommeil. Cependant, de plus longues périodes d'hibernation, comme chez les mammifères, n'existent pas chez les oiseaux, à une exception près le seul et unique oiseau à pouvoir hiberner est l'engoulevent de Nuttall Phalaenoptilus nuttallii sur le continent nord-américain.Durée de l'hibernation La durée d'hibernation est différente pour les hibernateurs individuels. Avec le hérisson, il est de trois à quatre mois; le loir passe six à sept mois en hibernation. Cependant, on ne devrait pas être sous la fausse notion que l'hibernation est un sommeil de longue durée qui dure plusieurs mois sans contraire, le sommeil se déroule généralement en sections, avec des phases de repos plus longues alternant avec un métabolisme fortement réduit avec de courtes périodes d'éveil. Trop souvent, cependant, les animaux ne sont pas autorisés à se réveiller pendant l'hiver, car chaque période de récupération provisoire vide les réserves d'énergie, de sorte que les dépôts de graisse sont épuisés trop tôt et ne sont plus disponibles pour le processus de récupération au scientifiques ont gardé des souris dormantes extra-engraissées en hibernation pendant plus d'un an pour une expérience. Certains hibernateurs d'hiver comme les marmottes gardent même une hibernation sociale. Dans chaque terrier, jusqu'à 20 parents et jeunes animaux se tiennent près l'un de l'autre, de sorte qu'ils peuvent se réchauffer lorsque la température hivernale chute trop. Cela augmente les chances surtout des jeunes, qui ont moins de réserves d'énergie, de survivre à des hivers encore plus de l'hibernation Traditionnellement, des facteurs externes tels que la baisse des températures extérieures ou le manque de nourriture en automne ont été cités comme le déclencheur d'une longue période d'hibernation. Cependant, selon les experts, outre les longueurs de jour plus courtes en tant que générateur de signaux, notamment la conversion de la balance hormonale, une diminution de l'irradiation de la lumière ultraviolette par le soleil plus faible entraîne une baisse de la production de vitamine D horloge interne, qui est soumise à un rythme saisonnier, responsable de la libération de l' l'horloge interne semble influencer la formation de dépôts graisseux et ceci, à son tour, la disposition à dormir. Même l'effet narcotique d'une concentration plus élevée en dioxyde de carbone dans les cavités du sommeil a été discuté comme un facteur déclenchant de l' au printemps La cause du réveil au printemps n'est toujours pas bien connue. L'augmentation des températures ambiantes et l'accumulation de produits finaux métaboliques dans l'organisme pourraient servir de signaux de réveil. Si des signaux de réveil sont présents, les glandes pituitaires libèrent des hormones qui génèrent de la chaleur à travers le tissu adipeux brun. Si la température interne du corps a augmenté à environ 15 °C, des tremblements musculaires supplémentaires peuvent contribuer à une augmentation supplémentaire de la température. La zone de la tête et du tronc avec les organes vitaux est d'abord chauffée, les extrémités suivent en en médecine En chirurgie, on parle d'hypothermie préventive pour abaisser artificiellement la température corporelle du patient afin de réduire les processus vitaux lors d'interventions chirurgicales particulières, en l'occurrence chirurgie cardiaque et neurochirurgie et chez certains patients ayant eu une hypoxie cérébrale par exemple après réanimation cardiopulmonaire. Les températures basses mais supérieures au point de congélation sont utilisées pour stocker temporairement des organes pour la dans l'azote liquide mieux appelée cryopréservation ou cryoconservation est utilisée pour la conservation des spermatozoïdes et des embryons humains. En effet, il est impossible pour des raisons techniques liées à la vitesse de congélation et de décongélation de conserver des pièces plus premières hypothèses sur la possibilité d'utiliser le froid pour conserver le sperme remontent à la fin du 18e siècle. Dans la seconde moitié du 19e siècle, le physiologiste Paolo Mantegazza pensait à une banque pour garder le sperme des soldats partant à la guerre, se proposant de le faire avec de la neige et de la glace. Les premières expériences de congélation remontent aux premières décennies du 20e siècle; Pendant longtemps, l'intérêt est resté surtout concentré sur la conservation du sperme de bovins à des fins zootechniques. Seulement en 1960, l'Américain Jerome Sherman a commencé les premières expériences de congélation dans l'azote Dans de nombreuses histoires de science-fiction, l'hibernation - considérée comme l'une des méthodes possibles d'animation suspendue - est un expédient narratif important. Aussi dans certains magazines, la possibilité d'hiberner un individu entier avant la mort cérébrale en cas de coma irréversible, ou d'éviter la mort due à une maladie incurable, en attente de futures découvertes scientifiques capables de fournir un traitement efficace, est théorisée ou de vivre une seconde vie, ou comme une méthode de voyage à sens unique dans le temps vers une ère future hypothétiquement meilleure. Évidemment, pour un fait éthique et légal, seule la cryoconservation des cadavres est possible, donc en exploitant la période de temps qui passe du blocage du rythme cardiaque à la mort cérébrale, la congélation a lieu dans l'espoir de garder intactes les structures les partisans de la cryoconservation, il devrait être possible à l'avenir de développer une technologie capable de restaurer complètement les fonctions vitales des corps hibernés. Dans cette hypothèse, au moment de l'éveil, le corps reprendrait le physique qu'il avait avant la conservation; c'est-à-dire que le temps de congélation ne provoquerait pas le vieillissement. Même si des dizaines d'années avaient passé, l'âge biologique du corps resterait le même, ainsi que les années de vie qu'il pourrait encore négatifs de l'hibernation sur la mémoire Des recherches de l'Université de Vienne sur les spermophiles ont montré que l'hibernation qui dure plusieurs mois a des effets négatifs sur la mémoire des loups arctiques Canis lupus arctos. Par rapport aux animaux qui n'ont pas hiberné, après une longue période de sommeil, les spermophiles étaient incapables de résoudre des tâches déjà apprises par exemple trouver un chemin dans le labyrinthe ou utiliser le levier d'un distributeur d'aliments.Une explication de ceci pourrait être le bas niveau d'activité neurale pendant les torpeurs. Il a même été montré que les connexions entre les neurones dans le cerveau sont rompues pendant l' de la technologie Beaucoup comparent la congélation à la vitrification, en cas de gel il y a une limite de 24 heures à la première décongélation et de 1 au nombre d'hibernations, sous peine de putréfaction au moment de la décongélation. Tout cela est dû à l'action de la bactérie qui présente dans les tissus sont renforcés et plus réactifs une fois décongelés. L'hibernation postmortem est basée sur la vitrification, un processus dans lequel il n'y a pas de gel mais une situation est créée dans laquelle les fluides corporels ajoutés aux substances antigel se condensent et vitrifient sans cristalliser et donc sans endommager les parois les techniques de congélation, les cellules meurent avant la même hibernation. Lorsqu'ils sont vitrifiés, cependant, ils restent en suspension et, une fois décongelés, sont fonctionnels; un foie d'animal hiberné a été transplanté sans effets secondaires. Substantiellement un système ouvert comme le corps humain échange de l'énergie et des âges. L'immerger dans de l'azote liquide, c'est en faire un système isolé mais encore soumis à une augmentation de l'entropie. La congélation sert à minimiser cette augmentation d'entropie. L'hibernation prolonge la vie cellulaire dans le sens où le vieillissement de la cellule qui se manifeste dans 5–10 ans d'hibernation existerait en moins de temps dans la vie à "température ambiante". L'hibernation n'augmente pas la durée de vie résiduelle de la cellule après processus de cryoconservation devrait être "sans mémoire", de sorte que la personne, après "décongélation", ne devrait pas vieillir plus vite que les autres. Cette hypothèse n'a clairement jamais pu être vérifiée la cryoconservation ralentirait le vieillissement, sans l'arrêter, et, après décongélation, elle ne modifierait pas les processus biologiques de l' convient de distinguer les limites théoriques de la technologie de celles des techniques vraies limites de la technique sont l'impossibilité de réparer les lésions inévitables qui existent dans un certain nombre de cellules à cause des moindres événements de cristallisation, l'impossibilité de décongeler le corps de manière homogène et soudaine. On pense que les technologies pour remédier à ces problèmes peuvent se développer en quelques décennies, à partir de certaines applications déjà existantes, qui sont trop grossières pour être effectivement terme Le mot hibernation est un substantif de genre traduction de hibernation en anglais est hibernation. Lexique A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Sur le même sujet dormanceLa dormance qualifie un état de vie ralentie. La dormance est le stade de repos, végétatif pour une plante, destiné à lui permettre de...hibernacleEn botanique, un hibernacle désigne un bourgeon d'hiver, ou un turion, qui se forme à l'apex. L'hibernacle est une sorte de bulbille...Définition HIBERNATION publiée le 02/05/2008 mise à jour le 05/05/2020.DormirComme Un Ours Ou Une Marmotte En Hiver Piece A Vivre Ete Comme Hiver Couvertes Été Comme Hiver Revenus De La Neige Hiver Comme Été Garde Son Manteau Hiver Comme Ete Il Porte Son Écharpe Été Comme Hiver Sport D Hiver Comme Le Ski Mais Sur Une Planche Il Porte Une Echarpe Ete Comme Hiver Personne Floue Comme
Allemand-FrançaisFrench-German translation for dormir comme une marmotte äöüß... Options Tips FAQ Abbreviations LoginSign UpHomeAbout/ExtrasVocab TrainerSubjectsUsersForumContribute!dormir comme une marmotte in other languagesDeutsch - FranzösischEnglish - FrenchDeutsch D A B C D E F G H I J K L M N O Œ P Q R S T U V W X Y Z Dictionary French → German dormir comme une marmotteTranslation 1 - 50 of 894 >>FrenchGermandormir comme une marmotte {verbe} [loc.]schlafen wie ein Murmeltier [Redewendung] Partial Matchesdormir comme une masse {verbe} [loc.]wie ein Stein schlafen [Redewendung] dormir comme une souche {verbe} [loc.]wie ein Stein schlafen [Redewendung] Unverified Autant dormir sous une cascade. {adv}Genauso gut könnte ich unter einem Wasserfall schlafen. comme une brute {adv}wie eine Bestie glissant comme une anguille {adj}aalglatt rapide comme une flèche {adj}pfeilschnell trembler comme une feuille {verbe}wie Espenlaub zittern [ugs.] [Redewendung] myope comme une taupe {adj} [fig.]stark kurzsichtig être frais comme une rose {verbe}taufrisch sein être souple comme une anguille {verbe}geistig sehr beweglich sein fumer comme une locomotive {verbe} [fam.] [loc.]rauchen wie ein Schlot [ugs.] [Redewendung] pleurer comme une madeleine {verbe} [fam.] [loc.]Rotz und Wasser heulen [ugs.] [Redewendung] être fermé comme une huître {verbe} [loc.]sehr zugeknöpft sein [Redewendung] être malheureux comme une pierre {verbe} [loc.]todunglücklich sein [ugs.] être myope comme une taupe {verbe} [loc.]blind wie ein Maulwurf sein [Redewendung] être sage comme une image {verbe} [loc.]sehr, sehr artig sein rester muet comme une carpe {verbe} [loc.]stumm wie ein Fisch bleiben [Redewendung] Tu es têtu comme une mule. [loc.]Du bist störrisch wie ein Maultier. [Redewendung] être plate comme une limande {verbe} [fam.] [femme]flach wie ein Brett sein [ugs.] [Frau] parler français comme une vache espagnole {verbe} [loc.]Französisch radebrechen météo. pleuvoir comme une vache qui pisse {verbe} [fam.]schiffen [ugs.] [regnen] se répandre comme une traînée de poudre {verbe}sich wie ein Lauffeuer ausbreiten une histoire {f} longue comme le bras [loc.]eine ellenlange Geschichte {f} [ugs.] [Redewendung] être réglé comme une horloge {verbe} [fig.] [extrêmement régulier dans ses habitudes]genau geregelt sein [wie eine Uhr] zool. T marmotte {f}Murmeltier {n} zool. T marmotte {f} commune [Marmota monax]Waldmurmeltier {n} zool. T marmotte {f} grise [Marmota baibacina]Graues Murmeltier {n} zool. T marmotte {f} de Sibérie [Marmota sibirica]Sibirisches Murmeltier {n} zool. T marmotte {f} des Rocheuses [Marmota caligata]Eisgraues Murmeltier {n} zool. T marmotte {f} du Kamtchatka [Marmota camtschatica]Schwarzhut-Murmeltier {n} zool. T marmotte {f} à longue queue [Marmota caudata]Langschwänziges Murmeltier {n} zool. T marmotte {f} à longue queue [Marmota caudata]Langschwanzmurmeltier {n} zool. T marmotte {f} à longue queue [Marmota caudata]Rotes Murmeltier {n} zool. T marmotte {f} à tête noire [Marmota camtschatica]Schwarzhut-Murmeltier {n} zool. T marmotte {f} à ventre fauve [Marmota flaviventris]Gelbbauchmurmeltier {n} zool. T marmotte {f} à ventre jaune [Marmota flaviventris]Gelbbauchmurmeltier {n} zool. T marmotte {f} de l'Altaï [Marmota baibacina]Graues Murmeltier {n} zool. T marmotte {f} de l'Himalaya [Marmota himalayana]Himalaya-Murmeltier {n} dormir {verbe}schlafen accoucher une femme d'une fille {verbe}eine Frau eines Mädchens entbinden dormir debout {verbe}zum Umfallen müde sein dormir {verbe} [nature, ville]ruhen [Natur, Stadt] dormir son compte {verbe}genügend schlafen envie {f} de dormirSchläfrigkeit {f} [Bedürfnis] dormir {verbe} [dossier, réclamations, affaire]unbearbeitet liegen bleiben dormir sur le dos {verbe}auf dem Rücken schlafen dormir sur le ventre {verbe}auf dem Bauch schlafen dormir tout son soûl {verbe}so richtig ausschlafen dormir tout son soûl {verbe}ausschlafen bis man genug davon hat Previous page 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 Next pageFeel free to link to this translation! Permanent link Double-click next to phrase to retranslate — To translate another word just start typing!Search time secContribute to the Dictionary Add a TranslationDo you know German-French translations not listed in this dictionary? 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Questions and AnswersAdvertisement1solution pour : DORMIR COMME UN OURS OU UNE MARMOTTE EN HIVER - mots fléchés et mots croisés Sujets similaires Dormir comme un loir (100%) Dormir (94.32%) Où dormir (94.32%) Marmotte (88.82%) Homme qui barbote (80.3%) Comme un code (76.07%) Dormir familier (75.98%) Hormis (75.46%) Elle margotte (74.02%) Marmite (74.02%)
Ecraser, pioncer, roupiller, ronfler, dormir comme une marmotte, rêver peut-être… mais pourquoi ? Avant tout, pour ceux qui croient que dormir ne sert à rien», est une perte de temps», des instants de vie volés»… dormir sert à survivre !!! Sans sommeil, pas de vie, pas de plaisir, pas de possibilité de construire un nouveau monde 🙂 Notre corps et notre esprit ont besoin parfois envie de ce moment de récupération et de repos. Pour autant nous ne faisons pas rien en dormant. Dormir est une activité intense. Mais à quoi ça sert exactement ? On se repose, non ? Dormir nous permet de récupérer d’une fatigue physique ou intellectuelle. Comme par exemple après un bon match de foot entre copains ou à la suite d’une grande balade en forêt, ou encore après avoir réalisé le montage de ta dernière vidéo youtube la fatigue s’empare de toi et tes paupières se ferment pour faire place au sommeil et pour que ton cerveau et tes muscles puissent récupérer de l’énergie. Etre bien reposé est donc nécessaire pour apprendre, rire faire du sport…vivre pleinement les choses ! Dormir fait-il grandir ? Et oui ! En dormant, les hormones de croissance sont sécrétées. Les enfants et les adolescents grandissent donc quand ils dorment. Un manque grave de sommeil peut perturber et rompre la courbe naturelle de ta croissance. On pourrait s’amuser à en déduire que les célèbres basketteurs Michael Jordan, Magic Johnson et même Tony Parker avec son petit» 1m88 sont de bons dormeurs ! On apprend mieux en dormant ? Dormir aide en effet à mémoriser, et intégrer plein de choses. Si tu observes un bébé tu t’apercevras qu’il dort beaucoup. Cela permet à son cerveau de trier, analyser, comprendre toutes les découvertes qu’il est en train de faire. Mais il n’y a pas que les bébés qui découvrent et apprennent de nouvelles choses… Alors, relire ta leçon d’histoire la veille de ton contrôle avant d’aller te coucher, n’est pas une si mauvaise idée que ça… Mais attention cela ne fera pas tout si tu n’as pas travaillé un peu avant On se répare en dormant Lorsque l’on prive quelqu’un de sommeil on observe alors de nombreux troubles comme des difficultés à parler, des troubles de l’équilibre comme quoi on peut vraiment tomber» de fatigue, une modification des émotions on devient irritable, parfois même un peu parano, ou déprimé mais on peut aussi avoir des problèmes de peau, digestifs, et on est plus fragile face aux virus… Dormir est donc parfois le meilleur des médicaments. Il permet au corps de faire une sorte de check list ou contrôle technique de tout ce qui fonctionne et tout ce qui ne fonctionne pas bien. Ton corps et ton cerveau peuvent alors se concentrer par exemple pour envoyer les globules blancs attaquer un virus intrus. Ou alors quand une pensée obsédante t’enquiquine dormir est un moyen pour toi de lâcher prise et te calmer. Dormir c’est se réparer chaque nuit. Dormir, ça sert à rêver ! Lors de la phase paradoxale du sommeil en fin de cycle va voir l’article comment fonctionne le sommeil pour en savoir plus, notre cerveau se met alors à rêver d’un autre monde… Moi je ne rêve JAMAIS !!» entend-t-on parfois. En fait, tout le monde rêve, mais tout le monde ne s’en souvient pas. Les rêves ont souvent été l’objet d’études et de théories parfois farfelues. Quoiqu’il en soit ces créations de notre imagination sont souvent riches et intenses, nourries par nos émotions des jours précédents et de notre passé. C’est souvent un travail parfois difficile d’assimilation de ce que l’on a vécu et de ce que l’on a ressenti. Et si les rêves sont si étranges c’est qu’ils sont comme vus à travers un miroir parfois déformant. Mais les artistes tel que Magritte , Chagall ou Dali par exemple ont su se saisir de ces images énigmatiques pour créer et s’exprimer. Le sommeil est donc aussi une activité de création. Dormir c’est bon pour le moral ? Si ne pas dormir n’est pas bon pour le moral parfois TROP dormir peut-être le signe qu’on a envie d’éviter d’être réveillé. Bien au chaud dans sa couette et la tête sur un bon oreiller on se réfugie dans un cocon de douceur et, disons-le, cela peut être extrêmement agréable. Hmmmm qu’il est doux de dormir ou d’être au repos le dimanche matin avec un bon livre, un petit épisode de ta série préféré ou même pour certains avec un petit déjeuner au lit. Mais si le sommeil vient à devenir ton seul but dans la vie et si ton univers se résume à ton lit cela dénature alors la fonction du sommeil qui est de te préparer à l’extérieur et à vivre éveillé. Parfois, quand on est mal dans sa peau, que ça se passe mal au collège, au lycée, à la fac ou au travail, qu’on n’arrive pas à faire ce qu’on aimerait faire… le sommeil semble un refuge. Dans ces cas-là il peut être le signe d’une déprime parfois d’une dépression. Le sommeil c’est donc comme tous nos besoins fondamentaux nourriture, chaleur,… il ne faut pas en manquer mais il ne faut pas non plus en abuser 😉 Bonne nuit à tous. Dormez bien !!
Autremystère de l'hibernation : la faculté du hamster de transformer les graisses solides de son corps en substances semi-liquides, alors que la température du corps est proche de zéro. Sans cette faculté les hibernants ne pourraient pas s'alimenter de leurs propres réserves pendant la période de sommeil.